Le mot “calvaire” vient du latin “calvarium", traduction de l'araméen “Golgotha”, voulant dire : Lieu du crâne. Croix ou calvaires ? On peut s'y méprendre. Sur les routes de nos campagnes, elles sont nombreuses à se dresser sur les carrefours et chemins.
Une croix : simple symbole ; Un crucifix : une croix avec une statue de Jésus cloué ; Un calvaire : une croix ou un crucifix et les deux croix des Larrons ; La 14e et dernière station (elles étaient 15 avant le XVII e siècle, mais le tombeau, vide, en est exclu) d'un Chemin de croix, la Passion du Christ.
La croix est un symbole en forme d'intersection, formée de deux lignes ou plus. La « région » est une zone définie par l'intersection (il y a ainsi en général quatre régions). Deux types de croix : en haut une croix grecque et en bas une croix de saint André.
Vivre un calvaire signifie subir une lourde épreuve physique ou morale. Cette expression fait référence au lieu où le Christ fut crucifié et mourut après de longues souffrances : une colline voisine de Jérusalem, nommée Golgotha ou Calvaire. « Golgotha » signifie en hébreu « le lieu du Crâne ».
Elles agrémentent les bourgs, les hameaux et les villes, ainsi que les routes et symbolisent la foi de la communauté. Elles se multiplient à partir de 1095, date à laquelle le droit d'asile est étendu aux croix de chemins qui ont alors un double rôle de guide et de protection.
Les croix sur les montagnes s'apparentent aux autres points de repères religieux dans le paysage : chemins de croix, chapelles et oratoires, grottes.
6) La croix huguenote symbolise la souffrance du Christ
Ce sont pour ainsi dire deux symboles qui renvoient aux douleurs du Christ et des chrétiens de l'époque. Selon les dires, les quatre lys à trois pétales dont le tout fait douze pétales représenteraient les douze apôtres.
Les grands calvaires, appelés communément calvaires monumentaux, sont des œuvres que l'on rencontre seulement en Bretagne. Construits entre les années 1450 et 1610, ils sont les témoins de la prospérité d'un territoire alliée à la ferveur religieuse de la population.
Le calvaire est alors un bien vacant, que l'on qualifie en droit de res nullius (s'il n'a jamais appartenu à personne) ou de res derelictae (s'il a été abandonné). Dans ce cas, le calvaire est réputé appartenir à la commune sur le territoire de laquelle il est implanté [1].
L'ânkh est également connue sous une multitude d'appellations : croix égyptienne, croix ansée, clé de vie, croix de vie ou encore croix du Nil. Il s'agit d'un hiéroglyphe qui représente le mot ˁnḫ, qui signifie “vie”.
➙ calvaire, crucifix. locution, familier C'est la croix et la bannière, c'est toute une histoire (comme dans une procession). (Autres symboles) Croix de Lorraine, à double croisillon. Croix grecque, à branches égales.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
calvaire, martyre, supplice, torture, tourment. 2.
Symbole principal du christianisme, la croix latine est composée d'un long trait vertical, traversé par un autre plus court à l'horizontale. Elle représente la crucifixion du Christ, son sacrifice, mais également sa résurrection.
Le premier logo de la Croix-Rouge
Celui-ci est tout simplement inspiré du drapeau de la Suisse, où l'organisation est créée. Les couleurs sont alors tout simplement inversées: une croix rouge sur un fond blanc au lieu d'une croix blanche sur un fond rouge.
Ce juron apparaîtrait pour la première fois sous la plume... d'Arthur Rimbaud ! Le poète, âgé alors de 10 ans, écrit dans ses « Proses et vers de collège » en 1864 : « Ah ! saperlipotte de saperlipopette ! Sapristi !
Relatif à l'ontologie, l'adjectif ontologique désigne ce qui est en rapport avec l'être, par opposition au paraître. En ce sens, le synonyme qui se rapproche le plus de cette notion est métaphysique.
Il est alors synonyme de favoritisme ou de copinage.
Depuis des millénaires, les croix celtiques ornent de nombreuses tombes dans divers pays comme l'Irlande, l'Ecosse, les pays des Galles, en Grande-Bretagne et en Europe. Bien qu'elles véhiculent une image évidente du christianisme, les croix nimbées ont d'autres origines plus lointaines.
La croix celtique ou croix nimbée est une croix dans laquelle s'inscrit un anneau. Elle est le symbole caractéristique du christianisme celtique. Les branches de la croix dépassent toujours de l'anneau, et sur les représentations les plus détaillées, le cercle est en retrait par rapport à la croix.
La Vraie Croix, dite également Sainte Croix, serait la croix sur laquelle Jésus-Christ a été crucifié.
La croix des protestants est dite « croix huguenote ». Elle se compose d'une croix et d'un pendentif. Les quatre branches de la croix, de longueur égale, évoquent la croix de Malte et celle du Languedoc. Elle ressemble aussi à celle de l'ordre du Saint-Esprit, institué par le roi Henri III.
La croix huguenote est un symbole protestant, originaire du Sud de la France, en forme de croix de Malte aux pointes garnies de perles.
La croix russe
C'est une croix qui rappelle l'histoire de la crucifixion des deux voleurs au côté de Jésus. Rappelons-le, le voleur de droite a pris la décision de se repentir de tous ses péchés alors que celui de gauche était resté fidèle à lui-même.