Votre lecteur a sa sensibilité, son imaginaire, ses préjugés propres : évitez l'implicite, les métaphores, les sous-entendus, les mots vagues; l'implicite peut donner lieu à des malentendus. Soyez aussi explicite que possible.
Employez dans votre article des mots courts, des phrases courtes, et surtout des paragraphes courts. En réalité, ils sont toujours faciles à lire et à assimiler. Mais surtout, cela permet à faire passer vos idées avant que le lecteur ne soit distrait par autre chose.
Quand on rédige pour convaincre, le texte doit être simple, court, direct. On choisit des verbes d'action et des exemples concrets. Mais au-delà des arguments et de la tournure des phrases, c'est la précision des informations et la valeur ajoutée qu'apporte le contenu qui fonctionne.
Le moyen de surprendre son lecteur peut être facilement mis en œuvre lorsque le narrateur (même implicite, il faut bien que quelqu'un vous raconte l'histoire) ne s'avère pas en fait aussi digne de confiance qu'il semblait l'être. Par nature, le narrateur relate les faits tels qu'il vous dit qu'ils se sont produits.
La vue, l'ouïe, l'odorat, le gouter, le toucher, ces sens nous sont indispensables. Utiliser les sens dans votre article est également une façon d'impliquer le lecteur. Exemples : Si je dis « vous voyez ce que je veux dire ? », cela permet au lecteur d'être plus regardant à mon énoncé, cela capte son attention.
L'accumulation : multiplication de mots voisins. L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mots en début de phrase. La gradation : on fait se succéder des termes de plus en plus forts, ou au contraire de plus en plus faibles. L'hyperbole : Elle exagère l'expression d'une idée pour la mettre en relief.
Il s'agit de s'adapter au contexte, à la personnalité de l'interlocuteur et de choisir les bons arguments. Assertivité, considération positive, empathie, cohérence et persévérance sont des qualités essentielles à la persuasion. La maîtrise du verbal, para-verbal et non verbal est indispensable.
Il n'y a qu'un seul moyen de provoquer de l'émotion chez le lecteur, déneutraliser la situation de base. Amener un élément qui va tout changer. Et s'en amuser. Bref, il s'agit d'amener des éléments sur lesquels vous allez pouvoir vous appuyer pour travailler.
Un « bon lecteur » est quelqu'un qui comprend bien le texte. Il est actif lors de sa lecture et utilise un ensemble de stratégies pour accéder au sens. Ce même lecteur doit donc mettre en place certains processus de compréhension.
Selon un classement du World Culture Index, les plus gros lecteurs de la planète seraient les Indiens : ils consacreraient plus de 10 heures par semaine à la lecture. Juste derrière l'Inde, on retrouve d'autres pays asiatiques : la Thaïlande, la Chine et les Philippines.
L'amoureux des livres est appelé "bibliophile". Fier de sa propre bibliothèque, ce grand amateur d'ouvrages écrits est décrit par le Larousse comme une personne qui aime et recherche les livres rares et précieux.
Pour réussir l'exercice, il convient ainsi de jouer la carte du pragmatisme. Votre message doit être clair et compréhensible par votre interlocuteur. En d'autres termes, évitez les termes recherchés ou techniques ainsi que les acronymes et abréviations.
La force de persuasion fait appel à diverses compétences interpersonnelles pour amener les autres à travailler collectivement à la réalisation de vos objectifs. La première d'entre elles est la confiance : en soi et en sa capacité à atteindre son objectif.
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
En effet, le lecteur donne une signification au texte et le fait vivre. C'est lui qui comble les blancs d'une oeuvre et l'organise. Car tout grand texte présuppose une écriture telle, que l'imagination peut s'y insérer.