Dans les faits, on considère qu'un pays est en récession après au moins deux trimestres consécutifs marqués par une baisse du PIB.
Un indicateur clé de la récession est l'inflation, et comment les banques centrales y répondent en utilisant les taux d'intérêt. L'inflation mesure l'augmentation des biens et services et donc du coût de la vie. Elle peut être considérée, dans une certaine mesure, comme partie intégrante d'une bonne santé économique.
Un ensemble de facteurs peut être à l'origine d'une récession : une hausse des taux d'intérêt, une crise financière, ou une chute des cours boursiers... Et justement, à l'échelle mondiale, les Bourses observent en ce moment un déclin particulièrement important.
Officiellement, on considère qu'il y a récession lorsque la croissance économique est négative lors de deux trimestres consécutifs. Au cours d'une telle période, qui peut durer de quelques mois à plusieurs années, le chômage tend à augmenter rapidement et les ventes au détail, à diminuer fortement.
Lors de la récession mondiale de 1982, les économies en développement ont connu leur deuxième plus faible taux de croissance des cinq dernières décennies (après celui de 2020). Cette récession a déclenché plus de 40 crises de la dette et a été suivie d'une décennie de croissance perdue dans nombre de ces pays.
Les dommages causés par une récession se mesurent en perte de production, mais aussi en drames humains générés par les pertes d'emplois, les faillites et la baisse du niveau de vie.
Selon les nouvelles projections de la banque centrale publiées jeudi, l'activité économique pourrait osciller l'an prochain dans l'Hexagone entre une hausse de 0,8 % et un repli de 0,5 %. C'est pire que ce que prévoit le gouvernement dans son projet de budget.
L'investissement locatif (pour une rentabilité nette qui varie entre 2 à 7 %, voire plus dans certains cas) ; L'investissement dans une SCPI (Société civile de placement immobilier), qu'on appelle aussi pierre papier. Les sociétés civiles de placement immobilier ont délivré un taux de rendement moyen de 4,45% en 2021.
Une récession est une période d'activité économique réduite qui se traduit par un recul du PIB sur une période d'au moins deux trimestres consécutifs. Une récession se distingue d'un simple ralentissement de l'économie qui correspond à une diminution du taux de croissance du PIB sur deux trimestres consécutifs.
La croissance du PIB n'est plus positive, mais négative. La notion de récession se distingue de la notion de ralentissement économique, alors que la croissance est moins forte tout en étant encore positive. Dans bien des pays occidentaux, on identifie des récessions en 1974, 1980-1982, 1993 et 2008.
La dépression : une forme grave de crise économique
Si le ralentissement de l'activité économique prend un caractère cumulatif et n'est pas enrayé, la récession peut alors déboucher sur une dépression. Une dépression correspond à une baisse forte et durable de la production et de la consommation.
"Nous sommes au pic de l'inflation, elle va commencer à baisser en 2023", a déclaré hier Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement. Une stabilisation à venir pronostiquée par de nombreux experts.
Selon l'Institut, la dernière récession a commencé en mars 2020 au plus fort de la première vague de Covid-19. L'Institut a déclaré la fin de la récession en août 2021.
le niveau d'incertitude augmente ce qui réduit le potentiel de croissance : plus l'inflation est élevée, plus la rentabilité des investissements est difficile à estimer et une baisse de leur volume est à craindre ; si l'activité baisse, les pays peuvent entrer en stagnation, voire en récession.
L'une des principales idées de Keynes est qu'en période de crise ou de récession, la meilleure façon d'en sortir est d'augmenter les dépenses du gouvernement. Les dépenses publiques vont soutenir la demande globale, remettre tout le monde au travail et relancer l'économie.
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