S'il faut apprendre à être libre, c'est uniquement en ce que ma liberté exige des compétences pour réaliser mes volontés et surmonter les obstacles qui s'opposent à elles. 2) Toutefois une telle liberté est illusoire et naïve; elle confond désirs et volonté.
Le libre arbitre, on naît peut-être avec mais si on ne l'exerce pas, on est incapable de s'en servir. Or, on observe des pratiques de plus en plus courantes encouragent la « sensiblerie » et la dépendance morale. Le phénomène s'observe dans les universités mais il est aussi présent au primaire et au secondaire.
Celle-ci est indépendante de toute cause extérieure. La volonté peut donner consentement à telle ou telle chose, quand bon lui semble. Elle « est tellement libre de sa nature qu'elle ne peut jamais être contrainte ».
Lorsque vous êtes libre, vous pouvez vivre selon vos convictions, vos croyances et votre opinion, sans que personne ne vous l'impose. Être libre, c'est affirmer ses valeurs et ne pas avoir peur du regard des autres ni du jugement d'autrui.
Les différentes formes de liberté :
Liberté naturelle : en vertu du droit naturel. Liberté civile : en respectant les lois. Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants...
Pour commencer, on peut définir la liberté comme la possibilité qu'a une personne de penser, de s'exprimer et d'agir selon ses valeurs, ses croyances, ses besoins et ses désirs. La liberté permet, par exemple, à une personne de faire des choix.
La dépendance est un autre obstacle à la liberté intérieure. Il peut s'agir d'une dépendance à un objet, une substance, une relation, une habitude. Être dépendant, c'est ne plus pouvoir se passer de quelque chose, c'est perdre sa liberté.
Le principal désavantage de la liberté est que n'importe qui s'en empare sans fournir les efforts de réflexion et d'acquisition de connaissances préalables à son exercice éclairé.
Il y aurait une liberté naturelle de l'homme – puisque les hommes naissent libres. c'est encore cette liberté naturelle que Rousseau attribue à son sauvage et qui est tellement consubstantielle l'homme que renoncer à sa liberté ce serait renoncer à sa qualité d'homme.
La liberté sans règle ni devoir s'autodétruit nécessairement sauf à croire, illusoirement que un individu (moi) peut être le maître absolu de tout les autres, c'est à dire d'être suffisamment fort pour être définitivement le plus fort, ce qui est rigoureusement impossible.
PREMIÈRE PARTIE : LA LIBERTÉ (sous-entendu la liberté de penser) EST EFFECTIVEMENT PAR CERTAINS ASPECTS DIFFICILES À ASSUMER, ET JUGÉE COMME UN FARDEAU. Premier argument : La liberté peut apparaître comme contraignante, dans la mesure ou qui dit liberté, dit aussi possibilité de choix.
Qui a le pouvoir d'agir, de se déterminer à sa guise : Être libre de ses décisions. 5. Qui n'est soumis à aucune contrainte, à aucun contrôle, à aucune restriction : Avoir la libre disposition d'un bien.
Être libre en relation est directement en lien avec la capacité qu'une personne à exister, à s'accepter et se responsabiliser de tout ce qu'elle est et tout ce qu'elle fait. Le tout sans blâmer et responsabiliser l'autre de ses propres malaises.
Le terme « liberté » vient de liber en latin qui renvoie à l'homme libre, affranchi de toute forme de contrainte. On distingue la liberté d'agir de la liberté intérieure, même si elles sont interdépendantes.
Se sentir libre, c'est écouter vos ressentis intérieur, ceux-ci sont toujours vrais et ils vous mèneront vers le bon chemin. Se sentir libre, c'est pouvoir faire nos propres choix. Vous gagnerez la liberté en ne faisant que des choses que vous aimez faire tout en persévérant pour les accomplir.
La liberté absolue n'existe pas. La liberté, toujours relative à l'histoire de chacun, est réponse à un jeu de contraintes. Il existe tout au plus une liberté optimale dans une situation donnée pour un individu donné. Perdre de vue ce fait, c'est s'aventurer en terrain dangereux, car totalement idéaliste.
Les droits des femmes sont des droits revendiqués pour les femmes dans de nombreuses sociétés à travers le monde, qui constituent la base du mouvement pour les droits des femmes du XIX e siècle ainsi que le combat des mouvements féministes depuis le XX e siècle.
Des libertés limitées
Les libertés sont reconnues à tous les citoyens, mais leur usage ne peut pas être illimité. En effet, l'exercice d'une liberté ne peut pas porter atteinte à celle des autres, à la dignité de la personne, à la santé ni à l'ordre public.
Souvent, on assimile la liberté à la possibilité de faire tout ce que l'on veut sans limite naturelle ou conventionnelle. Ainsi, être libre signifie ne pas être soumis à une volonté autre, ni à une contrainte extérieure. L'esclave n'est pas libre, car tout ce qu'il peut faire dépend de la volonté de son maître.
Par ailleurs la liberté semble illusoire parce que nous sommes occupés à chercher ce qui nous est utile et à satisfaire nos désirs, nous avons conscience des fins que nous poursuivons, nous avons l'impression d'être libre, mais c'est une illusion, car nous ignorons en général les causes qui nous déterminent à désirer ...
Cette liberté absolue se nomme « le libre arbitre » dont la définition la plus claire est peut-être celle donnée par le philosophe français contemporain Marcel Conche qui nous dit que « le libre arbitre c'est le pouvoir de se déterminer soi-même sans être déterminé par rien ».
Liberté d'opinion, liberté d'aller et venir, liberté syndicale… Le droit français comprend des "droits-libertés" consacrés par les textes. L'État peut les restreindre, notamment pour des raisons de sécurité.
Mais la liberté intérieure obéit à d'autres lois, celles de notre cerveau, de notre esprit. Bien connaître la force de nos habitudes, de nos émotions, de nos conditionnements va nous permettre justement de faire exister cette liberté intérieure et de la ressusciter chaque jour.
« La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » est un célèbre adage qui signifie, en général, qu'un individu doit pouvoir faire l'exercice de sa liberté sans que celui-ci limite la liberté des autres ou soit nuisible aux autres.