Poèmes sans titre ou les titres sont simplement « Sonnets ».
Un vers libre est un vers qui n'obéit pas à une structure régulière : ni mètre, ni rimes, ni strophes. De son côté, le vers traditionnel observe un nombre fixe de syllabes par vers et de vers par strophe.
On les appelle les poèmes hétérométriques. Le contraire d'hétérométrique est isométrique. Il ne faut toutefois pas confondre un poème en vers libres et un poème hétérométrique.
Le poème en prose est une forme poétique qui n'utilise pas les techniques de rimes, de versification et de disposition du texte traditionnellement utilisées en poésie.
Poème dont les initiales des vers, lues verticalement, composent un mot (nom de l'auteur, du dédicataire, terme clef).
Ils imposent l'alexandrin, l'ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures et abordent les quatre principaux thèmes de la poésie élégiaque : l'amour d'une femme, la mort, la fuite du temps et la nature qui les entoure, et parfois ensemble (« Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle... »).
Elles se distinguent par leur sujet, leur registre, leur longueur, selon les cas. À partir du XIXe siècle, les poètes privilégient les formes libres. Parmi les formes libres, les plus importantes sont le blason, le calligramme, le poème en prose et l'épigramme.
Apparu au XIXe siècle et répondant à un besoin de modernité, le vers libre n'obéit ni à une forme de régularité, ni à un système de rimes. Les vers libres peuvent ne pas être ponctués et se placent parfois de manière anarchique sur la page.
En poésie, vers soumis à aucune règle de forme.
Un monostique est, comme l'indiquent les deux racines grecques qui le composent, une strophe d'un seul vers.
Un poème en vers libres est un poème qui ne présente aucune structure définie. Les vers sont de longueur variable et peuvent être rimés ou non. Le poème en vers libres n'est pas nécessairement constitué de strophes et ne respecte pas un rythme fixe, c'est-à-dire que le nombre de pieds par vers est variable.
Ce sont ces règles qui définissent la forme d'un poème et les types de textes poétiques. On distingue alors différentes formes poétiques : les formes poétiques fixes et les formes poétiques libres.
-L'alexandrin: vers de douze syllabes, le plus employé depuis le milieu du 16ème siècle. Il tient d'un poème du 12ème siècle sur Alexandre le Grand; -Le décasyllabe: vers de dix syllabes (du grec déka "dix"). -L'octosyllabe: vers de huit syllabes (du grec oktô "huit").
Il doit être composé de 14 vers. Il doit contenir deux quatrains (strophe de quatre vers) suivis de deux tercets (strophe de trois vers), entièrement formés d'alexandrins (vers de douze syllabes). La disposition des rimes composant la finale de chacun des vers doit épouser la structure suivante : ABBA ABBA CCD EDE.
Les membres de ce groupe vite célèbre expérimentent tous les genres poétiques, des « amours » aux « discours », de l'épopée aux cantiques.
La Pléiade, qui s'est d'abord appelée la Brigade, est un groupe de poètes français du XVIe siècle dont le but est notamment de valoriser la langue française tout en s'inspirant des mythologies et des littératures antiques (grecque et latine).
La rime doit être riche et d'autant plus riche que le vers est long ; mais le sens du vers ne doit en aucun cas être sacrifié à l'utilisation d'une rime riche.
Poème à forme fixe, emprunté par les romantiques à la poésie malaise appelée pantun. (Il se compose de quatrains à rimes croisées, dont le deuxième et le quatrième vers fournissent les premier et troisième vers du suivant ; le dernier vers de la pièce répète le premier.)
Selon les Oulipiens, l'acrostiche est « à partir d'un nom ou d'un mot donné, un poème qui compte autant de vers que ce mot compte de lettres. Un bel exemple avec ces vers d'Anne-Marie Derese, poétesse belge, où l'acrostiche dévoile des mots liés à la thématique de sa poésie.
Un vers de douze syllabes est appelé dodécasyllabe ou alexandrin.