Le seul nombre dont le module est nul est le nombre nul lui-même : |z|=0⇔z=0. Le module du conjugué d'un complexe est égal au module du complexe : |ˉz|=|z|. Le module d'un produit est égal au produit des modules : |z⋅z′|=|z|⋅|z′|.
Le module est la longueur (valeur absolue) dans le plan complexe qualifiant le nombre complexe z=a+ib z = a + i b (avec a la partie réelle et b la partie imaginaire), il est noté |z| et est égal à |z|=√a2+b2 | z | = a 2 + b 2 .
Le module d'un nombre complexe z=a+ib est : ∣z∣=a2+b2 . Un argument d'un nombre complexe non nul z est une mesure en radian de l'angle orienté θ tel que cos(θ)=∣z∣Re(z) et sin(θ)=∣z∣Im(z). Il est déterminé, en fonction des valeurs du cosinus et du sinus, grâce au tableau suivant.
L'argument d'un nombre complexe 𝑧 = 𝑎 + 𝑏 𝑖 peut être obtenu en utilisant la réciproque de la fonction tangente dans chaque quadrant : Si l'image de 𝑧 se situe dans le premier ou le quatrième quadrant, a r g a r c t a n ( 𝑧 ) = 𝑏 𝑎 .
Un complexe se note souvent z, et s'écrit sous la forme z = a + ib, avec a et b réels, par exemple 3 + 4i, 5 – 2i, -8 + 7i… a est la partie RÉELLE, tandis que b est ce que l'on appelle la partie IMAGINAIRE. Le i t'indique que c'est le b qui est la partie imaginiaire (i comme imaginaire, c'est facile à retenir ).
Calcul avec des nombres complexes
Pour additionner ou soustraire deux nombres complexes, on additionne ou soustrait séparément leurs parties réelles et imaginaires. Exemple : (2+3i)+(4+5i)=6+8i.
Définition : Soit un nombre complexe z = a + ib. On appelle module de z, le nombre réel positif, noté z , égal à a2 + b2 . M est un point d'affixe z. Alors le module de z est égal à la distance OM.
Le module d'un réel est sa valeur absolue. Le module de 1 + i est √2.
On trouve directement la forme trigonométrique du produit de z et z′ ! Son module est rr′ et son argument θ+θ′, ce qui signifie que le module d'un produit est égal au produit des modules (nous avions déjà donné cette propriété) et que l'argument d'un produit est égal à la somme des arguments : arg(z⋅z′)=argz+argz′.
1. Élément juxtaposable, combinable à d'autres de même nature ou concourant à une même fonction : Acheter progressivement les modules d'une bibliothèque. 2. Dans un programme éducatif, unité d'enseignement qu'un étudiant, un élève peut combiner à d'autres afin de personnaliser sa formation.
Si z=a+ib avec a,b∈R, alors le module de z est le nombre réel positif |z|=√a2+b2.
La définition du conjugué de 𝑧 = 𝑎 + 𝑏 𝑖 est 𝑧 = 𝑎 − 𝑏 𝑖 . Si 𝑧 est un nombre réel pur, on sait que 𝑏 = 0 . Ainsi, on conclut que si 𝑧 est un nombre réel, 𝑧 = 𝑧 .
Pour diviser des nombres complexes, on multiplie le numérateur et le dénominateur par le conjugué du dénominateur, puis on développe le numérateur et le dénominateur et on simplifie en utilisant le fait que 𝑖 = − 1 .
La norme d'un vecteur est sa longueur. Nous pouvons calculer la norme de tout vecteur en deux dimensions en utilisant le théorème de Pythagore. La norme du vecteur 𝐯 est égale à la racine carrée de 𝑎 au carré plus 𝑏 au carré, où 𝑎 et 𝑏 sont les deux composantes du vecteur.
L'ensemble 𝕌 est donc un groupe pour la multiplication des nombres complexes. Les nombres complexes 1, –1, i et –i appartiennent au cercle unité. Le cercle unité est le plus grand sous-groupe borné de ℂ*. Autrement dit, tout sous-groupe borné de ℂ* est inclus dans le cercle unité 𝕌.
Par exemple, le vecteur →v=→OV=(vx,vy,vz). Si (xa,ya,za) et (xb,yb,zb) sont respectivement les coordonnées des points A et B, le vecteur →AB ou →u qu'ils définissent, a pour composantes (ux,uy)=(xb−xa,yb−ya,zb−za). La définition de norme s'étend sans difficulté aux cas du vecteur dans l'espace.
Théorème – Définition : Tout nombre complexe non nul z s'écrit sous la forme suivante : z = r (cos (θ) + i sin (θ)) avec r = |z| et θ = arg (z) [2π] Cette forme est appelée forme trigonométrique du complexe z.
Une astuce assez courante consiste à multiplier numérateur et dénominateur par a − i b : 1 z = ( a − i b ) ( a + i b ) ( a − i b ) . Or ( a + i b ) ( a − i b ) = a 2 − i 2 b 2 = a 2 + b 2 ce qui donne le résultat.
Définition. Étant donné un nombre complexe z non nul, un argument de z est une mesure (en radians, donc modulo 2π) de l'angle : où M est l'image de z dans le plan complexe, c'est-à-dire le point d'affixe z.
L'équation de Navier-Stoke, le mystère non résolu
Moins célèbre qu'E=MC2, l'équation de Navier-Stoke qui fascine autant les physiciens que les mathématiciens, vise à décrire le mouvement des fluides ou plus précisément son champ de vitesse.
On distingue plusieurs types de complexes : les complexes physiques, psychiques et sociaux. Ils touchent davantage les femmes que les hommes, car les femmes subissent plus de pression sur leur image de la part d'une société qui a totalement basculé dans le culte de l'apparence.
(c) Quotient de deux nombres complexes
Le quotient de deux nombres complexes non nuls a pour module le quotient des modules de ces deux nombres et pour argument la différence des arguments de ces deux nombres : z1z2=|z1||z2|(cos(ϕ1−ϕ2)+isin(ϕ1−ϕ2)).