D'abord, vous devez prendre en considération ce qu'elle ressent et ensuite assumer la responsabilité de vos actes. Vous pouvez conclure la lettre avec une expression sincère comme « je suis désolé pour ce que je t'ai fait » et montrer que vous comprenez que cela peut lui prendre du temps pour accepter vos excuses.
Parlez-en en toute honnêteté avec votre conjoint, tout en gardant à l'esprit qu'il s'agit de sa sœur et qu'il faut donc respecter ses sentiments envers elle. Il peut très bien s'agir d'un malentendu, ou alors d'une différence de caractère qui fait simplement que vous ne parvenez pas à vous comprendre toutes les deux.
Vous vous remettez sans cesse en question et commencez à croire que tout est vraiment de votre faute. Même quand vous ne le voyez pas, vous angoissez. Vous y pensez tout le temps, au bureau, chez vous… Sans le savoir, vous êtes peut être dans une relation toxique avec votre sœur ou votre frère.
Évitez d'insinuer quoi que ce soit au sujet de votre belle-sœur ou, pire, de l'insulter. Contentez-vous de lui dire qu'en sa présence, les choses tournent toujours au vinaigre. Votre conjoint ne peut pas critiquer ce que vous ressentez, il est donc important d'être clair et prudent dans la façon de le formuler.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Expliquez votre point de vue et vos limites à votre belle-famille. Faites savoir à vos beaux-parents que vous cessez tout contact avec eux et donnez les raisons de votre décision. Gardez la conversation courte et tenez-vous-en aux faits. Évitez de vous quereller.
"Il est important de pouvoir exprimer à son frère ou à sa sœur ses sentiments", insiste Roseline Levy Basse. Parler librement des dysfonctionnements peut être salvateur, mais encore faut-il que son frère ou sa sœur puisse valider vos sentiments.
La jalousie de l'aîné peut apparaître ou réapparaître lorsque le bébé parvient à un nouveau stade de sa vie : quand il apprend à marcher et qu'il se met à l'interrompre dans son jeu, à casser ses jouets, à les éparpiller ou quand il apprend à parler et qu'il devient capable de défier son grand frère ou sa grande soeur.
D'autres phrases pour présenter les excuses poliment : Je vous prie de bien vouloir excuser mon absence. Je vous remercie d'avance de l'attention que vous porterez à mon excuse. J'ai conscience d'avoir mal agi et vous présente mes plus sincères excuses pour ce manquement.
Dans votre lettre, concentrez-vous sur le fait que vous êtes désolé, sans chercher à justifier votre comportement. Évitez les phrases comme : « Je m'excuse pour mon comportement, mais j'étais très stressé. » Dites plutôt : « Je suis désolé pour mon comportement et pour la façon dont je vous ai traité.
Étymologie de « belle-sœur »
(Date à préciser) Composé de belle, terme de courtoisie et d'affection, féminin de beau, et de sœur.
Il faut faire attention et ne pas permettre certaines attitudes irrespectueuses. Si nous avons des reproches à faire, c'est à leur fils qu'il faut s'en plaindre. Lui seul, de part son attitude vous fera respecter par ses parents. Surtout pas de guerre ouverte !!!
On peut dézinguer une belle-sœur par dépit de n'avoir pas trouvé en elle la sœur rêvée. Déçue et/ou jalouse, on la perçoit alors « comme étant à la fois le double idéal et l'élément persécuteur. C'est le complexe de l'intrus, et le drame de la jalousie », poursuit René Kaës.
Commencez la conversation en disant quelque chose du genre : « J'ai décidé que ce serait mieux pour ma santé mentale si je ne passais plus de temps avec toi. » S'il se met en colère, vous pourriez lui dire quelque chose comme : « Je n'ai pas envie de discuter.
L'une des premières raisons qui peut pousser les frères et les sœurs à se détester tient au fait qu'à l'arrivée d'un nouvel enfant dans la famille, l'aîné ressent un danger, une intrusion, la peur que ce frère ou cette sœur lui vole ses parents, ses jouets, ses vêtements, etc.
La plupart des disputes entre frères et sœurs surgissent à cause de la rivalité qui existe entre eux. Parfois, les enfants désirent attirer l'attention des parents et se sentent jaloux de leur frère ou de leur sœur. D'autres fois, les bagarres surviennent également par simple ennui.
Ces belles-mères toxiques aiment donner et imposer leur opinion. Elles n'ont pas la capacité de s'autocritiquer. Elles ne sont pas empathiques. Elles ne savent pas comment respecter les décisions de leurs enfants.
Faites-le de façon claire et paisible, en lui parlant « au je », et en évitant de l'accuser de quoi que ce soit. Gardez toujours en tête qu'il aime ses parents et tentez de trouver un terrain d'entente raisonnable pour tous. Soyez patiente et conservez votre calme. Rien ne se règle dans l'adversité.