Le principe de la somatisation
Le cortisol a tendance à détruire notre corps. Ce sont souvent les organes qui sont touchés, ou encore les articulations. Mais la somatisation possède aussi une origine verbale. Environ toutes les 90 minutes, notre cerveau entre en état d'auto-hypnose.
Le trouble somatoforme et les troubles liés sont caractérisés par des symptômes physiques persistants qui sont associés à des pensées excessives ou inadaptées, à des sentiments et à des comportements en réponse à ces symptômes et à ces craintes associées.
Il s'agit de symptômes répétés, durables ou invalidants, entrainant une demande de soins dont le retentissement majeur contraste avec l'absence d'anomalie clinique ou paraclinique pouvant les expli- quer entièrement. Les symptômes sont souvent multiples.
La somatisation est un trouble à symptomatologie somatique (anciennement appelé trouble somatoforme) : c'est-à-dire, un trouble psychologique qui se caractérise par des symptômes physiques persistants, accompagnés de pensées et craintes excessives et inadaptées.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de l'hypocondrie sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Dans certains cas on retrouve des événements traumatisants dans les antécédents : proche décédé brutalement d'une maladie…
« L'examen somatique doit être réalisé dès que possible. Celui-ci doit comporter au minimum la mesure des paramètres suivants : vigilance ; pression artérielle ; pouls ; température ; fréquence respiratoire ; glycémie capillaire.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Anxiolytique naturel, doux et efficace, le CBD est de plus en plus privilégié pour réduire l'anxiété passagère ou chronique. C'est d'ailleurs plus de 260 millions de personnes qui souffrent de troubles anxieux, selon les dernières études de l'Organisation mondiale de la Santé.
Première étape : repérer ces signes et se rendre compte qu'on ne va pas bien. Sans ça, on ne peut pas résoudre le problème. Deuxième étape : si l'on y arrive : identifier la ou les causes du mal-être. Ça permet d'expliquer aux autres ce qui ne va pas et voir sur quoi il faut agir pour améliorer la situation.
L'anxiété peut se déclencher avec le stress, suite à un événement personnel difficile ou à une expérience négative. Elle se manifeste notamment par une inquiétude diffuse, des douleurs musculaires, des problèmes de sommeil et de concentration.
Le corps parle pour la tête. Concernant l'anxiété, on ne croit pas si bien dire. En effet, cet état psychologique engendre des symptômes physiques. Le cœur, les muscles, les intestins…
Mal à la tête
Les maux de tête sont souvent directement liés au stress. Il peut s'agir de céphalées de tension. Les céphalées de tension se traduisent par une douleur au niveau de la nuque, des tempes ou du front. Elles couvrent une large partie de la tête (effet casque).
La réalisation de ces différents examens va permettre d'éliminer les tableaux neurologiques à formes psychiatriques tels que l'encéphalite limbique, l'épilepsie temporale ou le syndrome frontal.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Un examen clinique peut-être qualifié de "complet" lorsque le patient est examiné "de la tête aux pieds." L'examen clinique complet comprend donc : un examen clinique cardiaque et vasculaire, pulmonaire, neurologique, urologique, gynécologique pour les femmes, dermatologique, stomatologique, etc.
Selon lui, la peur de l'adversaire "cancer" fait des dégâts, alors que mieux comprendre ce qui se passe biologiquement et mobiliser ses ressources via des soins de support comme la phytothérapie ou le coloriage, permettrait de se poser les bonnes questions, et de s'engager dans le chemin de la guérison.
La nosophobie (ou pathophobie) est la peur de contracter une maladie (IST, cancer…). A ne pas confondre avec l'hyponcondrie qui désigne la peur de la maladie en général. La nosophobie peut être liée au souvenir d'un parent malade pendant l'enfance.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
L'accélération du rythme cardiaque « donne l'impression que le cœur bat de façon irrégulière ». Le pouls est même perceptible « dans les tempes et au niveau du cou » ; Les signes vasculaires correspondent à « des sensations de froid ou de chaud, à des frissons, les mains moites, des sueurs, la bouche sèche ».
Stress, tensions des muscles et mal de ventre
La souffrance psychique peut provoquer aussi chez certains un « stress physique ». Les muscles se contractent quand « ça va pas ». C'est un reste de la vie préhistorique. En effet, en situation de danger, le corps se préparait alors à l'attaque ou à la fuite.
La méditation est une pratique de libération : elle permet de libérer l'esprit de ses mécanismes destructeurs. Lorsque l'on parle de méditation comme pratique de transformation de l'esprit, on dissout la souffrance.