papoose (n.m.) 1. (familier;indien d'Amérique)jeune enfant, de deux à cinq ans.
squaw n.f. Chez les Indiens de l'Amérique du Nord, femme mariée.
Le mot « squaw » est un nom qui désigne en langues anglaise et française une femme ou une épouse d'origine autochtone d'Amérique. Fortement lié à l'histoire coloniale de l'Amérique du Nord, le terme est généralement perçu comme péjoratif et gagne au fil du temps une connotation raciste et sexiste.
Parmi les grandes tribus qui subsistent encore aujourd'hui, on trouve les Sioux, les Navajos, les Pueblos, les Cheyennes, les Cherokees, les Comanches, les Iroquois, les Apaches, les Omahas, les Cris ou les Mohaves. Les natifs parlent l'une des 296 langues indigènes reconnues aux États-Unis.
Le tilak, tika, ou pottu est une marque portée sur le front par des hindous. C'est une marque censée porter bonheur, apposée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bienvenue ou bien le tilak indique l'appartenance à un groupe religieux.
POURQUOI LES INDIENNES PORTENT-ELLES UN POINT ROUGE SUR LE FRONT ? Le
Les habitants de l'Inde sont donc appelés les Indiens et les Indiennes. Mais qu'en est-il du terme Hindou ? Il s'agit en réalité du terme qui se rapporte à l'une des religions les plus pratiquées en Inde : l'hindouisme. Un hindou (ou une hindou) est donc une personne adepte de cette religion.
Marque, généralement circulaire et de couleur rouge, symbole de prospérité domestique, apposée sur le front, siège de la sagesse dans la tradition hindouiste. (Au nord de l'Inde, il est réservé aux femmes mariées ; ailleurs, chacune peut le porter tel un maquillage.)
«
Le blanc : symbolise la paix, la pureté, la virginité et la connaissance C'est également la couleur du deuil en Inde.
Dès le XVIème siècle, ils se mettent à voler les chevaux aux espagnols et attrapent des maladies au contact des blancs qui décime des populations. Ces indiens, se peignaient le visage ainsi que certaines parties du corps et les blancs, en les découvrant, les surnommèrent les
Pourquoi le teint de
Les piercings sont également considérés en Inde comme une marque de beauté karmique et le piercing du nez souligne en particulier le niveau de richesse élevé de celle qui le porte. Le perçage de la narine en Inde daterait du XVI e siècle et aurait initialement été utilisé pour célébrer Parvati, la déesse du mariage.
Le bindi ne se porte pas sur une partie du corps anodine, en effet la zone entre les sourcils fait partie des centre névralgique dus corps humain. Appliquer sur cette zone des bijoux stimule l'énergie du corps.
La dhoti — de l'hindi धोती (dhotī), parfois notée dhuti et autrefois appelée paridhana — est un vêtement à l'usage des hommes, traditionnel au Bengale et dans la vallée du Gange et qui a été adopté dans une grande partie de l'Inde. Il consiste en une pièce rectangulaire de cotonnade fine d'environ 5 m sur 1,20 m .
La barbe, les poils du corps sont rares, parce que les Indiens s'épilent. La prunelle de l'œil est noire, le regard triste, les paupières un peu obliques.
Traditionnellement, la couleur du maquillage est accordée avec le sari et non avec la couleur des yeux. C'est donc votre tenue qui détermine le camaïeu que vous utilisez. Ce maquillage nécessite 4 tons différents pour les yeux : 2 clairs et 2 foncés, comme un dégradé de rose et de fuchsia par exemple.
L'idée est assez simple. Avec l'arrivée des colons, les populations ont été en partie massacrées, réduites en esclavage ou décimées par les maladies importées de l'ancien monde. Avec leur disparition, ce sont des millions d'hectares de terres cultivées qui ont été abandonnées.
En Inde, les défunts sont enroulés dans un linceul, placés sur un brancard surplombant un bûcher fait d'environ un tiers de tonne de bois. Les défunts sont recouverts de fleurs, et sont brûlés. Les fleurs préférées consistent en des œillets d'Inde, en raison de leur caractère sacré.
L'Inde et le Vietnam privilégient le blanc. Au Japon, les personnes en deuil portent du noir et du blanc. En effet, les japonais considèrent que le défunt se transforme en corps de lumière. La Chine se revêt de blanc, qui symbolise la mort, et de rouge, pour rappeler le sang et la douleur.
Les fleurs ne sont donc pas valorisées car elles sont considérées souvent comme superflues. Pour remplacer les pétales de fleurs, trois poignées de sable sont jetées sur le cercueil pour rendre un dernier hommage au défunt. Dans le rite musulman, la tradition veut que l'on n'offre pas de fleurs à la famille endeuillée.
Le mouvement de tête, te déconcertera.
Il ne s'agit à la fois ni d'une réponse affirmative, ni négative, mais plutôt un signe qui signifie :« Tout va bien » « Je comprend », « Surement », ou encore « Peut-être ». Il n'est pas dans la culture indienne de provoquer un échange tendu ou une dispute.
Le salut traditionnel indien (le namaste) consiste à joindre les deux mains sous le menton en inclinant légèrement la tête. Il est à utiliser avec précaution toutefois car la jeune génération indienne tend à utiliser de plus en plus la poignée de main en affaires.