Les propositions introduites par des conjonctions de subordination sont appelées « propositions subordonnées conjonctives ». de temps (comme, lorsque, quand, après que, avant que, aussitôt que…) Nous sommes arrivés comme il partait. Préviens-moi lorsque tu seras prêt.
Quand deux propositions (ou phrases) sont coordonnées, elles sont reliées par une conjonction de coordination ou un adverbe de liaison : adverbe de liaison : en effet, puis, aussi, alors, par conséquent, enfin, cependant... conjonction de coordination : mais, où, et, donc, or, ni, car.
Les propositions adverbiales ou circonstancielles
On peut donc normalement les déplacer ou les supprimer. Elles sont introduites par des conjonctions de subordination : quand, bien que, alors que, comme, après que, avant que, pendant que, parce que, etc.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
La nature d'une proposition subordonnée
Pour donner la nature d'une proposition subordonnée, on analyse la classe grammaticale du mot introducteur ou, s'il n'y en a pas, le mode du verbe noyau. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.)
- Une proposition indépendante a un sens par elle-même ; elle ne dépend d'aucune autre proposition. - Lorsqu'il y en a plusieurs dans une phrase, elles sont juxtaposées si elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. - Elles sont coordonnées lorsqu'un mot de liaison les relie.
Re: Les propositions coordonnées et subordonnées.
Ces phrases sont toutes les deux des phrases complexes qui expriment la cause mais de deux façons différentes, l'une par la coordination, l'autre par la subordination (il s'agit d'une subordonnée conjonctive circonstancielle de cause).
1. La juxtaposition : Quand deux propositions sont juxtaposées, elles sont liées par un signe de ponctuation : une virgule, un point-virgule ou deux points. Exemple : Le grenier révéla toutes ses tentations : je ne le quittais plus.
Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
Les propositions introduites par des conjonctions de subordination sont appelées « propositions subordonnées conjonctives ». de temps (comme, lorsque, quand, après que, avant que, aussitôt que…)
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.
Définition de la subordonnée infinitive
La subordonnée infinitive est une proposition subordonnée complétive ; c'est à dire que la subordonnée est complément d'objet direct du verbe de la principale. La subordonnée infinitive correspond à des critères précis : Elle a son sujet propre.
Une proposition subordonnée conjonctive complétive est une proposition introduite par "que". Elle peut être complément d'objet direct, sujet ou (plus rare) attribut du sujet de la principale. Je crois que l'automne arrive.
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec. dont : L'homme dont je t'ai parlé arrive.