Respecter les besoins de son chien, est le tremplin vers une bonne cohabitation. Il a besoin de voir régulièrement d'autres congénères bien dans leurs pattes (pour ne pas qu'il devienne agressif), de faire des balades tous les jours même s'il a un jardin, de jouer avec son maître et de se sentir en sécurité.
«Caressez votre chien sur le dessus de sa tête, il comprend ainsi que vous le dominez.» Nos chiens préfèrent être caressés sur le poitrail, le ventre… Il est outrant que certains dresseurs utilisent même la caresse, qui est censé être un moment complice et agréable, pour soumettre leur chien.
Évitez les ordres peu clairs et les répétitions constantes
Si vous devez répéter « assis » six fois avant que votre chien ne s'exécute, et qu'il reçoit quand même une récompense ensuite, cela nuit à votre autorité et apprend à votre chien qu'il n'a pas besoin d'obéir immédiatement.
Ne tolérez pas la moindre provocation. Un « non » ferme est indispensable. Votre chiot n'a, par exemple, absolument pas le droit de grogner à votre encontre, quoi qu'il se passe. Si votre chien grogne après vous, votre relation est mal engagée, car il va bientôt passer à l'étape suivante : vous mordre.
dire un “non” incisif à votre chien. Dès que votre chien détourne le regard, félicitez-le d'un ton joyeux avec un “ouiii !” et donnez-lui la friandise. Le but est que votre chien comprenne que renoncer c'est gagner. Cet exercice est à répéter, et surtout à compliquer petit à petit.
Si votre chien ne vous écoute pas, cela peut également venir du fait que vous n'êtes pas cohérent avec lui. Un chien ne comprend pas le langage parlé. Ainsi, utiliser de longues phrases et changer régulièrement d'indication n'aide absolument pas votre chien à vous comprendre.
L'action par l'inaction. Si vous constatez que votre chien agit mal afin d'avoir votre attention, le meilleur moyen de le punir sera de ne pas lui en donner. Si vous êtes constamment sur le dos de votre chien lorsqu'il fait une bêtise, vous pourriez l'inciter à en faire.
La méthode d'éducation la plus répandue chez les propriétaires de chiens est le système du bâton et de la carotte. Il est obéissant : on l'encourage, on le récompense. Il fait une bêtise : on le gronde, on le punit. Cette méthode est prônée par certains vétérinaires.
L'animal se tient bien droit, est assez rigide, et il porte ses oreilles dressées tout comme sa queue. Son regard est parlant lui aussi. Il est généralement insistant. En tout cas le chien dominant ne baisse pas les yeux, ne regarde pas de côté et ne se tapit pas au sol face à son maître ou à un congénère.
Ne montrez jamais à votre chien que vous avez peur ou que vous êtes nerveux. Soyez confiant et essayez d'ignorer l'agressivité de votre chien si la situation le permet. Ne vous emportez jamais face à ce comportement. Enfin, caressez-le et récompensez-le seulement une fois qu'il a réussi à se calmer face à l'étranger.
L'ignorer : c'est à dire, ne pas le regarder, ne pas le toucher et ne pas lui parler. Cette solution est vécue comme une punition pour le chien. Le plus souvent, un chien va rechercher l'attention de son maître, pour l'obtenir, il risque de proposer un comportement inadapté. En l'ignorant, il cessera de lui-même.
Avec les autres chiens, un individu dominant pourra se montrer agressif, provocateur ou bagarreur, et exprimera sa dominance par des attitudes caractéristiques : posture du corps droite et rigide, oreilles et queue dressées, regard insistant, défiance, bousculades, morsures...
Il faut avant tout que votre chien vous voit pour effectuer un rappel. Tentez de vous approchez du chien pour attirer son attention et faites suivre le nom du chien par un ordre comme : "Snoopy, viens ici !" ou "Snoopy, au pied". Mais employez toujours la même expression.
Le grognement est le plus souvent associé à un mal-être du chien. Le grognement est donc un signe préventif de politesse de la part du chien pour nous signifier qu'il n'aime pas quelque chose ou que cela le met mal à l'aise. En termes simples, il peut alors être : ennuyé
qu'il ne faut pas frapper un chien avec la main car celle-ci est aussi utilisée pour les caresses. Leur chien pourrait dès lors ne plus rien comprendre... Ils craignent que leur compagnon en vienne à avoir peur de leur main et à ne plus accepter la cares- se non plus.
Les excréments de ses animaux, considérés comme des « déchets putrescibles » peuvent être éliminés avec les ordures ménagères. Bien évidemment, ces déchets doivent être mis dans un sac poubelle étanche et résistant pour faciliter le travail du collecteur.
Ainsi, si vous êtes constants dans vos réactions, votre chien apprendra rapidement à ne plus vous pincer et à attendre que vous lui demandiez l'interaction. Vous pouvez également dire « non » à votre chiot (sans crier ou sans être trop ferme avec lui) et stopper tout interaction avec lui dès qu'il essaye de pincer.
L'éducation du chiot doit débuter le plus tôt possible, c'est-à-dire dès son arrivée dans son nouveau foyer, à partir de l'âge de 2 mois. Dès le début et chaque jour, votre animal doit comprendre et apprendre ce qu'il a le droit de faire et ce qu'il n'a pas le droit de faire, mais aussi ce que vous attendez de lui.
Il faut donc attirer son attention. Il va falloir lui apprendre à « prêter l'oreille » (et pas une oreille distraite !) à ce que vous dites. Il s'agit donc de se rendre intéressant pour le chien, en lui donnant une récompense qui va lui donner l'envi et la motivation pour les exercices.
En aboyant sur son maître, le chien peut tout simplement chercher à attirer son attention. Cette attitude est par exemple fréquente au moment de la distribution de la gamelle ! L'animal peut aussi solliciter ainsi son propriétaire et réclamer une séance de jeu, une balle, une friandise…
Pour cela, vous pouvez utiliser un ordre (un petit mot court, par exemple « Look ») : à chaque fois que votre chien vous regarde et capte son attention sur vous, dites lui « Oui ! C'est bien Look », et en lui donnant une friandise.
Commencez dans un endroit calme, sans distraction pour votre chien. Si votre chien ne bouge vraiment pas, alors vous tirez légèrement sur la laisse en disant « au pied ». Ne tirez pas trop fort : c'est juste un encouragement à bouger. Il faut toujours que le chien soit content de revenir et ne jamais le forcer.