Parler permet d'évacuer la colère, même lorsqu'on se parle à soi même. – Sortez faire un tour : Bien sur, cette alternative n'est possible que si un autre adulte peut gérer le(s) enfant(s). Très souvent, le fait de s'aérer et de voir autre chose permet de dissiper la colère en nous.
De nombreuses raisons poussent un père à rejeter ses enfants. Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce.
"Un parent toxique, c'est un parent qui a été dominateur, critique, méprisant, manipulateur ou plus simplement démissionnaire et incapable d'offrir le moindre soutien à son enfant. Ces parents ne sont pas forcément coupables de sévices ou d'abus sexuels", définit au préalable la psychothérapeute.
Des effets néfastes sur la santé
"Lorsqu'elle est ressentie fréquemment, violemment et de manière non adaptée, la colère peut développer des hernies, de l'urticaire, du psoriasis, de l'asthme et des douleurs dans le bas du dos", explique Christophe Haag.
Les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ont des difficultés à contrôler leur colère, elles s'irritent souvent de façon injustifiée et excessive. Elles peuvent exprimer leur colère par des sarcasmes cinglants, de l'amertume ou des diatribes virulentes.
Expression émotionnelle et besoins
Une autre lecture est possible: derrière l'émotion se cache l'expression d'un besoin. La peur exprime par exemple un besoin de sécurité, la colère un besoin de respect et de considération, la tristesse un besoin de réconfort et la joie un besoin de partage.
Généralement ce comportement arrive quand quelque chose le contrarie, ou qu'il est jaloux. C'est un homme un peu alcoolique par moment, ayant eu une vie pas facile, mais est ce une raison pour nous faire souffrir comme cela. Ces insultes font beaucoup de mal, il ne s'excuse jamais.
Un épuisement profond, physique et émotionnel, qui n'est pas ou peu soulagé par un repos. Une distanciation progressive avec les enfants. Le parent ressent de moins en moins d'affect pour ses enfants et agit au quotidien comme un automate.
Dans une large mesure, cela est dû à une mauvaise maîtrise de soi et à une faible tolérance à la frustration. Cependant, ce ne sont pas les seules causes. Sous la colère se cache aussi très souvent une couche de tristesse que nous ne savons pas affronter, et encore d'autres sentiments ou émotions refoulés.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
L'halopéridol employé seul est recommandé pour calmer les situations en cas d'agressivité ou d'agitation chez des personnes ayant une psychose. Celui-ci est largement répandu et peut être le seul antipsychotique disponible dans certaines régions aux ressources limitées.
S'agacer, s'énerver, se mettre en colère, sont des émotions normales, mais qui ont, à la longue des répercussions délétères sur notre santé mentale et physique. La colère provoque tout d'abord des troubles digestifs importants : inflammations gastriques (reflux et brûlures d'estomac, ulcères) ; diarrhées.
Dans tous les cas, l'impulsivité décrit une situation où la personne impulsive se laisse guider par l'émotion et non pas par la raison.
Lorsque l'on s'énerve trop souvent pour de mauvaises raisons et que l'on ne parvient plus à garder son calme, la cause est toujours la même : une mauvaise gestion de la colère. Beaucoup de personnes ne font qu'alimenter leur colère au quotidien, et ne savent pas la gérer sainement.
Le parent dit « aliénant » dénigre constamment et de façon injustifiée l'autre parent. Ce comportement a pour but de « programmer » l'enfant à rejeter l'autre parent. Le dénigrement de l'autre parent sera sanctionné par le juge.
Soit on s'éloigne du parent toxique, on met des distances, on coupe les ponts mais sans culpabiliser. Soit on agit avec suffisamment de recul, presque comme si c'était une personne étrangère, comme un infirmier qui gère un malade, mais cela demande beaucoup de stabilité émotionnelle.
Claude Olivenstein a très bien décrit ce père considéré comme défaillant : absence réelle ou symbolique et/ou jugement méprisant de la mère et/ou maltraitance et/ou addicté, d'où un père vécu comme carentiel dans tous les cas.