Pour travailler sur le plat, prend une cravache ou un baton, passe le derrière ton dos en passant tes bras derrière le baton en le coinçant dans le creu du plis de ton coude. travaille un petit moment comme ça et une chose est sur ton dos et tes bras seront biens placés.
Le dos du cavalier doit être droit, c'est à dire qu'il doit se tenir pour lutter contre la gravité, en respectant ses courbures naturelles, propres à chaque individu. Cette rectitude est rendue possible par le bon positionnement du bassin et des jambes, et par la juste tonicité des muscles profonds.
Il faut que les épaules restent dans l'axe des talons, en tendant les jambes. Faites passer votre nombril vers l'avant jusqu'à ce que votre corps fasse un arc de cercle. Tentez d'abord de marcher puis de trotter dans cette position sans retomber dans la selle.
Pour cela, prenez le pommeau à une main, ou à deux mains si vous pouvez être aidée et donc travailler en étant longée, et tirez très fort le bassin vers l'avant en tenant le pommeau. De ce fait, le corps se durcit un peu et vous parviendrez à mieux descendre dans la selle.
S'il lève la tête, la disposition triangulaire du gogue lui sera inconfortable. Le cheval comprend donc facilement qu'il est dans son intérêt de travailler l'encolure basse, ce qui va muscler son dos. Le gogue fixe peut s'utiliser aussi bien pendant la monte que pendant la longe.
Travail sur les pentes : La marche en main ou en selle en montant et descendant des côtes permet de renforcer le dos et les postérieurs. Travail avec des barres : L'utilisation de barres au sol à la longe ou en selle est un moyen stimulant de faire travailler les muscles de la ligne du dos.
Cet exercice consiste à passer 4 barres au sol et à enchaîner avec une volte avant de passer sur la barre suivante. L'exercice peut être réalisé au trot, puis au galop. L'objectif est de pouvoir de plus en plus resserrer la courbe au fur et à mesure des passages, tout en gardant un tracé droit pour passer les barres.
Posez un stick ou une baguette de bois en équilibre entre le garrot et la croupe de votre cheval. Gardez lui la tête en l'air et mesurez l'espace entre le point le plus bas et le stick. Répétez l'opération avec le cheval tête en bas. Vous verrez que la distance se sera largement amenuisée.
Pour cela, le cheval va devoir arrondir son encolure en venant pousser sa nuque par dessus son bout du nez. En étirant ainsi sa tige vertébrale, dans la décontraction, il va induire la décontraction de son dos, et le remonter.
Pour muscler la région du garrot et les abdominaux de votre cheval, vous pouvez lui faire passer des barres au sol soit en surélevant les deux côtés de la barre, soit en surélevant un seul côté (en gros, surélever la première barre à droite, la deuxième barre à gauche, la troisième barre à droite, et ainsi de suite).
Stephen Clarke conseille l'épaule en dedans, base du travail latéral, comme outil pour améliorer la rectitude d'un cheval. « Étant donné que l'on cherche toujours à redresser un cheval en plaçant les épaules devant les hanches plutôt que le contraire, l'épaule en dedans me paraît être une clé indispensable ».
Soyez très progressif et très lent. Si votre cheval recule bien, en restant calme et droit, augmentez la distance jusqu'à reculer sur une vingtaine de mètres. Pour augmenter tension et flexion du dos, vous pouvez demander à votre cheval de reculer en descente d'encolure. Pour vous aider : peignez vos rênes.
Asseyez-vous bien au milieu de la selle.
Les cavaliers débutants ont tendance à s'asseoir beaucoup trop à l'arrière de la selle ce qui leur donne une position “Harley Davidson”. Pensez que vous devez pouvoir mettre la distance de votre poing derrière votre selle.
pour allonger le trot ou le galop il faut accompagner plus fort avec le bassin et demander l'allongement en mettant bien ses jambes en arrière pour pousser et aller chercher les posterieurs. Au trot tu peux alterner jambe gauche jambe droite en fonction du diagonal qui avance.
Il ne faut plus serrer les mollets ni les genoux, laisser les talons peser dans les étriers, et sentir son bassin s'ancrer dans le creux de la selle. Comment bien s'asseoir dans la selle ? Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est qu'il faut tenir avec les fesses, et non pas avec les mains (via les rênes) ou les jambes.
Mettez-vous en “suspension”, c'est-à-dire appuyé sur les étriers avec les fesses légèrement au dessus de la selle. Une fois votre équilibre trouvé en suspension au trot, lancez-vous au galop en ouvrant les doigts sur les rênes et en engageant les jambes fermement.
Commencez déjà par essayer de vous mettre debout au pas, puis au galop, et ensuite seulement au trot, car c'est à cette allure qu'il est le plus difficile de tenir debout. Techniquement, procédez toujours de la même manière : partez de la position à califourchon, puis mettez-vous à genou, et enfin debout.
Si vous en avez l'occasion, montez avec une selle sans taquets à l'avant. Vous allez voir que si vous serrez pas les genoux, vous aller vous amuser pour rester en selle. Ce sont bel et bien les genoux, à l'obstacle, qui permettent de se fixer dans la selle.
Gardez le dos droit et laissez vos fesses glisser sous vous, presque comme si vous vouliez les cacher, en fléchissant le bassin vers l'avant. Gardez les coudes souples et laissez les avant-bras s'avancer pour accompagner l'encolure qui s'étend. Le cheval en est suspension. Aucun de ses pieds ne touche le sol.
Au galop à droite, doublez dans la largeur, poussez légèrement les épaules vers la droite avec l'ébauche d'une cession à la jambe gauche, attendez que le cheval cède à gauche, changez de pied et marchez bien droit en maintenant le contact à droite avant de tourner à gauche.
On ne peut qu'inciter le cheval à s'incurver par une juste répartition du poids et de l'équilibre cheval/cavalier. Portez se dans un premier temps la rêne intérieure légèrement vers le bas et l'intérieur puis vers le garrot du cheval (sans le franchir évidemment). Elle place et infléchit mais ne prend pas.
La première règle pour mettre, ou remettre, un cheval en condition physique est de fractionner le travail. C'est à dire alterner entre les temps d'efforts et les temps de récupération. Au cours d'une même séance, on peut demander 3 ou 4 séries d'efforts entrecoupés de temps de pause rênes longues.