La phrase incise accompagne généralement les citations et les dialogues. Elle indique qui prend la parole dans un discours rapporté direct. La phrase incise contient un verbe de parole (dire, répondre, répliquer, protester, chuchoter, crier, implorer, etc.)
Le dialogue est généralement annoncé par un guillemet ouvrant au début de la première réplique. Chaque changement d'interlocuteur est ensuite précédé d'un tiret. Le dialogue se termine par un guillemet fermant après la dernière réplique.
La présentation du dialogue
Un dialogue est nettement séparé du récit par la ponctuation. Selon le cas, l'écrivain emploie : des tirets devant chacune des répliques du dialogue ; des guillemets pour encadrer le dialogue et un tiret à chaque changement d'interlocuteur (voir le dialogue qui suit).
Le dialogue dans un récit se présente de la manière suivante : Les phrases prononcées par les personnages et rapportées au discours direct sont mises entre guillemets précédées d'un tiret et d'un verbe introducteur. On remarque que le registre de langue du discours est familier alors que celui du récit est soutenu.
On peut distinguer 3 types d'intensité de la voix : voix assurée : déclarer, s'exclamer, proclamer ; voix forte : crier, s'écrier, hurler, tempêter, gronder, rugir ; voix faible : chuchoter, murmurer, souffler, soupirer.
Les principaux verbes introducteurs de pensée ou de parole sont : « dire », « déclarer », « demander », « murmurer », « parler », « appeler », « crier », « questionner », « s'exclamer », « déclamer ». Claire dit : « J'aimerais que tu viennes, cela me ferait plaisir. »
Le présent de narration est utilisé quand, dans un texte au passé, une action est transcrite au présent pour apporter plus de vivacité au récit et donner au lecteur l'impression de voir la scène sous ses yeux. Je dormais paisiblement quand, tout à coup, quelqu'un frappe à la porte.
introduire le dialogue par un verbe introducteur de parole suivi de deux points ; ouvrir le dialogue par des guillemets ; aller à la ligne chaque fois qu'un personnage différent prend la parole et placer un tiret devant ; fermer le dialogue par des guillemets après la dernière parole rapportée.
Dans les dialogues, les personnages s'expliquent, discutent, échangent des informations. Ainsi, ils font avancer l'action. Le dialogue est donc une autre façon pour le narrateur de continuer son récit.
Un bon dialogue est un dialogue fluide, — sans fioriture donc — qui ne fait pas “sortir” le lecteur du récit. Qui plus est, un dialogue écrit qui fonctionne permet souvent de répondre un objectif précis : soutenir le prédicat du livre tout en portant le prédicat du passage, du chapitre.
Comme toutes communications, le dialogue comprend au minimum un émetteur et un récepteur. Cependant, le dialogue se distingue dans le processus qui unit ces deux protagonistes.
Dialoguer c'est explorer l'avis de l'autre en le questionnant : "qu'est ce qui vous pousse à dire ça?" Le dialogue est par essence divergent. Son but n'est pas de mettre les gens d'accord mais de mieux comprendre les enjeux complexes. DISCUTER c'est présenter et défendre des opinions différentes.
Ouvrage littéraire en forme de conversation qui permet à l'auteur d'exposer ses idées en faisant tenir le rôle de contradicteur à l'un des personnages. 5. Alternance du chant entre deux solistes, ou un soliste et un chœur, ou deux chœurs ; échange entre plusieurs instruments.
Le verbe introducteur sert à introduire un acte de parole, à rapporter des paroles dans un récit. Il précède ou suit une réplique dans un dialogue. Le verbe « dire » comporte plusieurs significations.
– la vue : apercevoir, contempler, dévisager, entr'apercevoir, entrevoir, épier, espionner, examiner, fixer, guetter, guigner, lorgner, loucher sur, mater, mirer, observer, reluquer, revoir, regarder, scruter, surveiller, viser, voir, zyeuter ; – l'ouïe : auditionner, bruire, écouter, entendre, ouïr, réécouter, ...
Le discours direct effectué à l'aide des deux-points et des guillemets. On peut aussi isoler des paroles rapportées directement à l'aide de guillemets (« »). On introduit généralement cette forme de discours direct par un verbe de parole (dire, répondre, parler, etc.).
Dans un dialogue, on retrouve souvent : des guillemets, des tirets et des retours à ligne. Pour écrire un dialogue, tu dois : - ouvrir les guillemets au début et les fermer à la fin de la discussion ; - aller à la ligne et mettre des tirets à chaque fois que tu changes de personnage.
Contraire : monologue, soliloque. 2. Discussion visant à un accord.
Le monologue est le discours d'une seule personne, le dialogue est une discussion, un échange à plusieurs. En principe, c'est une bonne définition du monologue et du dialogue. Mais il y a d'autres subtilités à connaître. Babbel fait le point !
Dans une situation d'énonciation, l'émetteur (celui qui parle/celui qui écrit) peut être amené à rapporter des paroles prononcées par quelqu'un d'autre que lui. Pour celui, il lui faut alors utiliser un verbe introducteur de paroles. Par exemple : Maxime avait dit à sa mère : « Je ne mangerai pas à la maison ce soir. »