Les formes d'apprentissage classiques, lecture, relecture et prise de notes de manière intensive paraissent être les plus efficaces. Pareil pour l'éducation, nous pensons que l'enseignement classique, la présentation du cours puis la pratique d'exercice est la meilleure technique.
Comment mettre en œuvre la méthode Feynman ? L'idée est simple : Commencez par choisir un sujet / un concept / une partie de votre cours et délimitez-le ; Rédigez sur une feuille blanche (et en faisant des phrases) tout ce que vous connaissez du sujet en l'expliquant avec des mots simples.
Oui, car lire plus vite ne signifie pas retenir moins bien. Des tests ont montré qu'un individu entraîné assimile 80% des thèmes abordés, contre 60% pour un lecteur ordinaire. L'explication est simple : la lecture rapide impose une attitude active. Il faut être concentré, ce qui, à l'arrivée, aide à mieux mémoriser.
Réviser le matin semble donc être le meilleur moment pour étudier. Néanmoins, travailler à cette période-là inclut de se coucher à une heure correcte. Vous pouvez toujours travailler le matin, même si vous vous couchez à 2h du matin, mais l'efficacité sera moindre.
5-Réviser efficacement c'est répéter régulièrement
Révise d'abord tous les jours en relisant tes fiches de révisions. Puis, tous les 2-3 jours restitue les informations et complète-les si tu constates des lacunes. Enfin, révise toutes les semaines en te testant avec des exercices par exemple.
On retiendrait également mieux le matin tôt lorsque le cerveau est reposé ou le soir avant de s'endormir. Deux conditions favorables au processus de mémorisation dont on entend souvent parler.
Troubles de la mémoire à court terme
Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Les acides gras oméga-3 sont bons pour la mémoire et contribuent à renforcer la structure des neurones. Ces acides gras sont présents dans les œufs de poisson et les poissons gras : saumon, maquereau, hareng, etc. Les noix, le son de blé, l'huile de colza, l'huile de lin, etc. sont aussi des aliments à privilégier.
Ce qui caractérise l'autodidacte serait donc davantage la dimension totale de l'investissement et du travail de l'artiste que la seule inspiration. C'est pourquoi Medhi Belhaj Kacem, philosophe et romancier, dit s'être investi tout entier dans son œuvre, en s'inspirant de sa vie et de ses expériences.
L'autodidacte s'exerce à l'autoformation, mais reçoit toujours son apprentissage par un maître, un formateur, un mentor. L'autodidacte diffère du diplômé, car il est acteur de son apprentissage : il choisit sa formation et ses formateurs.
« L'autodidacte n'est pas celui qui apprend tout seul (ce qui à proprement parler ne veut rien dire), mais celui dont les connaissances ne sont garanties par aucun titre et défendues par personne » comme l'explique Marie Ymonet auteure de « Les héritiers du Capital ».
2 facteurs principaux : votre méthode d'apprentissage, et le contexte. Le contexte : Vous êtes stressé en ce moment, peut-être à cause d'un examen qui approche ou d'un problème extérieur qui vous bouffe une partie de votre cerveau. Sachez que ces types de stress joue pour environ 40% de vos capacités de mémorisation.
Étudier la nuit engendre des désavantages sur le long terme, comme désynchroniser le rythme de sommeil et avoir tendance à augmenter sa consommation de caféine», explique-t-il. Décaler sa nuit n'est pas une bonne solution.
En effet, c'est pendant le sommeil que le cerveau intègre les informations plus en profondeur. Il faudrait essayer de dormir au moins 8 heures par nuit.
Une lecture régulière stimule le cerveau, renforçant les connexions neuronales et favorisant la cognition. Elle réduit le stress, favorise la relaxation et améliore la concentration.
Lorsqu'une information arrive à un neurone, des protéines sont produites et permettent de créer un réseau spécifique de neurones associé au souvenir. C'est ce que l'on appelle la “plasticité synaptique” (les synapses étant les points de contact entre les neurones).