addicte. addicts. Se dit d'une personne soit sous dépendance d'une substance, comme l'alcool ou la drogue, soit sous dépendance d'une activité spécifique, comme le jeu, l'informatique, etc. Exemple : Il est addict aux machines à sous.
Revenons à l'adjectif addictif et soumettons-le au dictionnaire de cooccurrences d'Antidote pour trouver les noms les plus fréquents avec lesquels il s'associe : conduites addictives, drogues addictives, caractère addictif, comportements addictifs, effets addictifs, pouvoir addictif…
Assuétude, dépendance à une drogue, toxicomanie. Adjudication.
Il existe deux types d'addictions : Des addictions liées à des produits : tabac, alcool, médicaments ou drogues. Des dépendances non liées à des produits : dépendance au travail dite « workaholisme », aux jeux, à Internet, au téléphone…
La bigorexie est une addiction à l'activité physique encore nommée addiction à l'effort.
Il s'agit de l'addiction au sport. Il ne s'agit pas ici d'une simple passion mais bien d'une dépendance à la pratique excessive d'un sport pouvant provoquer de nombreux problèmes de santé. Environ 15 % des sportifs pratiquant entre une et plusieurs heures de sport par jour peuvent être concernées par la bigorexie.
Qu'est-ce que la bigorexie ? (Définition)
C'est une pratique sportive excessive, répétée mais inadaptée. Ce besoin compulsif pousse la personne à suivre, de façon intensive une, voire plusieurs, activités physiques afin d'en retirer des bénéfices immédiats en dépit des conséquences négatives sur le long terme.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
L'addiction est une maladie multifactorielle qui associe troubles biologiques et psychiques entrainant des problèmes sociaux. Sa prise en charge doit donc prendre en compte toutes ces composantes. Ainsi, la thérapie vise à l'abstinence et passe par un accompagnement psychologique.
Le manque d'estime de soi est souvent à l'origine de la dépendance affective. Il peut se traduire par un sentiment d'inutilité, d'échec, par un manque de confiance en soi et par des relations déséquilibrées. Les états anxieux, le repli sur soi, la dévalorisation sont alors symptomatiques du manque d'estime de soi.
Qui est caractérisé par la compulsion, par des gestes répétitifs, par des idées fixes.
1. Éprouver un vif attachement, se passionner pour quelque chose : Un peuple épris de liberté. 2. Éprouver un sentiment qui attire vers quelque chose, quelqu'un ; se passionner, s'emballer pour : Il s'est épris d'un goût soudain pour l'archéologie.
1. Obligation de fidélité et d'obéissance qui incombe à une personne envers la nation à laquelle elle appartient et le souverain dont elle est sujette. 2. Manifestation de soutien, voire de soumission envers quelqu'un, un groupe.
Black joint :
cigarette contenant un mélange associant du crack à du cannabis (herbe) voire à du tabac.
➣ L'addiction est une incapacité à contrôler sa consommation en ayant conscience des effets néfastes (trouble du comportement). ➣ La dépendance est un phénomène physiologique qui conduit à consommer à nouveau pour ne pas subir les effets désagréables du manque (trouble physiologique).
Hérédité, pas fatalité
Statistiquement, l'enfant d'un usager de drogues présente un risque huit fois plus élevé de développer une dépendance, comparativement à un enfant de parents sains. Cette réalité est le résultat de plusieurs facteurs : environnement familial et social, composante héréditaire, etc.
L'addiction résulte de l'interaction de facteurs personnels et environnementaux. Elle peut aussi être favorisée par la consommation de certaines substances ou la présence de troubles psychologiques.
La consommation de substances psychoactives est responsable en France de plus de 100 000 décès évitables par accidents et par maladies, dont près de 40 000 par cancers. Les conduites addictives interviennent ainsi dans environ 30 % avant 65 ans (également appelée mortalité prématurée).
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend. Mais le cannabis est beaucoup plus dosé qu'autrefois. Selon son pays d'origine, sa concentration peut être conséquente", alerte-t-elle.
Les addictions comportementales. Les addictions aux jeux de hasard et d'argent et celles aux jeux vidéo sont des addictions comportementales, considérées et reconnues comme une maladie. D'autres troubles addictifs comportementaux sont actuellement à l'étude.
La prise en charge psychologique se base sur la psychothérapie individuelle centrée sur les vulnérabilités psychologiques. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) Les entretiens motivationnels pour la motivation au changement et la psychothérapie collective avec les groupes de patients.
Un entraînement répété en prévision de compétitions d'endurance extrême, telles que des triathlons et des courses de vélo de très grandes distances comme en font régulièrement les concurrents du Tour de France, peut accroître le volume de certaines cavités du cœur.
L'addiction au sport se caractérise par la pratique compulsive d'une activité physique, au point d'avoir des répercussions négatives sur l'organisme. Le sportif accro passe sa journée à faire de l'exercice, compromettant ses relations sociales et négligeant ses engagements professionnels.
Les endorphines : le vrai plaisir de pratiquer un sport
Les endorphines sont des hormones libérées par notre corps et contrôlées par notre cerveau lors de certaines circonstances qu'elles soient positives ou négatives. Entre autres, une activité sportive pendant plus de 30 minutes induit la sécrétion d'endorphines.