Un psychologue peut être très utile si vous pensez que votre anxiété est susceptible d'être la source de vos
Associée à un certain facteur de stress, la terreur nocturne peut être appréhendée et globalement évitée en prenant quelques mesures : coucher et lever à heures fixes, évitement de substances excitantes ou de jeux physiques, et rituels avant d'aller au lit.
Les terreurs nocturnes se caractérisent par des symptômes physiques observables à peu près identiques à ceux de la peur, tels que l'accélération du rythme cardiaque et la transpiration. De ce point de vue, elles ressemblent plus à des crises de panique qu'à des cauchemars, cela est à ne pas confondre.
La banane, les dattes et la mangue
Certains fruits ont une teneur élevée en tryptophane. C'est le cas de la banane, des dattes et de la mangue. Plutôt doués pour remettre les pendules du sommeil à l'heure, ces fruits gagnent à être consommés avant le coucher.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
L'origine de ces crises et des épisodes de terreurs nocturnes est à rechercher soit dans des événements traumatisants qui se sont déroulés dans l'histoire de la personne, soit dans des conflits ou de peurs psychiques internes qui prennent un tour aigu du fait d'une situation actuelle.
Parler la nuit n'a en fait aucune conséquence sur votre sommeil. “La qualité du sommeil n'est pas détériorée par le fait de parler en dormant. La somniloquie ne réveille pas la personne, le somnambulisme en revanche, oui. Ainsi, on peut parler toute la nuit sans être fatigué le matin”.
Le fait de parler en dormant (somniloquie) est également réparti entre garçons et filles et est principalement familial. Les vocalisations verbales surviennent au cours du sommeil lent et du sommeil paradoxal.
Chez l'adulte, les terreurs nocturnes sont plus rares et il vaut mieux consulter un neurologue spécialiste des troubles du sommeil afin d'éliminer d'autres pathologies.
Au contraire, il ne faut surtout pas essayer d'éveiller l'enfant, cela va accentuer la crise. Face à une terreur nocturne, une seule chose peut aider l'enfant : s'installer à côté de lui, poser la main sur lui et lui parler doucement en attendant que la crise passe. Celle-ci peut durer 1 à 20 minutes.
Contrairement aux cauchemars qui résultent d'une anxiété passagère, les terreurs nocturnes sont plus graves et peuvent cacher une angoisse véritable. Survenant généralement au début de la nuit, elles peuvent être particulièrement impressionnantes.
L'angoisse nocturne se manifeste par une crise d'angoisse au cours de la nuit, aussi appelée attaque de panique. Contrairement à l'anxiété, phénomène naturel se déclenchant en cas de danger, la crise d'angoisse survient brutalement sans raison apparente.
Symptômes des terreurs nocturnes
La terreur nocturne se manifeste en début de nuit, pendant le sommeil, et pendant le sommeil lent et profond. - Se redresse, - Ouvre les yeux. - Il se met à hurler, à pleurer, à sangloter, à pousser des cris perçants (on parle de hurlement Hitchcockien !)
Est-ce normal ? Rire en dormant est généralement normal et inoffensif. Dans la plupart des cas, le rire pendant le sommeil est une réponse naturelle à quelque chose qui se produit pendant un rêve. Le rêve peut souvent sembler étrange, bizarre ou même pas drôle au réveil.
Selon les experts, le fait de fermer les paupières permet d'hydrater l'oeil et de protéger sa surface. A l'inverse, lorsqu'on dort les yeux ouverts, les yeux s'assèchent et sont susceptibles de s'infecter car ils reçoivent plus de poussières. C'est donc tout simplement un mécanisme de protection de notre corps.
Se parler à soi-même est lié à la pleine conscience, une pratique très en vogue de nos jours. Selon Sheri McGregor, “cette approche est primordiale parce qu'elle permet non seulement de prendre conscience de ses pensées, mais aussi de la façon dont on les formule intérieurement”.
Les solutions face aux terreurs nocturnes des enfants
Parlez-lui en essayant de le calmer mais évitez de le toucher s'il vous rejette. Si les terreurs nocturnes sont dues à la fatigue, agissez en conséquence et couchez votre enfant plus tôt dans une atmosphère calme, ou faites-lui faire des siestes.
La solution la plus efficiente consiste en général à traiter une affection sous-jacente qui est à l'origine des terreurs nocturnes comme une apnée du sommeil ou un problème psychologique. Dans certains cas, réaliser une psychothérapie peut être utile. Améliorer les conditions de sommeil est aussi important.
C'est un trouble respiratoire qui apparaît pendant la phase de sommeil paradoxal : le dormeur va ainsi gémir et/ou grogner pendant le processus d'expiration et de respiration. Parfois, ces longs gémissements apparaissent également pendant la phase de sommeil profond.
Des chercheurs du Karolina Institute à Stockholm en Suède ont établi que dormir moins de 5 heures par nuit, chaque nuit, augmenterait le risque de mortalité de 62 % par rapport à ceux qui dorment 7 heures par nuit.
Si vous le pouvez, faites 5 à 20 minutes de sieste chaque jour. La sieste rééquilibre le système nerveux et calme le stress. Pratiquez la relaxation. Quelques séances de sophrologie peuvent vous aider à alléger votre fatigue mentale.
Selon plusieurs chercheurs, la privation de sommeil est le principal facteur à l'origine de l'épidémie d'obésité actuelle [1,2]. En effet, un gain de poids et une augmentation du tour de taille, de la masse adipeuse et de l'apport calorique seraient associés à un sommeil insuffisant et de mauvaise qualité [4, 5, 6, 7].
Manger des yaourts le soir, un dessert riche en bienfaits
Riches en Calcium, vitamine D, ces nutriments jouent un rôle indispensable dans la solidité des os et des dents, contribuant également à lutter contre l'hypertension. De plus, ce laitage crémeux est riche en probiotique pour protéger votre flore intestinale.