Trous noirs stellaires, trous noirs supermassifs et minitrous noirs. Les trous noirs stellairestrous noirs stellaires se forment à l'occasion de l'effondrement gravitationnel de certaines étoiles massives qui explosent en supernovae. On sait qu'il existe, au cœur de certaines galaxies, des trous noirs dits supermassifs ...
Le trou noir qui se trouve au centre de notre galaxie, la Voie lactée, s'appelle Sagittarius A*.
Un trou noir dormant (image d'illustration). C'est le plus proche de notre planète que nous ayons découvert : un nouveau trou noir de masse stellaire se trouve à environ 1.600 années-lumière (une année-lumière équivaut à 9.461 milliards de kilomètres) dans la constellation d'Ophiuchus.
Au centre d'un trou noir se situe une région dans laquelle le champ gravitationnel et certaines distorsions de l'espace-temps (on parle plutôt de courbure de l'espace-temps) divergent à l'infini, quel que soit le changement de coordonnées. Cette région s'appelle une singularité gravitationnelle.
Surnommé « la Licorne », cet étrange objet stellaire semble être le plus petit trou noir jamais découvert. Il pourrait aider les astrophysiciens à résoudre l'un des plus grands mystères de l'univers. À près de 1 500 années-lumière de la Terre, un petit trou noir orbite autour d'une étoile géante.
Par de belles nuits d'Eté, nous pouvons observer une sorte d'arche lumineuse appelée : la Voie Lactée. C'est le nom donné à notre Galaxie qui renferme 100 à 200 milliards d'étoiles.
Au fil des ans, les scientifiques ont étudié la possibilité que les trous noirs puissent être des trous de ver menant vers d'autres galaxies. Ils pourraient même être, comme certains l'ont suggéré, un chemin vers un autre univers.
Cela est aussi valable pour la matière. On le dit « noir » car il ne peut ni émettre, ni diffuser de lumière. Il possède un « horizon des évènements » qui est la limite au-delà de laquelle on entre dans la zone de non-retour. Il existe des trous noirs de différentes tailles.
Le premier trou noir fut détecté en 1971 dans la constellation du Cygne. En 1974, Bruce Balick et Robert L. Brown détectent un astre extrêmement massif au centre de la Voie Lactée qu'ils baptisent Sagittarius A*. Il a fallu attendre la fin des années 1990 pour que sa nature de trou noir supermassif soit prouvée.
« Trou noir » est un terme inventé par le physicien américain John Wheeler en 1967, pour décrire une concentration de masse/énergie si compacte que même les photons ne peuvent se soustraire à sa force gravitationnelle. Découvrez ici l'histoire du trou noir.
Ces trous qui peuvent mesurer des dizaines de mètres de diamètre sont appelés "sinkhole" en anglais, littéralement "trou d'évier" et en français "doline". Ils correspondent à des dépressions circulaires provoquées par un affaissement des sols qui peut être progressif ou totalement soudain comme cela a été le cas ici.
On estime ainsi que les trous noirs résidus stellaires commenceront à s'évaporer dans cent milliards de milliards d'années et les trous noirs supermassifs dans un milliards de milliards de milliards de milliards d'années.
Il s'appelle Chuck Clark et il est l'un des meilleurs cosmonautes de la Nasa, l'organisme responsable de la recherche spatiale aux Etats-Unis. Dans 5 ans, cet Américain de 32 ans va vivre une aventure incroyable et très risquée : il s'est porté volontaire pour être le 1er homme à entrer à l'intérieur d'un trou noir !
Les trous noirs jouent aujourd'hui un rôle crucial non seulement en astrophysique mais aussi en physique des particules, et en particulier dans les théories essayant d'unifier la relativité générale et la physique quantique.
Un trou blanc, que l'on appelle aussi fontaine blanche, serait, en quelque sorte, le contraire d'un trou noir : si un trou noir est un endroit de l'espace où la matière est attirée, et disparaît, un trou blanc, serait, au contraire, un endroit où la matière « apparaîtrait », et d'où elle jaillirait, un peu à la manière ...
Une horloge avancerait à un rythme plus lent. En quelque sorte, donc, les trous noirs ralentissent le temps. Cet effet est tellement important que, si notre observateur lance un objet dans la direction du trou noir, il ne le verra jamais pénétrer à l'intérieur du trou noir.
Le principe d'un trou noir est que sa force gravitationnelle est tellement forte que rien ne peut en ressortir, même pas les rayonnements électromagnétiques (lumière visible, rayons X, gamma, etc.) qui se déplacent dans le vide à la vitesse de la lumière.
Le système solaire est constitué d'une étoile, le Soleil, autour de laquelle gravitent huit planètes, leurs satellites, des planètes naines et des milliards de petits corps (astéroïdes, comètes, poussières etc.)
Proxima du Centaure, une naine rouge
Depuis environ 32.000 ans, c'est Proxima du Centaure (aussi appelée Proxima Centauri) qui est l'étoile la plus proche de la nôtre.
Le sens le plus courant désigne notre planète, la Terre, avec ses habitants, et son environnement plus ou moins naturel.
Le Grand Mur d'Hercule et de la Couronne boréale est un filament galactique, le plus grand donc connu à ce jour. Cette superstructure se compose de plusieurs milliers de galaxies, lesquelles sont réparties en amas et en superamas interconnectés entre eux par des filaments de gaz chauds.
Grâce au télescope Hubble, un trou noir vient d'être découvert à quelques encablures de notre planète après douze années de recherche. Situé à seulement 6.000 années-lumière de la Terre, il a été repéré au cœur de Messier 4, un amas globulaire dans la constellation du Scorpion.
Mauvaise nouvelle pour la Terre
Les forces gravitationnelles responsables de la spaghettification entreraient en action : la surface du globe la plus proche du trou noir serait soumise à une force bien supérieure à celle qui s'exercerait de l'autre côté, entraînant l'arrêt de mort de la planète.