L'ouverture d'une porte de soute entraîne une décompression explosive. La différence de pression entre la cabine et la soute provoque la rupture du plancher, ce qui endommage les câbles des commandes de vol, rendant l'appareil incontrôlable. L'accident fait 346 victimes, passagers et membres d'équipage.
L'erreur de pilotage est la cause principale de 57% des accidents mortels. Il peut s'agir par exemple d'un manque de carburant, d'une erreur de piste d'atterrissage, d'une descente prématurée.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion.
Oui, il est possible de survivre à un accident en plein air. Vous aurez à peu près 3 minutes avant de toucher le sol en tombant d'un avion en plein vol. Tout d'abord, la position idéale n'est pas en boule mais plutôt à plat comme vous le feriez lors d'un saut en chute libre pour ralentir votre chute.
Selon les statistiques de l'université de Greenwich, les places à éviter absolument sont celles. Les passagers y ont 49% de chance de survivre à un crash. A l'inverse, les passagers se trouvant sur les sièges à l'arrière ont 69% de chance de rester en vie en cas d'incident.
Il s'agit du pire accident de l'histoire de l'aviation : le 27 mars 1977, deux Boeing 747 entrent en collision à l'aéroport de Los Rodeos sur l'île de Tenerife aux Canaries, tuant 583 personnes.
Il apparaît que ce sont les sièges arrière qui seraient les plus sûrs. Le siège où l'on courrait le moins de risques se trouverait même au milieu de la dernière rangée. Au contraire, les places situées à proximité des ailes ou à l'avant de l'avion seraient beaucoup moins sûres.
Si votre phobie est très avancée et qu'au moindre trou d'air vous redoutez la catastrophe aérienne, alors les sièges du fond de l'avion sont les plus sûrs. Statistiquement, en cas de crash, vous aurez plus de chance de survivre en queue d'avion qu'au milieu ou en tête.
Trop haut et trop vite pour sauter
Autre obstacle au saut en parachute du passager quidam : l'altitude. Les avions de ligne volent trop haut pour permettre un saut en parachute en toute quiétude. A l'extérieur, la température de - 60° C a de grandes chances de bloquer le système respiratoire du passager.
Les pilotes avaient été désorientés par une défaillance technique en pleine zone météorologique instable du « pot au noir ». Ils n'étaient pas parvenus à rattraper le décrochage de l'A330, entraînant la mort des 216 passagers et 12 membres d'équipage.
La fatigue provoque des erreurs humaines
Le corps ayant normalement envie de dormir pendant les heures de noirceur, la fatigue se fait sentir pendant la plupart des vols de nuit. Elle diminue la rapidité de réaction, réduit la concentration et altère les aptitudes à la prise de décision.
Malgré la récupération des deux boîtes noires, le mystère demeure sur la cause de l'accident du Boeing 737-800 du vol MU5735 de China Eastern, qui s'est écrasé le 21 mars dernier dans l'est de la Chine, tuant les 132 personnes à bord.
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
A travers ces données, on constate sans surprise que la voiture reste le moyen de transport le plus risqué. Chaque année, les accidents de la route provoquent la mort de plus de 4.000 personnes en France, tandis que l'avion tue environ 600 personnes...
Beaucoup ne le savent pas, mais dans un avion il n'y a pas de parachute pour les passagers. Une idée qui vous semble peut-être paradoxale, voire impensable, car un parachute est une alternative plutôt efficace en comparaison avec les gilets de sauvetage qui sont omniprésents dans l'appareil en cas d'accident.
Historiquement, le parachute sert à rendre possible le retour au sol en bonne condition d'une personne abandonnant un aéronef (Un aéronef est un moyen de transport capable d'évoluer au sein de l'atmosphère...), mais le terme a été appliqué à de nombreux dispositifs destinés à empêcher une chute ou à ralentir un ...
Où sent-on le plus les turbulences ? Voici où les opinions divergent. Il y a ceux qui disent que c'est la partie avant de la machine qui est la plus vulnérable, d'autres assurent que c'est à l'arrière que l'on se sent le plus mal à l'aise.
Une étude de l'American College of Chest Physicians publiée le 7 février dans la revue Chest, montre que les passagers qui voyagent côté hublot lors d'un vol de plus de six heures, ont plus de risques de développer des caillots de sang dans les jambes selon le site 121doc.net.
La turbulence, c'est un mouvement, un remous de l'air. Lorsqu'elle se produit à de très hautes altitudes, elle est souvent due à un phénomène météorologique qui créé des différentiels de pression. Le flux de l'air est modifié et l'avion, qui suit ce dernier, peut, dès lors, connaître quelques perturbations.
Pour la sécurité, choisissez un siège dans le couloir à l'arrière de l'avion, derrière les ailes. Une longue étude publiée par le site Popular Mechanics a démontré que les passagers assis proches de la queue de l'avion avaient environ 40 % plus de chance de survivre à un accident que ceux assis aux premières places.
Locution nominale. (Aéronautique) Perte de portance due à une perturbation atmosphérique. (Figuré) Trou, manque ou irrégularité dans une série d'événements.