Il vous suffit de diviser le prix global d'un terrain constructible à bâtir viabilisé par le nombre de ses m2 et vous obtiendrez son prix au m2.
Où et comment obtenir ces informations liées à la valeur du terrain ? Il faudra vous tourner auprès de votre mairie afin d'obtenir toutes les informations nécessaires à l'évaluation de votre terrain. C'est elle qui pourra vous délivrer les documents nécessaires pour déterminer la valeur de votre parcelle.
En moyenne, on considère qu'un terrain non constructible est 20 fois moins cher qu'un terrain à construire ! Cela signifie que le coût d'un m² de terrain non constructible peut se situer sous les 1 euro ! En moyenne, on considère que la majorité des terrains non constructibles coûtent entre 0,50 et 10 euros du m².
Le promoteur immobilier, la meilleure solution
Il connaît l'historique des projets immobiliers réalisés et ceux en cours dans la zone et peut avoir un regard complet sur votre terrain et réaliser une expertise précise. Pour réaliser une estimation immobilière juste, le promoteur immobilier peut aussi se faire aider.
1. Informez-vous auprès du cadastre. C'est auprès du cadastre que de multiples informations pourront être réunies pour commencer l'estimation d'un terrain. Toute personne, qu'elle soit propriétaire ou non d'une parcelle, peut obtenir la communication de tout ou partie des plans cadastraux.
La nature et la situation géographique du terrain dont sont deux critères importants dans l'estimation du prix au m². Le prix d'un terrain agricole ou d'un terrain non constructible ne sera pas le même que le coût d'un terrain constructible. De même un terrain non viabilisé sera moins cher qu'un terrain viabilisé.
De 500 à 57 980 € l'hectare de terre agricole
- des terres louées totalement ou en partie, et d'une superficie supérieure ou égale à un seuil adapté aux particularités de chaque département, seuil inférieur à 70 ares ; - des terres à la vente dans les départements d'outre-mer ; - des vignes à la vente.
Alors que l'année 2019 vient de s'achever, le moment est venu d'en dresser le bilan « immobilier » : 3 367 € (le prix moyen au m² en France en 2019), 4,7 % (la hausse annuelle du prix de l'immobilier)...
Le coût d'un mètre carré de propriété agricole était à l'époque d'environ 0,3 euro, mais la valeur des terres agricoles a doublé au cours des 20 dernières années, avec des prix atteignant jusqu'à 1,5 million d'euros. Si un terrain agricole est vendu en location, le prix à l'hectare est inférieur à 4500 €.
Tout d'abord, l'emplacement jouera un rôle primordial dans votre budget : en campagne, un terrain peut coûter environ 50 € au m², tandis que proche des grandes villes, les prix pourront aller jusqu'à 250, 300 € au m².
Le bail rural pour valoriser un terrain agricole. Première solution pour valoriser un terrain non constructible inscrit en zone agricole du PLU : le louer à un exploitant agricole par la conclusion d'un bail rural.
Terrains de loisir : sont concernés les espaces naturels propices à l'exploitation d'un camping, d'une base sportive, d'une pêche… En 2019, on constate un prix moyen entre 4 000 et 5 000 €/hectare.
Calculer le prix du m²
Et bien le calcul du prix du m2 moyen est similaire et invariable pour tous les logements. Voici la formule : Prix du logement neuf / Nombre de mètres carrés = Prix du m²
En 2022, les prix des logements devraient croître sur tout le territoire, aucune baisse n'est prévue au regard de la demande actuelle. En revanche, on peut espérer une croissance plus modérée des prix. Les premières études sur le sujet tablent sur une hausse des prix autour de 2 %.
Construire une maison coûte en moyenne 1400 euros par mètre carré. Cependant, ce prix peut varier en fonction de très nombreux comme critères comme le type de construction, la localisation ou encore les matériaux choisis.
Les terres et prés libres non bâtis se sont vendus au prix moyen de 5940 euros par hectare en 2021, en recul de 2,3% sur un an. Pour les terres et prés loués non bâtis, le prix moyen recule légèrement de 0,4% à 4970 euros par hectare. Des évolutions qui s'avèrent néanmoins contrastées selon les régions.
La vente de terres agricoles est également réglementée par la SAFER, qui s'occupe d'estimer les terrains à leur juste valeur. En effet, les notaires sont dans l'obligation de déclarer toute vente de terres agricoles à la SAFER, qui aura automatiquement un droit de préemption.
L'évaluation d'un terrain agricole s'effectue en définissant une valeur moyenne par hectare, basée sur les transactions récentes réalisées dans la région. En France, la Société d'Aménagement Foncier et d'Etablissement Rural (SAFER) met en place un barème répertoriant l'ensemble des ventes de terrains agricoles.
Généralement, on estime qu'un terrain non occupé de 100 m² compte pour 10 à 20 m² de surface habitable. Ainsi, si votre maison mesure 100 m² et votre terrain 200 m², vous obtenez une surface potentielle de 140 m² (100 + 200*20 %). au maximum que vous devez multiplier par le prix moyen du mètre carré du secteur.
Si le prix d'un terrain non-constructible est généralement faible, les frais de notaire représentent environ 8% du coût total du terrain. Les émoluments du notaire évoluent selon le département et sont proportionnels au prix d'achat du terrain non-constructible.
Le prix moyen d'un terrain nu peut varier de 50€ le m² dans les zones très rurales jusqu'à parfois atteindre plus de 500 € le m² dans les zones urbaines.
La plus-value réalisée à l'occasion d'une cession d'un montant inférieur ou égal à 15 000 € est totalement exonérée. Ce plafond de 15 000 € est calculé sur la valeur du bien ou de la partie de bien en pleine propriété et s'apprécie pour chaque cession.
La meilleure façon de tirer profit de votre terrain c'est de le louer ou la vendre. Pour cela, vous devez avant tout réfléchir à ce que vous pouvez faire. Vous pouvez vendre et louer le terrain nu et en tirer un maigre profit ou y construire un immeuble ou une maison pour pouvoir le vendre beaucoup plus cher.
Pour échapper au droit de préemption, la solution est de vendre le bien au fermier en place puisqu'il a un droit de préemption qui prime celui de la Safer. Mais il doit remplir une condition : exploiter les biens depuis au moins trois ans.