De la lumière verte pour accélérer la croissance des poissons : la technologie prometteuse d'une équipe japonaise. Une université japonaise a mis au point une technique d'« élevage à la lumière » qui augmente de 60 % la vitesse de croissance d'espèces de poissons plats telles que le flétan et le flet.
Les fabricants détiennent chacun leurs recettes secrètes. Cependant, certaines odeurs bien connues attirent les poissons. Particulièrement l'ail!
Température de l'eau entre 15 et 20°C : presque les températures idéales pour nourrir vos poissons plusieurs fois par jour. Optez déjà pour une nourriture de croissance pour remplir les réserves et obtenir de la croissance. Température de l'eau au-dessus de 20°C : c'est le moment de faire grossir vos koï.
Les engrais sont des substances naturelles ou synth�tiques qui sont utilis�es dans les �tangs pour augmenter la production d'organismes alimentaires naturels qui seront consomm�s par les poissons. Ces organismes sont notamment le phytoplancton, le zooplancton et les insectes (voir manuel chapitre 10).
Il suffit de faire gonfler l'ail déshydraté dans un peu d'eau avant de le distribuer aux poissons. C'est mieux que rien mais cela ne vaut pas l'ail frais.
En décoction, il agit contre certaines maladies dont le mildiou et constitue également un parfait répulsif naturel contre les insectes. Vous trouverez sur internet des recettes d'insecticides bio à base d'ail.
Quand planter l'ail ? Plantez d'octobre à décembre les variétés d'automne, ainsi que les variétés de printemps ou alternatives dans le Midi. Ailleurs, plantez-les dès décembre (Sud-Est, Sud-Ouest) ou de la mi-février à fin mars en climat moins clément.
Notamment : les puces d'eau douce, des mysis, des gammares, des daphnies ou encore des larves de moustiques. Ce qu'il est important de retenir, c'est que cette nourriture est extrêmement bénéfique pour le bien-être de vos poissons.
La production est d'environ 100 000 alevins d'environ 25 à 30 mm. Le taux de survie est élevé et la croissance rapide si l'on fertilise le champ avec 2 000 kg de bouse de vache et que l'on nourrit les poissons avec des aliments artificiels comme un mélange de tourteaux d'arachides et de son de riz (1:1 en poids).
Le régime alimentaire des poissons rouges en milieu naturel comprend des petits invertébrés (larves d'insectes, vers, petits crustacés), ainsi qu'une quantité importante de végétaux.
En effet, contrairement à une idée très répandue, le pain leur est interdit. Cependant, vous pouvez leur donner des fruits et légumes, très bons pour les poissons omnivores ou végétariens tels que pomme, banane, concombre, petit-pois, carotte,...).
La composition de l'aliment de base est la suivante : Farine de riz : 65 % ; tourteaux d'arachide : 18% remoulage de blé : 12 % ; farine de poissons : 4 % ; et coquillages : 1 % . Le taux de conversion moyen obtenu est de 2,32 kg d' aliment/kg de poissons produits.
Vers de vase, crustacés, protozoaires, matières végétales etc. Certains utilisent du maïs, du blé, du pain… D'autres des aliments complets en gros conditionnement avec un excellent rapport qualité/prix.
Appâts parfumés pour la pêche en eau salée
Les odeurs à vaporiser et les leurres en plastique tendre imprégnés d'odeurs améliorent les prises des pêcheurs en eau salée qui utilisent des appâts artificiels. Certaines des odeurs les plus prisées pour masquer les odeurs humaines sont l'ail, le café et l'anis.
en suspension dans l'eau, par exemple le plancton; la surface ou au fond (mat riau benthique ou benthos*) , tels que vers, larves d'insectes et mollusques; la surface d'objets immerg s (couverture biologique ou aufwuchs*);
Ainsi, le ver de chalut possède un suc ultra iodé qui est perceptible par les poissons sur de très grandes distances. Attiré par ces effluves attractifs, la daurade royale le trouve alors associé à un appât copieux (ex : bibi, chair de couteau, etc.)
Enfin, la croissance de T. nilotica en tank est très rapide, surtout si les alevins sont placés dans des conditions optimales d'alimentation (nourriture riche en protéines) et de qualité d'eau (renouvellement important) ce qui conduit à une production pouvant atteindre 22.5 kg/m2/mois (Tableau 2.39).
Attention à l'environnement des alevins
Les petits sont un peu plus délicats que les adultes. Il leur faut une eau propre et exempte de bactéries. Cela garantit une bonne santé et une croissance normale des alevins. Pour cela, assurez-vous de nettoyer et de siphonner régulièrement votre bac.
Si vous souhaitez garder les petits ou les donner, on recommande de placer la mère dans un aquarium à part jusqu'à ce qu'elle mette bas. C'est la solution idéale pour des bébés en bonne santé mais cela demande un certain investissement.
Optez pour des légumes, bio de préférence (les poissons sont très sensibles aux pesticides), que vous aurez pochés quelques minutes dans l'eau bouillante, puis refroidis sous l'eau froide. Les poissons rouges adorent les carottes, la salade, les épinards, les petits pois et les courgettes.
Il est préférable de nourrir ses poissons d'aquarium de manière fractionnée : une ration de nourriture matin et soir. De temps en temps, les herbivores de l'aquarium se réjouiront d'un repas agrémenté de pousses d'épinards ou de feuilles de salade ébouillantés.
Il a besoin d'une nourriture variée et équilibrée
Le poisson rouge a toujours faim ! C'est un omnivore très gourmand en raison de sa capacité à digérer rapidement ce qu'il mange. Toutefois, pour ne pas le rendre malade, nourrissez-le au maximum deux fois par jour et faites-le jeûner une fois par semaine.
Possède des propriétés antimicrobiennes et antifongiques
L'ail est utilisé depuis longtemps comme anti-infectieux contre les virus, les bactéries et les champignons. Elle a été appelée «pénicilline russe» pour désigner ses propriétés antibactériennes, qui sont à nouveau attribuées au composé allicine.
L'ail est un véritable médicament, grâce à ses propriétés antimicrobiennes, antiseptiques, anti-inflammatoires, anti-bactériennes, antifongiques et même antivirales. Il est donc conseillé d'en consommer pour lutter contre les maux et maladies infectieuses come le rhume, le mal de gorge ou encore l'angine de poitrine.
Évitez de faire frire l'ail et cuisez-le à basse température. Vous pouvez aussi tout simplement consommer l'ail cru par exemple en vinaigrette. Passez-le aussi au blender afin d'agrémenter un délicieux houmous. Pensez aussi à l'aïoli ou à l'ajouter cru sur des bruschettas par exemple.