Lors de la « phase du non », entre 2 ans et 3 ans, soyez ferme, mais compréhensif. Encadrez votre enfant et fixez des limites tout en lui donnant du contrôle sur certains aspects de sa vie. Concentrez-vous sur quelques règles importantes afin d'éviter d'être toujours dans la confrontation avec lui.
Parler avec tendresse et empathie, cela baisse le niveau de stress du parent et de l'enfant. Puis enchainer, en pratiquant l'écoute, avec un petit peu d'explication. Se dire que c'est un mauvais moment à passer et que l'enfant va forcément finir par se calmer afin de pouvoir en reparler avec lui tranquillement.
La base pour poser son autorité c'est le calme tout en gardant une fermeté. Plus facile qu'à faire. La clef est de réussir à faire baisser son intensité émotionnelle. Vous pouvez y arriver en faisant des exercices de respirations (issus du yoga ou de la sophrologie) ou pratiquer la méditation.
Rester debout près de la porte quand les élèves entrent en classe, et saluer chacun d'eux en le regardant dans les yeux (ce qui sous-entend qu'il réponde « bonjour »). Le fait d'avoir établi un contact visuel et oral, individuellement, permet d'instaurer une sorte de pacte tacite de respect.
Pour rester ferme dans l'éducation des enfants, il est primordial d'établir des règles. Il s'agit de délimiter clairement les conduites autorisées et celles qui ne le sont pas. Voici quelques conseils : Les règles doivent être peu nombreuses, claires et raisonnables.
Pour obtenir l'attention de votre enfant, mettez-vous à sa hauteur et regardez-le dans les yeux pour lui parler. Il est parfois nécessaire de lui toucher l'épaule ou la main pour avoir toute son attention. Vous pouvez ensuite exprimer clairement votre demande et dire, par exemple: « Amélie, regarde-moi.
Le premier principe si on veut que son enfant obéisse, c'est d'être convaincu·e, c'est-à-dire lui demander quelque chose en partant du principe qu'il va le faire. Et s'il n'obéit pas, il ne faut jamais laisser passer. C'est la règle d'or.
Elle montre comment trop souvent les adultes donnent le contrôle aux enfants, parce qu'ils ont renoncé à faire preuve d'autorité et perdu confiance en eux-mêmes. Ils sont motivés par le désir de favoriser le développement de l'enfant de façon réfléchie et respectueuse.
Il est important d'être indulgente envers soi-même et ses enfants. Les erreurs sont humaines, il faut savoir se pardonner des écarts, et savoir aussi présenter ses excuses parfois. Mais il faut aussi savoir s'affirmer en se respectant et se faisant respecter.
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De 2 ans à 3 ans
Le tout-petit désobéit aussi parfois parce qu'il veut vérifier si sa conduite est celle qui est attendue. Il peut aussi désobéir pour voir s'il est vraiment surveillé. De plus, le tout-petit a besoin de s'affirmer pour faire sa place et être autonome.
Si c'est récent, et que c'est un comportement occasionnel, ça peut être le signe que quelque chose ne va pas dans la vie de l'enfant. "L'irritabilité, la mauvaise façon de parler, sont souvent le reflet d'un certain mal-être chez l'enfant. Peut-être qu'il a des soucis et qu'il a du mal à les exprimer.
L'enfant doit comprendre que son action est interdite, et ce tous les jours ! Il ne faut pas crier mais se faire comprendre. Il est essentiel de se mettre à la hauteur de l'enfant pour lui parler et de capter son regard même si cela implique de lui tenir le visage. Chez les plus jeunes, il ne faut pas uniquement punir.
Tentez de nouvelles expériences.
Pour devenir sage, vous devez vous confronter au monde. Se cantonner à votre routine quotidienne limite les possibilités d'accumuler et d'analyser de nouvelles expériences. Si vous êtes une personne plutôt timide et réservée, exposez‑vous progressivement X Source de recherche .
Emmenez-le dans un espace sûr et parlez avec lui de ses émotions et de ses actions et d'une façon de mieux se comporter à l'avenir. Gardez en tête que les enfants ne savent pas toujours bien s'exprimer et qu'une punition ne sera pas forcément le meilleur moyen de le leur enseigner X Source de recherche .
Au quotidien, pour des gestes insignifiants, lorsqu'un chagrin survient ou une désillusion plus grande, votre enfant peut avoir le réflexe de se tourner en priorité vers un parent. Cette préférence peut être continue ou intermittente.
Nous avons des émotions bloquées et les voir chez nos enfants nous exaspère/frustre. Nous nous interdisons d'exprimer nos émotions et ne supportons donc pas celles de nos enfants. Nous ressentons une émotion à la place d'une autre : la colère se déclenche pour cacher une ancienne tristesse par exemple.
Votre enfant apprend ce qui se dit et ce qui ne se dit pas en fonction du langage des adultes de son entourage. Incitez votre enfant à parler de ses émotions. Vous pouvez l'y aider en lui conseillant des mots acceptables, qu'il peut utiliser quand il est en colère ou frustré.
Pourquoi fait-il ça ? Il arrive à l'âge où il prend conscience de son individualité, il sait qu'il ne pense pas toujours comme ses parents ou comme les autres adultes, il cherche à former sa propre personnalité en vous montrant qu'il ne suit pas vos règles.