Si vous savez dire Kenavo, Degemer Mat ou Trugarez, sachez que cela ne fait pas de vous un brittophone pour autant. Car le breton n'est pas un dialecte mais bel et bien une langue dans toute sa diversité. On vous l'accorde, ce n'est pas la plus simple à apprendre.
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Étymologie. Du moyen breton mam.
GRAND-MERE GRAND-MÈRE : MAMM-GOZH f. -où-k. (loc. mamm-baour), dim.
EMBRASSER (éteindre) BRIATA var. BRIADal (ub.), usu. POKat (var.
pain en breton. Le dictionnaire français - breton contient 6 traductions de pain , les plus populaires sont : bara, baraenn, labour .
MAOUEZ , en vannetais bih. -IG b. -ed femme (en gal, loc. bonne femme, compagne...
« Au revoir » en breton se dit « Kenavo ». Kenavo est un mot si connu en Bretagne et en France, qu'il s'agit presque d'une signature de la région bretonne, d'un symbole à part entière. Littéralement, « ken » se traduit par « jusqu'à », alors que « a vo » signifie « ce qu'il y ait ».
Prononciation des lettres en breton, les sons « consonnes »
g : immanquablement, le « g » en breton se prononce comme s'il y avait un « u » après. gn : il s'agit du même son que pour « montagne ». c'h : il se prononce comme la jota espagnole ou le R guttural allemand.
Une phrase simple est constituée d'un verbe autour duquel sont organisés d'autres mots : ruz eo kador vras ar bugel bihan (la grande chaise du petit enfant est rouge) ; s'il n'y a pas de verbe, il s'agit d'un segment de phrase : kador vras ar bugel bihan (la grande chaise du petit enfant).
En savoir plus. « Karantez », c'est « l'amour » en breton.
hendad (grand-père) ; T : tad (père) ; M : mab (fils) ; W : wyr (petit-fils) ; B : brawt (frère) ; K : soit nai (neveu), soit nghefnder (cousin) ; C : goroyr (arrière-petit- fils) .
Du moyen breton hoar, issu du vieux breton guoer , du proto-celtique * swesūr, lui-même de l'indo-européen commun * swésōr (« sœur »).
Entre 1830 et 1850, parler breton était non seulement interdit, mais aussi puni. Le conférencier a abordé une loi non écrite, laissée à l'appréciation des instituteurs qui a perduré pendant 130 ans en Bretagne. Le climat scolaire était délétère. La carotte, mais surtout, le bâton, était une pratique coercitive.
Ty et Ker en breton
Kêr est tout simplement un lieu où il y a de la vie : une maison, une ferme, un hameau, voire même une ville ! Ti signifie également « maison ».
une belle (fille) KAERENN f.
ALCOOL ALKOL(AJ) m., usu. BOESON m. HENI KREÑV.
La seule manière de trinquer quand on est breton : Yec'hed Mat !
À demain : Ken arc'hoazh.