Chevaleresse : la femme qui combat à cheval.
Définitions de « seigneuresse »
fém.,rare. Épouse du seigneur.
On appelait ainsi chevaliers de la proie ou chevaliers de proie des soldats pillards vivant de rapine et extorquant leurs biens aux malheureux qui avaient l'infortune de croiser leur chemin, et on appelait aussi capitaine le chef d'une bande de brigands.
Il y a quatre sortes de chevaliers : le chevalier régulier, le chevalier militaire, le chevalier honoraire et le chevalier social.
Sur le Moyen Âge
Un chevalier est un soldat cavalier qui se bat souvent avec une épée au Moyen Âge (c'est-à-dire environ de l'an 476 à l'an 1492). C'est un guerrier et un noble. Son premier devoir est de se battre pour son seigneur (son suzerain) dont il est le vassal.
Tu ne fuiras jamais devant l'ennemi. Tu combattras les infidèles avec acharnement. Tu rempliras tes devoirs féodaux, à condition qu'ils ne soient pas contraires à la loi divine. Tu ne mentiras jamais et tu seras fidèle à ta parole.
Lorsque le chevalier était pris d'une envie pressante, il se "lachait" sans scrupule. L'urine était conduite par la capote, puis par le tuyau puis arrivait dans la vessie fermée. De temps en temps, il appelait son écuyer. Celui-ci alors, vidait par terre la vessie de porc et on repartait en guerre.
L'adoubement, quand l'écuyer devient chevalier
La cérémonie de l'adoubement a lieu environ quatre ans après le début de l'apprentissage en tant qu'écuyer, au mois de septembre ou octobre.
Cérémonie au cours de laquelle un homme était armé chevalier. La cérémonie de l'adoubement débutait par la remise des armes au postulant par un chevalier qui lui servait de parrain.
Son parrain, le chevalier qui a organisé l'éducation militaire de l'écuyer, lui passe le baudrier. Des aides fixent des éperons d'or ou argent aux talons de l'écuyer (symbole qu'il sera un guerrier à cheval).
Le chevalier doit respecter la foi chrétienne et les enseignements de l'Eglise, assister à la messe, jeûner le vendredi, éventuellement combattre les infidèles et tous ceux qui violent la paix.
La forme ronde, symbolisant la fraternité, évite toute préséance entre ceux qui s'asseyent, leur rappelant que les chevaliers n'héritent de leur place que grâce à leur courage.
Le Graal est décrit tantôt comme une corne d'abondance, qui offre à chacun toute la nourriture qu'il désire, tantôt comme une pierre tombée du front de Lucifer creusée en vase. Chez l'auteur allemand Wolfram von Eschenbach, on trouve que le Graal est une pierre précieuse gardée par les Templiers.
Abraham pria constamment Dieu pour avoir un fils. Sarah lui donna sa servante égyptienne, Agar (en arabe : Hagar) afin qu'Abraham la prenne comme seconde épouse.
colée. Coup du plat de la main donné par le parrain sur la nuque de celui qui était fait chevalier, lors de la cérémonie de l'adoubement.
La veille de l'adoubement, le jeune écuyer passe une partie de la nuit à prier dans la chapelle. Le jour de la cérémonie, il reçoit les armes des mains de son parrain : un écu, un haubert, un heaume, une épée et des éperons.
Ce mot vient du Latin adaptare. Du Cange le derive du mot adobare, qui signifioit autrefois, Armer. Voyez Adopter. Il signifie figurément, Mettre en ordre : & on dit au jeu des eschets, du triquetrac, & des dames, J'adoube, quand on touche une piece qu'on ne veut pas joüer, mais seulement pour arranger son jeu.
L'amour courtois est un idéal de sentiments et de comportement à une époque du Moyen Âge. Il influera fortement le cadre de vie de l'aristocratie. Les principes de ce courant sont : courtoisie, loyauté, fidélité, amour.
Pour être chevalier, il faut posséder un cheval, être en mesure de l'entretenir mais aussi acheter son armure. Dès l'âge de 7 ans, le jeune garçon est placé chez un autre seigneur (un ami ou un membre de la famille) qui devient son parrain. Il y apprend à monter à cheval et à manipuler les armes, notamment l'épée.
1. a) [Moy. Âge] Jeune noble qui avait pour charge d'accompagner le chevalier à la guerre, de porter son écu, de l'aider à prendre les armes, à se désarmer en attendant que lui-même soit armé chevalier. Le comte se décida à le nommer écuyer.
« Un chevalier ne doit pas faire par peur de la mort quelque chose qui puisse lui être imputé à déshonneur, mais il doit davantage redouter la honte que la mort. »
En matière de devoirs, les chevaliers doivent protéger les orphelins, les veuves et l'Eglise. Les chevaliers doivent faire tout ce qu'ils peuvent pour que ces derniers ne soient pas attaqués ou ne meurent pas de faim. L'Eglise interdit aux chevaliers de se battre le Lundi, le Samedi et le Dimanche.
Il vivent dans la maison d'un seigneur chargé d'être leur parrain. Ils doivent suivre un apprentissage rigoureux qui s'apparente à une éducation militaire. Ils apprennent le maniement des armes et à monter à cheval. Une cérémonie marque l'entrée de ces garçons au sein de la chevalerie, il s'agit de l'adoubement.