ÉTUDE – Un neurologue explique l'insensibilité musicale de certaines personnes dans une nouvelle étude : il s'agit d'une maladie qu'il appelle l'anhédonie musicale. Il y a des gens qui n'aiment pas la musique.
Être insensible à la musique porte un nom dans la communauté scientifique : l'« anhédonie » musicale. Une nouvelle étude a révélé que 3 à 5 % de la population était soumise à ce symptôme unique, soit une absence de connexions cérébrales entre la zone qui traite les sons et la zone de récompense.
mélomane adj. et n. Qui aime la musique, en particulier la musique classique.
Un mélomane est une personne qui aime passionnément la musique. Le terme est composé des mots du grec ancien "mélo" (relatif à la musique et au chant) et "mane" (ayant une manie, adorant quelque chose avec passion).
L'amusie est une maladie soit génétique soit congénitale culturelle ou provoquée par une lésion cérébrale qui touche 4% de la population mondiale. Paradoxalement, on parle de surdité musicale, alors même que l'appareil auditif du patient peut fonctionner parfaitement : la cause du trouble est uniquement cérébrale.
Avoir l'oreille absolue correspond à la faculté d'identifier chaque hauteur de son sans référence auditive préalable. Cela n'est bien sûr pas dû à la taille ou à la forme de nos oreilles mais bel et bien à la capacité de notre cerveau à déterminer et déchiffrer l'information envoyée par notre conduit auditif.
Or, comme le daltonisme pour les couleurs, le manque de rythme porte un nom : la surdité rythmique. Et contrairement à ce que son nom indique, ce n'est pas la capacité auditive du 'mauvais danseur' qui est remise en question, c'est dans son cerveau que se cache l'origine du problème.
chantant (adj.) 1.
De manière générale, les musiques très plaisantes activent les régions du cerveau impliquées dans la récompense/motivation, les émotions et l'excitation, notamment le striatum ventral, le mésencéphale, l'amygdale, le cortex orbitofrontal et le cortex préfrontal ventral médian [78].
virtuose (n.) 1. artiste, musicien, doué d'une très bonne technique, très brillant.
MUSICOPHILE : Définition de MUSICOPHILE.
MÉLOMANIE, subst. fém. Littér. Amour passionné et excessif de la musique.
Écouter de la musique peut aider à réduire l'anxiété, la douleur ou à se motiver pour faire du sport. La musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui nous fait nous sentir mieux.
Connaissez-vous « l'anhédonie musicale » ? Il s'agit d'une indifférence totale à la musique. Les personnes qui y sont sujettes – environ 3% à 5% de la population – seraient incapables d'apprécier le moindre morceau.
pourquoi L'abus de musique est déconseillé
Une étude a en effet démontré qu'écouter trop de musique pouvait rendre totalement amorphe et apathique. De la même manière qu'une overdose de malbouffe, écouter de la musique sans arrêt peut nous conduire à manger plus sans même faire attention à ce qu'on mange.
L'émotion musicale est un dialogue, une communication non verbale, ici entre le promeneur et le flûtiste. Le plaisir qu'elle suscite régule les comportements affectifs (pensez au nombre de fois où vous avez ressenti le besoin d'écouter de la musique pour vous détendre).
La musique fait réagir les hémisphères du cerveau avec un effet direct sur le corps. Au contact d'une musique douce ou classique, le rythme cardiaque ralentit, la tension artérielle diminue, tout comme les niveaux d'hormone du stress. La respiration devient plus profonde et régulière.
Un tel effet est qualifié d'amorçage affectif et suggère que la musique modifie l'état affectif du sujet, ce qui le conduit à projeter l'émotion musicale ressentie sur le stimulus neutre. Dans ce type d'études, l'émotion musicale influe sur le comportement du sujet sans qu'il n'ait à exprimer ce qu'il a ressenti.
Soprano est la voix la plus aigüe de femme, mezzo-soprano est la voix médium et contralto (ou alto) est la voix de femme la plus grave et est très rare. Pour les hommes : La voix la plus aigüe est Ténor, baryton est la voix médium et basse est la voix la plus grave.
Dans le chant classique, les typologies vocales peuvent être différenciées en basse, baryton, ténor et contreténor pour les hommes, contralto ou alto, mezzo-soprano et soprano pour les femmes. Il existe aussi des subdivisions dans chaque registre.
Les voix d'hommes, mais aussi de femmes, qui font fantasmer sont celles qui sont chargées en harmoniques graves. Cela signifie qu'ils sont produits par des cordes vocales soumises à un taux de testostérone élevé. Or la testostérone est chez les hommes comme chez les femmes, une hormone indispensable à la libido.
Un déficit moteur général est donc exclu de l'explication. Les personnes qui ne savent pas suivre le rythme sont capables de le faire lorsqu'il n'y a pas de musique. Dès qu'une musique est jouée, les personnes qui ne savent pas suivre le rythme étaient incapables de le faire.
Des zones particulières du cerveau stimulées
Selon les conclusions de l'étude, l'activité cérébrale se synchronise avec la fréquence des battements. De plus, une musique très riche en basses cale mieux le cerveau sur le rythme. Pour les chercheurs, cette synchronisation s'explique.
Pour développer son rythme, il faut travailler sur deux éléments importants : la perception rythmique, plutôt l'aspect théorique donc, et la sensation physique lié au rythme (un peu plus complexe). La bonne nouvelle, c'est que vous pouvez développer votre sens du rythme partout et tout le temps !