À ce propos, l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) a mis en place une base de données unique et une méthodologie de calcul appelée bilan Carbone. Cet outil de calcul innovant se base toujours sur la formule : Émissions de CO2 = quantité consommée x facteur d'émission.
Comment calculer le bilan carbone ? Le calcul des émissions de CO2 est le suivant : émissions de CO2 = quantité consommée x facteur d'émission. On collecte donc les données que l'on associe à un facteur d'émission permettant de calculer son équivalent carbone.
Chaque mois, chaque véhicule parcourt 1500 milles à un MPG moyen de 25. Cela signifie que chaque véhicule consomme 60 gallons de carburant chaque mois (1500/25), ce qui représente 272 litres, puisqu'il y en a 4,54 litres dans un gallon. 272 litres de diesel produiront 728 kg de CO2 (272 * 2,68 = 728).
Les émissions d'un produit sont calculées en multipliant le facteur d'émission par les données d'activité pertinentes telles que la quantité, la distance, la durée et d'autres aspects des matières premières et des processus.
Malgré la diversité des GES, la pratique habituelle pour mesurer les GES consiste à convertir toutes les émissions en équivalent CO2 (équivalent CO2e). Chaque gaz est mesuré, multiplié par son potentiel de réchauffement global, puis agrégé pour obtenir les émissions totales de GES en CO2 équivalents.
La méthode la plus répandue et la mieux connue aujourd'hui est celle de l'empreinte carbone. Elle permet d'évaluer l'impact climat d'une activité en comptabilisant les gaz à effet de serre (dont le CO2) émis en un an, rapporté au financement en capital ou en dette.
Les émissions de CO2 que nous émettons (c'est-à-dire notre empreinte carbone personnelle, ou empreinte carbone) sont toujours calculées à l'aide de la formule suivante : Émissions de CO2 = quantité utilisée x facteur d'émission.
L'estimation du niveau moyen de l'empreinte individuelle annuelle des Français serait d'environ 8 tonnes CO2eq pour l'année 2022. Il est probable que ce résultat minore un peu la réalité compte tenu de la difficulté de prise en compte de certains investissements dans la consommation des ménages.
Origine des émissions de CO2 dues à la combustion d'énergie en 2018. En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Pour calculer ces émissions, multipliez la quantité transportée selon les émissions par trajet. Exemple : Pour le transport de 350 kg de marchandises au départ de Paris-Orly à destination de Pointe-à-Pitre, vous émettez 1865,5 kg de CO2 (350 x 5,33).
Calcul des émissions de dioxyde de carbone = tonnage de carbone émis x masse molaire du dioxyde de carbone / masse molaire du carbone = 4 158 x 44 / 12 = 15 246 tonnes de dioxyde de carbone émis.
En France, un kWh électrique produit environ 0,1 kg équivalent CO2. Il faut donc un peu plus de 10 000 kWh d'électricité pour produire une tonne équivalent CO2. La moyenne pour l'Europe est plus élevée : 0,45 kg CO2 eq. / kWh él.
Le dosage du CO2 peut se faire aisément et simplement de manière volumétrique, soit direc- tement, à l'aide d'un carbodoseur, soit par dépression au mercure, selon la méthode de Van Slyke. Le mercure fait l'objet de mesures restrictives strictes.
« L'enveloppe » par défaut est fixée à 2 tonnes de CO2 par an, le budget par habitant correspondant à la neutralité carbone à l'échelle planétaire. Pour mémoire, chaque Français a une empreinte carbone de près de 9 tonnes de CO2 (estimation 2021).
L'empreinte carbone est un indicateur de la quantité de gaz à effet de serre émise. Sa mesure est indispensable pour évaluer son impact sur l'environnement et agir, à sa propre échelle, pour la protection de notre planète.
Le site Bilans GES de l'Ademe, Centre de ressources sur les bilans de gaz à effet de serre, propose des ressources réglementaires et méthodologiques.
Le Bilan Carbone® est une méthode de comptabilité carbone développée par l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), en partenariat avec l'ingénieur Jean-Marc Jancovici. Cette méthode permet notamment d'évaluer les niveaux d'émissions de gaz à effet de serre (GES) d'une entreprise.
Pour mesurer son impact, on doit d'abord identifier et mettre en place des indicateurs permettant de mesurer ces changements, puis collecter et analyser les données. En fonction des analyses, il est possible de communiquer et d'optimiser ses activités.
Pour analyser au mieux l'impact environnemental et prévoir les conséquences d'une activité, plusieurs méthodes de calcul peuvent être employées : L'étude d'impact environnemental ; Le bilan carbone ; Ou dans le cas de la fabrication d'un produit, l'analyse du cycle de vie (ACV).
Un calcul très facile, c'est promis ! Pour mesurer votre consommation de gaz, il faut multiplier le volume affiché au compteur (en m³) par un coefficient de conversion (en kWh/m³). Ce calcul est effectué par GRDF, le gestionnaire du réseau. Selon le type de gaz, 1 m³ contient entre 9,2 et 12,4 kWh.
Il existe différents types de gaz à effet de serre et leur potentiel de réchauffement global varie. Les gaz naturellement présents dans l'atmosphère, mais également générés par les activités humaines, comprennent : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (N2O), entre autres.
Vous devez alors additionner vos consommations en électricité et gaz exprimées en KWh sur vos factures d'énergie. En divisant le total obtenu par la superficie du logement (en m2), vous obtenez une estimation à rapprocher des fourchettes de consommation indiquées pour chaque classe énergétique.