Opérations d'attaques monétaires La monnaie d'un pays peut faire l'objet d'attaques spéculatives par des pays étrangers, souvent via leur banque centrale, dans le but de faire augmenter ou baisser le cours de la monnaie, ou alors de faire perdre ses réserves au pays en question.
Des changements de taux d'inflation, une instabilité politique et d'autres facteurs économiques en sont généralement la cause. Plus spécifiquement, les principales causes de la dépréciation d'une monnaie sont les suivantes : Une baisse des recettes d'exportation. Une hausse soudaine des importations.
La force d'une monnaie est déterminée par l'interaction de divers facteurs locaux et internationaux tels que la demande et l'offre sur les marchés des changes; les taux d'intérêt de la banque centrale; l'inflation et la croissance de l'économie nationale; et la balance commerciale du pays.
En cas de dévaluation, c'est une décision politique qui fait chuter la valeur d'une monnaie tandis que, pour la dépréciation, c'est simplement la loi de l'offre et de la demande qui influence négativement la valeur de la monnaie, sans que l'autorité monétaire ne puisse exercer aucun contrôle sur le sujet.
Le principe est le suivant : vous échangez des euros contre de la monnaie locale. Les euros échangés constituent alors le fonds de garantie de la monnaie locale, qui est déposé dans un établissement financier et géré par celui-ci.
La banque centrale détient le pouvoir de contrôler la quantité de monnaie en circulation. Ce sont les banques commerciales (les banques de second rang) qui créent la majeure partie de la monnaie, sous forme de monnaie scripturale.
La masse monétaire, en circulation ou constituée de placements financiers liquides, représente un stock détenu par les agents économiques à un moment donné. Ce stock est mesuré par une série d'indicateurs appelés « agrégats monétaires » (voir infographie).
dans un système de taux de change fixe, le cours de la monnaie est fixé par les autorités du pays. Le cours ne doit varier que dans des proportions très faibles et lorsque les variations sont jugées trop importantes, les autorités interviennent pour ramener le cours au plus proche de la valeur officielle.
Effectivement, cette chute est subie et peut avoir de fortes répercussions sur l'économie du pays. Il existe un seuil symbolique : quand la devise perd plus de 30% de sa valeur par rapport au dollar américain, on dit alors que la monnaie connait une crise de change.
Lorsque le cours d'une monnaie augmente, on parle d'appréciation; s'il baisse, il y a dépréciation. Par exemple, si l'EUR/USD évolue de 1,10 à 1,15, l'euro s'apprécie contre dollar. En revanche, si l'EUR/USD évolue de 1,10 à 1,05, alors l'euro se déprécie contre dollar.
Le dinar koweïtien
Vous ne recevrez que 0,30 dinar koweïtien après avoir échangé 1 dollar américain, ce qui fait du dinar koweïtien l'unité monétaire la plus élevée au monde par sa valeur nominale, ou tout simplement "la monnaie la plus forte du monde".
Une monnaie forte est une devise qui fait office de réserve de valeur sur un marché de change. Les facteurs qui contribuent à accorder à une monnaie le statut de monnaie forte sont la stabilité à long terme, les perspectives nationales politiques et budgétaires et la politique de la banque centrale émettrice.
Aujourd'hui, 1 dinar koweïtien est égal à 2,97 euros, et il a un taux de change constant avec le dollar américain où 1 dollar USD équivaut à 0,301175 dinar koweïtien. Toujours selon le média, c'est ce taux de change fixe qui confère au dinar koweïtien le titre de plus forte monnaie du monde.
La réussite d'une dévaluation nominale dépend de l'ajustement réel réalisé. Ce dernier dépend à son tour du contrôle de l'inflation dans le pays suite à la dévaluation nominale. Le tableau 2 présente l'indice du taux de change réel (ITCR) et le taux d'inflation pour les pays de l'UEMOA et de la CEMAC de 1993 à 1995.
UNE livre sterling vaut tout simplement plus qu'un euro ou un dollar. La raison est historique; la livre sterling a été définie au 19e siècle comme une pièce d'or, alors que le dollar et le franc ont été définis à l'origine comme des pièces d'argent, et que l'or valait à l'époque 15½ à 16 fois plus que l'argent.
Des taux de rendement bas sur le marché obligataire sont évidemment une bonne nouvelle pour les États qui ont d'importants besoins en refinancement, en particulier pour la France. Mais ils poussent les investisseurs étrangers à vendre et à quitter la zone euro, ce qui exerce une pression à la baisse sur la monnaie.
La création monétaire provient essentiellement des prêts accordés par les banques commerciales. Mais les banques centrales créent aussi de la monnaie, par exemple les billets et les pièces.
Rien d'étonnant à cela, puisque le dong est considéré comme l'une des monnaies les plus faibles au monde. Les billets vietnamiens ont tellement de zéros que cela peut surprendre les étrangers voyageant pour la première fois au pays du sourire.
Il exprimait à ce propos « un euro fort est dans l'intérêt d'une Europe forte », doctrine qui s'imposera en Europe pendant plusieurs décennies, maintenant un taux de change constamment au-dessus du dollar jusqu'à atteindre des points culminants les 1euro équivalant 1,60 dollar.
quasi-monnaie, quasi-monnaies
Épargne à court terme aisément transformable en moyens de paiement. (Elle comprend les dépôts à terme et comptes sur livrets, les bons de caisse et les bons d'épargne, les comptes et plans d'épargne-logement, les livrets d'épargne. La quasi-monnaie fait partie de la masse monétaire.)
La banque centrale accorde ainsi une avance au Trésor public qui se traduit par une injection de liquidités dans l'économie (via les paiements réalisés par le Trésor public) et un gonflement de la masse monétaire (hausse équivalente des dépôts à vue et / ou des billets en circulation).
Intermédiaire des échanges (payer), unité de compte (compter) et réserve de valeur (être stockée). Pour en savoir plus, consultez : Qui crée la monnaie?
Les banques centrales des pays de l'Union européenne (UE) détiennent ensemble la Banque centrale européenne (BCE). Elles en sont en quelque sorte les actionnaires et possèdent chacune une part de son capital.