Si vous conduisez une voiture qui ne vous appartient pas et que vous avez des difficultés pour l'assurer, vous pouvez ajouter un nom (co-titulaire) sur la carte grise pour obtenir plus facilement l'accord de l'assureur pour la souscription à une assurance auto.
Puis-je assurer la voiture de mon fils à mon nom ? Oui, c'est tout à fait légal, mais tous les assureurs ne le proposent pas ! Si vous essuyez un refus, n'hésitez pas à comparer les devis d'assurance auto pour trouver un autre assureur se proposant de le faire.
À minima, il faut souscrire une assurance auto au tiers ou une garantie responsabilité civile. C'est impératif pour être couvert contre les dégâts matériels ou corporels qu'il pourrait infliger à un tiers lors d'un sinistre responsable.
Assurance à un nom différent du titulaire de la carte grise : c'est légal. Tout d'abord, sachez qu'il est tout à fait légal de demander une police d'assurance pour un véhicule dont on n'est pas le titulaire sur la carte grise.
Assurance auto d'un véhicule dont la carte grise est à un autre nom. Aucun problème légalement, le souci réside dans le fait que l'assureur peut refuser cette situation en pratique. En effet l'important est de ne pas faire une fausse déclaration à l'assureur.
À qui peut-on prêter sa voiture ? Il est d'usage de prêter sa voiture à n'importe quel particulier : un jeune conducteur, son conjoint, ses enfants, un ami ou n'importe quel autre tiers à condition qu'il soit titulaire d'un permis de conduire valide.
Vous n'êtes pas dans l'illégalité si vous conduisez la voiture de vos parents sans que votre nom figure au contrat. Ils peuvent très bien prêter leur voiture, à leur enfant comme à un ami. On appelle cela le «prêt de volant».
Le conducteur principal : c'est celui qui souscrit l'assurance en son nom et conduit essentiellement le véhicule mentionné sur le contrat ; Le conducteur secondaire : il utilise régulièrement la voiture en question.
La formalité se fait auprès de votre assureur. Vous mentionnerez le nom de la personne désignée comme second conducteur. Une fois ce rajout accepté par votre assureur, elle pourra conduire votre véhicule au même titre que vous et en bénéficiant des mêmes garanties stipulées dans votre contrat.
S'il était jusqu'alors légal en France, qu'une personne physique mineure ou majeure mais ne possédant pas de permis de conduire puisse immatriculer un véhicule à son nom, cela n'est dorénavant plus possible. Il est interdit d'immatriculer un véhicule au nom d'un enfant mineur.
Si vous souhaitez assurer un jeune automobiliste en tant que second conducteur ou conducteur occasionnel, c'est très simple. Toutes les procédures se font auprès de votre compagnie d'assurance. Il vous suffit de demander à votre assureur de rajouter un conducteur secondaire sur votre contrat d'assurance auto.
L'assurance minimale au tiers
Peu coûteuse, l'assurance au tiers est une solution économique pour un jeune conducteur dans le cas où il possède un véhicule de faible valeur, d'occasion ou ancienne (de plus de 5 ans).
Le conducteur secondaire est inscrit sur le contrat d'assurance, cela signifie qu'il bénéficie des mêmes garanties que l'assuré principal. Par contre, en cas d'accident responsable alors qu'un conducteur occasionnel est au volant, seule la garantie responsabilité civile fonctionnera.
Une carte grise à 2 noms indique simplement que la propriété du véhicule est partagée. Ainsi vous pouvez désigner comme co-titulaire sur la carte grise : Votre époux/épouse. Votre partenaire de PACS.
Peut-on indiquer plusieurs noms sur le certificat ? Oui, la carte grise, désormais appelée certificat d'immatriculation, peut être établie au nom de plusieurs personnes, physiques ou morales. Le titulaire principal de la carte grise doit être détenteur du permis l'autorisant à conduire le véhicule à immatriculer.
Tout autre conducteur (conjoint/concubin/ami...) peut conduire votre véhicule, sans déclaration préalable, ni surcoût. À la MAIF, votre enfant peut être déclaré conducteur principal ou être enfant conducteur déclaré, et dans ce dernier cas, acquérir du bonus moyennant un supplément de cotisation.
En théorie, un jeune permis peut conduire n'importe quel véhicule, de n'importe quelle puissance, tant que celui-ci respecte la bonne catégorie de véhicule autorisé avec un permis voiture.
Contrairement aux idées reçues sur l'assurance auto, le système du bonus-malus est rattaché au contrat et non aux conducteurs. Ainsi, si le conducteur principal ou secondaire est responsable d'un accident de la route, le contrat d'assurance sera « malussé ». Il en va évidemment de même pour le bonus.
Pas d'« héritage » du bonus-malus
Exemple : après un an de conduite sans accident responsable, le conducteur principal qui avait acquis 25% de bonus verra celui-ci porté à 30%. Le conducteur secondaire, qui lui ne bénéficiait d'aucun bonus, se verra gratifié de 5% de bonus.
on obtient un montant de 950 euros après une année sans sinistre (bonus de 0,95), de 900 euros après deux ans (bonus de 0,9025 arrondi à 0,90) et ainsi de suite.
Vous restez responsable de l'utilisation de votre véhicule
En cas de prêt de véhicule, il appartient à l'assureur-propriétaire de s'assurer que la personne prenant le volant est en état de conduire (pas d'alcool ou de stupéfiants, etc.), qu'elle dispose d'un permis de conduire valide, etc.
Comment assurer son enfant ? Vous pouvez simplement vous adresser à votre assureur et demander les formules pouvant être souscrites pour son enfant. Toutefois, il est toujours recommandé de bien analyser les choses avant de vous décider pour ne pas verser des primes pour rien.
Son but : assurer, en quelque sorte, le partage équitable des biens entre le conjoint du défunt, ses enfants ou toute autre personne appelée à héritier. Si vous vous retrouvez dans cette situation délicate de la perte de votre père, notez que vous pouvez rouler son véhicule.