P = qv × 0,34 × ΔT
Cette formule est logique : Comme pour l'eau, plus le débit d'air qv est important plus la puissance (de chauffage ou de refroidissement) véhiculée est à priori importante.
La puissance P réelle du chauffe-eau peut être calculée à partir de la relation E = P x t en exprimant E en joule, P en watt et t en seconde. P = = = 2,94 kW. La puissance réelle mesurée est légèrement inférieure à la puissance nominale 3300 W indiquée sur la fiche technique de l'appareil.
Quelle est la quantité d'énergie nécessaire pour élever un litre d'eau d'un degré ? La réponse que tout élève de première connaît est qu'il faut 1,162 Wattheure. Pour chauffer un m3 d'eau de 15°C à 40°C (qui est la moyenne de la température de l'ECS), il faut donc en théorie dépenser 1,162 x28°Cx 1000 = 32,5 kWh.
La puissance est la quantité de travail (travail = force x déplacement) fournie en une seconde. En hydraulique, la puissance se mesure en kilowatts.
L'unité de puissance est le Watt (W). L'énergie électrique s'exprime en Joules (J), comme toutes les énergies, mais on l'exprime aussi couramment en kilowattheure (kW. h).
La puissance utile ou puissance nominale d'un appareil est la quantité de chaleur transmise au fluide caloporteur par convection et/ou rayonnement par unité de temps, exprimée en kilowatt (kW) dans les conditions d'essais suivant les normes en vigueur (allure de fonctionnement nominale).
Puissance absorbée : qu'est-ce que c'est ? Quantité d'énergie (mesurée en Watt) fournie pour permettre le fonctionnement d'un appareil électrique. Par opposition à la puissance restituée, qui correspond au niveau de performance, d'une PAC par exemple.
La vitesse moyenne étant donnée en m/s, il faut multiplier celle-ci par la section de passage libre, il suffit de multiplier ce résultat par 3600 pour obtenir le débit en m3/h.
M = V · C = Q · c · . Ainsi, la formule donnant le débit s'écrit: Q = (V · C)/(c · ) .
Elle s'exprime de la façon suivante : La vitesse en mètre par seconde est égale à la racine carrée du diamètre de la canalisation divisé par 50.
Le débit est le volume d'eau qui traverse un point donné du cours d'eau dans un laps de temps déterminé. Il dépend des caractéristiques physiques du cours d'eau (sa pente, sa largeur, sa profondeur, etc.) et de la taille de son bassin versant, mais surtout des précipitations et de la fonte des neiges.
La vitesse est le volume d'eau qui traverse une surface donnée par unité de temps. Le débit est le débit auquel un volume de fluide s'écoule à travers un récipient fermé, par exemple un tuyau.
Il est calculé par unité de temps ; en nombre de litres par heure ou par minute, mais souvent se quantifie en m3/h. Notez qu'un puits d'eau avec un débit inférieur à 1 m3/h n'est pas du tout exploitable. Le débit exploitable dépend grandement du niveau de l'eau. Ce dernier varie en fonction des saisons.
On prendra pour références indicatives, les valeurs suivantes : 6m³ /h = 100l/min et 1m³/h = 16.6l/min. Arroser une pelouse consomme environ 8 litres / m² / jour. Arroser un jardin consomme environ 6 litres / m² / jour.
Débit (m3/h) = surface (m²) X vitesse (m/h). Pression (Pa) = Force (daN) / surface (m²).
En théorie, le calcul est basé sur le fait qu'il faut 1,162 wattheure pour élever de un degré un litre d'eau. L'eau du réseau arrivant à la chaudière est en général à une température de 15°C à 18°C selon les saisons. Il faut donc un peu plus de 25 kWh pour porter un mètre cube d'eau à 40°C.
La puissance thermique ou flux thermique, notée Φ, désigne la quantité de chaleur Q (ou transfert thermique) traversant une surface isotherme par unité de temps. Elle se calcule avec la formule : Φ = Qt , avec Φ en watt (W), Q en joules (J) et t en seconde(s).
Il faut 1,162 wattheure pour permettre d'augmenter l'eau d'un degré, d'un volume de 1000 litres d'eau. A savoir que l'eau au repos est de 10°C en moyenne il faudra donc passer de 10 à 40 °C soit une augmentation de 30°C.