L'arrêt du traitement se fera de façon progressive, en espaçant les applications et/ou en utilisant un corticoïde moins fort ou moins dosé. Respecter strictement l'ordonnance de votre médecin et ne pas prolonger le traitement. Utilisez toujours DIPROSONE 0,05 %, crème, comme votre médecin vous l'a indiqué.
Syndrome de sevrage aux stéroïdes Léthargie, dépression, anorexie, nausées, myalgies et arthralgies.
Un arrêt trop rapide est suivi de rechute voire d'une aggravation (rebond) avec souvent apparition d'une résistance aux corticoïdes. Il faudra donc arrêter le traitement progressivement sur plusieurs semaines (par exemple tous les jours puis un jour sur deux puis deux fois par semaine).
Il est recommandé de boire un grand verre d'eau après une bouffée de cortisone pour en éliminer les résidus.
Le rythme du sevrage dépend principalement de la durée du traitement mais également de la dose de départ et de la maladie. Il n'y a pas de rythme de sevrage standard. Certains considèrent qu'il convient de réduire les posologies de cortisone de 10% tous les 10 ou 15 jours.
Au-delà d'une durée de prescription de trois mois, la cortisone entraîne une rétention d'eau et de sel, qui peut faire gonfler mais surtout être source de problèmes si l'on souffre d'hypertension ou d'insuffisance cardiaque.
– Augmenter les apports en potassium (banane, chocolat), et en vitamines en consommant davantage de fruits et légumes. – Veiller à une alimentation riche en vitamine D et en calcium.
Quand on arrête la prise, on se retrouve en insuffisance surrénalienne. Il faut diminuer le traitement progressivement pour que les surrénales redémarrent petit à petit. "Si on le fait brutalement, on est fatigué, on n'arrive plus à avancer, on a tout le temps envie de dormir".
"Non, on ne peut pas remplacer la cortisone par des produits plus naturels. Quand on donne de la cortisone, c'est vraiment pour des maladies avec des symptômes gênants ou des maladies graves et la cortisone est un traitement remarquable.
Si le traitement est prolongé, les glandes surrénales ne sont plus suffisamment « entrainées » à produire le cortisol et elles n'ont pas le temps de reprendre leur activité normale : lors d'un arrêt brutal des corticoïdes, la sécrétion des glandes surrénales est initialement insuffisante.
Utilisez un gel lavant sans savon enrichi en agents hydratants et nourrissant tel le surgras ou les huiles végétales. À la sortie de la douche, on nourrit généreusement sa peau : lait, crème, baume ou huile.
Ce médicament est un corticoïde local d'activité forte. Il est préconisé dans certaines maladies de peau comme l'eczéma de contact, la dermatite atopique, le psoriasis, mais votre médecin peut le prescrire dans d'autres cas.
Il est utilisé pour traiter les eczémas de contact ou atopiques, les lichénifications, les dermites séborrhéiques (sauf celles du visage), le psoriasis, le prurigo, la dyshidrose, et pour soulager les démangeaisons dues aux piqûres d'insectes ou à la présence de parasites sous la peau.
Des résultats sans équivoque sur les taux hormonaux de base permettront de choisir, lors de l'arrêt de la corticothérapie, l'attitude pratique adaptée à la situation fonctionnelle : substitution ou non par hydrocortisone. Dans les autres cas, le recours à des explorations hormonales dynamiques est nécessaire.
un anticoagulant ; de l'aspirine ou un AINS ; un médicament contenant de la carbamazépine, du phénobarbital, de la phénytoïne, de la primidone, de la rifampicine, de la ciclosporine, de l'interféron alfa ou de l'isoniazide.
La cortisone induit peu d'interactions médicamenteuses et peut donc être associée à la plupart des autres médicaments.
La banane suscite beaucoup d'intérêt chez les personnes atteintes d'arthrose. Effectivement, les fruits alcalinisants dont la banane participe au bon rétablissement de l'équilibre acido-basique dans l'organisme et d'autant plus au niveau du cartilage.
11) Les thés et tisanes
C'est un élément indispensable pour le bon fonctionnement global de l'organisme. Ajouté à cela, vous pouvez consommer des boissons anti-inflammatoires comme le thé vert, blanc ou noir. Il contient des polyphénols, qui ont une action bénéfique sur l'inflammation chronique.
Métabolisés par le foie, ils sont essentiellement éliminés par voie rénale grâce à un métabolisme particulier : une molécule d'acide glucuronique vient se « greffer » à la substance médicamenteuse, ce qui la rend plus soluble dans l'eau et donc plus facile à évacuer par les reins.
La cortisone exerce une activité immunosuppressive locale, utile dans le cadre de pathologies faisant intervenir le système immunitaire comme l'eczéma. Elle permet de faire disparaître les plaques rouges et suintantes, les plaques rouges et gonflées, les plaques épaisses.
Alcool et cortisone : association déconseillée
L'alcool peut diminuer l'absorption d'un médicament ou accélérer son élimination par l'organisme. Certains médicaments peuvent ralentir l'élimination de l'alcool par le corps et ainsi amplifier les effets de l'alcool.
Dans les inflammations cutanées (eczéma, éruptions, etc.), la potentille tormentille (Potentilla erecta) pourrait remplacer la cortisone et éviter ses effets secondaires, selon une récente étude.
La cortisone fait gonfler, mais c'est réversible
« Le tissu adipeux des jambes et des bras tend à se réduire, tandis que celui des seins, du ventre et du visage augmente », observe le Pr Fardet.
Enfin, les corticoïdes, de par leur mécanisme d'action, ont pour conséquence de modifier la répartition des cellules graisseuses dans l'organisme ou d'entraîner de la rétention d'eau et de sel. Ces effets peuvent entraîner un changement de l'aspect du visage (arrondissement), notamment au niveau des joues et du cou.