Concrètement, avant de consommer des graines de soja, il s'agit de les faire tremper dans une première eau, puis de les blanchir en commençant la cuisson dans de l'eau froide, et enfin de jeter cette deuxième eau. On le fait d'ailleurs, pour toutes sortes d'autres graines (haricots, pois chiches…).
Il peut être consommé tout simplement froid, avec un peu de sauce soja, ou d'autres condiments comme du sel, du yuzukosho (une sorte de moutarde poivrée au yuzu), du shitchimi (mélange d'épices japonaises) etc ….
Le soja doit être cuit
La graine de soja contient des composants toxiques pour l'homme. C'est pourquoi, elle ne doit jamais être consommée crue. Le haricot mungo, quant à lui, appartient à la famille des fabacées. Il est cultivé comme plante potagère pour ses graines.
1) Limitez votre consommation de soja entre 3 à 7 produits par semaine. Il est notamment recommandé de limiter leur consommation pour les jeunes enfants et en particulier les garçons, et chez les femmes enceintes et allaitantes.
Crues. Ajoutées à des carottes, des poivrons, les pousses de soja s'accordent avec toutes les crudités pour fournir des salades fraîches et croquantes. Cuites. Elles se marient merveilleusement avec les pâtes ou les nouilles, en combinaison avec des légumes émincés: courgettes, carottes, poivrons, aubergines, poireaux…
Les produits de soja ne sont pas sans danger sur la santé : risque allergique, carence calcique, aggravation d'une hypothyroïdie, inactivation de certains traitements…
Pour faire un lait moins épais pour des recettes classiques (crêpes ou autre) vous pouvez utilisez 150 g. Faites tremper les graines de soja jaune pendant 24 heures. Les graines de soja vont doubler de volume et passer d'une forme ronde à une forme ovoïde.
Les protéines de soja ont un effet sur les maladies inflammatoires de l'intestin. En complément des traitements, elles atténuent les symptômes. Cet aliment fait fureur chez les végétariens. En steak ou en lait, le soja est très prisé pour remplacer les protéines alimentaires.
Le soja protège et répare notre peau, plus particulièrement grâce aux effets antioxydants des isoflavones, les extraits les plus connus de cet ingrédient. D'une part, ils agissent contre le photo-vieillissement puisqu'ils protègent la peau contre le stress oxydatif induit par les rayons UVB.
Pour ces raisons, les autorités sanitaires appellent à une consommation modérée de soja. Une consommation de 50 à 100 g par jour, environ un produit par jour, représenterait en gros un apport d'environ 25 à 40 mg d'isoflavones, et serait plutôt bénéfique pour la santé.
Le terme « soya » est inspiré de l'anglais soy, lui-même emprunté au japonais, tandis que le terme « soja » vient de l'allemand. Dans les communautés francophones de l'Amérique du Nord, on a adopté le dérivé anglais, tandis que dans les pays francophones de l'Europe, on a choisi la forme allemande.
Les graines de soja sont riches en fibres et en acides gras poly-insaturés. Elles contribuent ainsi à réguler les lipides dans l'organisme, favorisant ainsi l'absence ou la baisse du cholestérol. Le soja peut donc être mis au menu en cas d'hypercholestérolémie.
Par exemple, pour des protéines de soja façon « kebab », pensez au cumin et à la coriandre en poudre. Pour des protéines de soja façon « viande blanche », pensez à la levure maltée.
La cuisson des protéines de soja consiste donc simplement à plonger les morceaux dans 2 fois leur volume d'eau bouillante, et ce, durant 10 minutes environ. Il est aussi possible de faire cuire la protéine de soja dans du bouillon végétal, ou de la faire revenir dans de l'huile à la poêle.
Ces fibres, fort nombreuses, peuvent également majorer le sentiment de satiété lors des repas (5). Et puisque le soja contient beaucoup de fibres, il semble logique qu'il contribue à prévenir la constipation.
Autre mauvais point : le soja renferme des glucides que notre organisme ne reconnaît pas. Une fois dans notre système digestif, ces glucides ne peuvent donc être éliminés, et restent entiers. Ce qui va se traduire par des douleurs, des crampes d'estomac, mais aussi des flatulences et des ballonnements.
Faites cuire les graines.
Portez l'eau à ébullition à feu vif. Dès qu'elle commence à bouillir, baissez le feu et laissez mijoter les graines de soja dans l'eau frémissante, sur un feu doux ou moyen pendant 3 heures ou jusqu'à ce qu'elles soient tendres X Source de recherche . L'eau s'évaporera petit à petit.
Choisissez leur taille en fonction de la préparation que vous comptez faire. Les petits morceaux sont à couvrir d'eau bouillante ou de bouillon pendant cinq à dix minutes et à laisser gonfler de vingt à trente minutes. Le bouillon peut, si besoin, être agrémenté d'épices, aromates, sauce soja, miso, etc.
Elle dure entre 20 et 30 minutes dans l'eau bouillante. La cuisson permet de renforcer la valeur nutritive de la graine et favoriser la digestion du poisson. Surveillez la cuisson pour vous assurer que les graines ne ramollissent pas trop.
Si vous êtes pressé par le temps, faire tremper pendant 2 heures dans une eau à 50° Procéder ensuite au dépelliculage des graines, la peau doit se détacher facilement sous les doigts. A noter que les graines de soja déjà dépelliculées sont disponibles à la vente.
Dans un bol, mélangez la farine de maïs et la farine de soja et diluez le tout avec 4 cuillères à soupe d'eau. Dans une casserole, portez à ébullition 40 ml d'eau et versez votre mélange. Faites cuire pendant 20 minutes et ajoutez le sel. Ajoutez le jus de citron, remuez et retirez du feu.
La sauce soja japonaise s'appelle le shoyu. C'est la plus répandue et la plus exportée. La sauce soja foncée est la plus courante et celle généralement utilisée pour la plupart des plats. La sauce soja claire est plus salée, et souvent légèrement sucrée par adjonction de sucre.
Le soja est une bonne source de phosphore, magnésium, fer, zinc, manganèse, cuivre et la graine de soja est très riche en vitamine B9 (acide folique), en vitamine K (coagulation), en B1, B2, B6.
Le Brésil et les États-Unis fournissent les deux tiers du soja consommé dans le monde (USDA, 2020). La production de soja au Brésil a progressé très fortement depuis la fin des années 1980, passant de moins de 20 à plus de 120 millions de tonnes en 30 ans.