Il est deux fois plus fréquent chez l'homme que chez la femme. Parmi les causes suspectées figurent l'exposition aux radiations ionisantes, et des expositions à des agents chimiques. Il n'y a pas de facteur héréditaire dans le myélome multiple, ni d'évidence d'excès de cas dans la famille de sujet atteint de myélome.
La plupart des myélomes s'expriment sur un versant osseux avec des fractures et/ou des douleurs osseuses, mais la pathologie peut aussi se révéler par une fatigue intense liée à une anémie, des signes d'hypercalcémie (douleurs abdominales, nausées), et/ou des infections répétées en raison de l'affaiblissement des ...
Le myélome multiple ne peut pas être guéri. Le but du traitement est de réduire les symptômes, de ralentir l'évolution (progression) de la maladie et d'arriver à une rémission de la maladie.
Dans la leucémie, les cellules cancéreuses sont des cellules jeunes qui envahissent le sang. Dans le myélome, les cellules cancéreuses sont des plasmocytes, une sorte de globules blancs, qui se fixent et se multiplient dans la moelle osseuse. Le traitement de ces cancers est différent, ainsi que leur évolution.
Le myélome multiple est un cancer qui concerne chaque année 4 000 nouveaux patients en France. Peu connue, cette maladie de la moelle osseuse est due à l'accumulation anormale d'un type de globules blancs, les plasmocytes. On parle indifféremment de myélome multiple, de maladie de Kahler ou encore de myélome.
Beaucoup de fruits et légumes. Des aliments à haute teneur en fibres alimentaires (tels que le pain au blé entier et les céréales) Beaucoup de poisson et de volaille, pas trop de viande rouge. Moins d'aliments très gras ou frits.
Les symptômes sont des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une bouche sèche, une diurèse très abondante, des céphalées voire à l'extrême une confusion et des troubles du rythme cardiaque.
Le myélome multiple est un cancer de la moelle osseuse pour lequel l'espérance de vie, suite au diagnostic, est de 5 ans en moyenne.
Un myélome peut également être découvert en l'absence de tout symptôme, notamment dans le cadre d'un bilan de santé, d'un examen sanguin (par exemple, par une accélération de la vitesse de sédimentation) ou d'imagerie, etc. Il peut aussi être découvert dans le cadre du suivi d'une MGUS.
Le myélogramme
Ce prélèvement se fait au niveau du sternum (plus rarement au niveau de la crête iliaque, os de la fesse). Ce geste est un peu impressionnant mais peu douloureux; il est très court et dure de trente secondes à quelques minutes.
Grâce à la crème anesthésiante, à l'anesthésie locale, au MÉOPA, à la distraction et à la présence de tes parents, un myélogramme ne fait pas très mal ou pas mal du tout. Mais cela reste un examen désagréable et impressionnant, surtout quand on est inquiet du résultat de l'analyse.
Hormis l'âge, aucun facteur de risque précis n'est incriminé. Tout ce qu'on sait, c'est qu'un beau jour, un plasmocyte, une des nombreuses cellules fabriquées par la moelle osseuse et impliquées dans la lutte contre les infections, subit une mutation.
Malgré tous les efforts pour le combattre, ce cancer rare des cellules de la moelle osseuse demeure très mortel : seulement 30 % des adultes en guérissent complètement.
Lymphome : Ce cancer des cellules immunitaires peut toucher les ganglions, le système nerveux central, la moelle osseuse ou n'importe quel organe. Myélome : Ce cancer caractérisé par une prolifération maligne dans la moelle osseuse de plasmocytes qui produisent des immunoglobulines (ou gammaglobulines ou anticorps).
Myélome multiple, maladie auto-immune et mélanome…
Cela se traduit par une diminution du nombre de globules rouges (à la clé, une anémie responsable de fatigue et pâleur), une baisse du nombre de plaquettes (avec un risque d'hémorragie) et du nombre de globules blancs (entraînant une fragilité du système immunitaire, et donc un risque majoré d'infections).
Les plus couramment prescrits dans les chimiothérapies du myélome sont le melphalan et le cyclophosphamide. Ils sont administrés par cycles, c'est-à-dire une alternance de phases de traitement et de repos. Le nombre de cycles et les médicaments utilisés sont décidés par l'hématologue en fonction de chaque patient.
La pratique d'une activité physique, pendant la prise en charge de la maladie et après, a des effets bénéfiques sur la qualité de vie ; elle aide à surmonter les effets secondaires physiques et psychologiques des traitements, diminue la fatigue et les troubles du sommeil et améliore la concentration.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
- La présence d'un pic monoclonal n'est pas synonyme de cancer, le plus souvent il s'agit d'un MGUS (62%), puis par ordre décroissant, de myélome symptomatique (16%), d'amylose AL (8%), de myélome indolent (4%), de prolifération lymphoïde (3%), de maladie de Waldenström 53%), de plasmocytome (2 %) et autres (6 %).
Les douleurs aux jambes, souvent confondues avec des douleurs de croissance chez les enfants, peuvent être un symptôme de cancer. Les différencier peut sauver des vies. En Europe et aux États-Unis, les cancers les plus courants chez les jeunes sont les leucémies, les tumeurs cérébrales et les lymphomes.
"Le taux de survie à 1 an post-allogreffe est de 70% chez les adultes et 80% chez les enfants", précise le médecin. Lorsque le don n'est pas familial, le taux de guérison tombe à 50 % à cinq ans. A l'heure actuelle et en moyenne, deux ans et demi après une allogreffe, le taux de survie est de 50 %.
La prise d'antalgiques, ou de médicaments contre la douleur, peut s'avérer inefficace, aussi il peut être fait appel à des traitements plus spécifiques, tels que : La prise par perfusion par voie intraveineuse de bisphosphonates, afin de prévenir des lésions osseuses liées à une déminéralisations diffuse.
Le myélogramme correspond à l'examen de la moelle osseuse. Il est notamment indiqué dans le suivi de maladies du sang comme une anémie grave, une leucémie ou une thrombopénie.