Le syndrome de Diogène serait lié à un traumatisme vécu au cours de la petite enfance. Après un long intervalle de vie, le processus de « diogénisation » peut se déclencher à l'occasion d'un événement difficile (séparation, deuil, changement de situation...).
La solitude voulue ou l'isolement subi, semble le facteur de déclenchement principal. Néanmoins, ce trouble du comportement se manifeste de plus en plus régulièrement us les jeunes.
Syndrome de Diogène : symptômes
Les objets accumulés sont systématiquement inutiles, obsolètes voire avariés, et leur accumulation n'est justifié par aucune raison logique. négligence de l'hygiène personnelle et du domicile (incurie) déni du trouble. repli sur soi, isolement.
Le syndrome de Diogène n'étant pas une maladie, il ne peut pas être traité en tant que tel. Pour mettre fin à ce trouble, il faut prendre en charge la pathologie sous-jacente, à l'origine du syndrome, et cela ne peut se faire que dans un cadre médical.
Qui peut être touché par le syndrome de Diogène? Dans la plupart des cas, cette pathologie concerne principalement les personnes âgées de 70 à 80 ans, et qui vivent seules. La gent féminine est plus touchée que les hommes. La raison est que l'espérance de vie de la femme est plus longue que celle de l'homme.
des troubles cognitifs, liés à la déshydratation, la dénutrition, la fatigue et la dépression. l'opposition aux soins, avec parfois de l'agressivité. un repli sur soi progressif allant vers une disparition complète de la communication.
La difficulté à jeter se traduit à divers degrés : un comportement plus ou moins lié à de la procrastination ou tout simplement une très mauvaise gestion de son quotidien jusqu'à un comportement pathologique nommé syllogomanie, ou le syndrome de Diogène pour des personnes qui s'entourent de telles quantités d'objets ...
Voici les principaux facteurs : On peut observer une négligence excessive de son hygiène corporelle ainsi que la malpropreté de son logement. Même entouré de saletés ou de détritus dans son lieu de vis, elle reste toujours indifférente.
La syllogomanie peut avoir pour origine un problème primaire de santé mentale ou être causée par des facteurs secondaires comme la démence, un ACV ou une lésion cérébrale.
La syllogomanie est un trouble psychique qui se traduit par une accumulation pathologique d'objets. Une personne syllogomane accumule une grande quantité d'objets, même si ces derniers sont inutiles, encombrants, insalubres et/ou dangereux.
Une pathologie rare qui touche l'os qui se situe à l'intérieur du pied, sous la cheville. C'est ce qu'on appelle dans le jargon médical "une ostéonécrose de l'os naviculaire". Dans les cas les plus graves, l'os peut se fragmenter, se désagréger. A ce moment-là, la douleur devient insupportable et le pied se déforme.
Plusieurs symptômes typiques du syndrome de Diogène :
Négligence de l'hygiène corporelle. Négligence de l'hygiène du lieu de vie.
Le syndrome de Noé, en anglais Animal Hoarding, est un terme qui désigne le fait d'accumuler chez soi plusieurs animaux alors que l'on ne peut les héberger, les nourrir et les soigner correctement.
La syllogomanie: Quand accumuler des objets devient une vraie pathologie.
La syllogomanie est la maladie qui définit les accumulateurs compulsifs. Être attaché à certains objets, c'est normal. Mais avoir du mal à jeter quoi que ce soit peut relever de la maladie mentale.
Aussi, un suivi psychologique et psychiatrique sera sans doute nécessaire. Quant au bon comportement à adopter face à un individu syllogomane, il s'agit de rester patient, bienveillant et à l'écoute. Vous pouvez également faire appel à une société de nettoyage spécialisée.
Les réticences de la personne dépendante à être aidée pour sa toilette peuvent ainsi avoir plusieurs causes, variant selon la personne et souvent cumulées ou imbriquées : La pudeur. Le sentiment d'infantilisation. L'inconfort de la toilette, lié notamment à température de la pièce et/ou de l'eau.
Dans sa forme complète, mais rare, le syndrome de Cotard rassemble des idées délirantes de négation d'organes, de soi, du monde, ainsi qu'un délire de damnation et d'immortalité. Les formes incomplètes sont plus fréquentes, limitées par exemple à une négation d'organes ou à la conviction d'un châtiment éternel.
La schizophrénie s'accompagne le plus souvent d'une absence complète de conscience des troubles, surtout au début de la maladie. La personne doit souvent faire plusieurs rechutes pour prendre conscience de sa maladie, ce qui pose des problèmes d'observance du traitement.
Les raisons récurrentes invoquées pour expliquer le comportement qui consiste à “tout” garder sont : La peur d'en avoir besoin un jour (“ça peut toujours servir”). L'objet rassure et permet de ne pas manquer. L'objet permet donc de nourrir un besoin de contrôler le futur.
Besoin de se débarrasser de tout ce qui paraît inutile? Cette manie de tout jeter peut cacher un besoin de vide autour de soi, pas très bon pour le développement individuel. La psy explique. Il importe pour vous que tout s'évacue.
Physiologie de la fin de vie
La phase terminale, qui conduit au décès, est souvent annoncée par des signes dits annonciateurs non spécifiques : troubles neuropsychiques (agitation, somnolence), angoisse de mort, modification des téguments : pâleur, teint cireux, respiration bouche ouverte avec chute des mandibules…
Somnolence. En s'approchant de la mort, une personne peut dormir davantage, être somnolente ou être difficile à réveiller. Elle peut tomber endormie même en parlant. Elle peut aussi perdre lentement conscience au cours des jours ou des heures qui précèdent sa mort.