En cas de peur chez un chien, essayez donc de le mettre dans un endroit plus confortable, là où il sentira qu'il est moins en danger : au calme ou dans l'obscurité, par exemple, et laissez-lui le temps de se calmer. Mieux vaut le laisser libre de pouvoir s'écarter du stimulus.
Si votre chien a peur, il va donc chercher à s'isoler. Veillez à ce qu'on ne l'indispose pas. Évitez de lui parler calmement ou de le câliner : cette attitude lui fait croire qu'il a raison de s'inquiéter. Vaquez à vos occupations pour lui montrer que ce son n'est pas inquiétant.
En comportement, il importe de différencier peur et crainte, deux mots du registre de l'éthologie qui s'emploient selon que le milieu où est ressentie l'émotion est ouvert ou fermé. La peur conduira le chien vers la fuite, l'affrontement ou la sidération. La crainte est liée à une adaptation de l'individu.
Donnez des choix à votre chien
L'une des façons les plus rapides de traumatiser un animal est de lui enlever la possibilité de choisir. Donnez à votre chien la possibilité de faire des choix concernant son environnement, son emploi du temps et les soins à lui prodiguer, autant que possible.
Un chien peut aussi se mettre à trembler lorsqu'il ressent une émotion trop intense, de stress, de peur ou de joie. Le symptôme disparaît dès le retour au calme. Enfin, avec l'âge, il est fréquent d'observer des tremblements au niveau des membres, causés par le vieillissement musculaire et la perte de tonus.
Afin de rassurer son fidèle compagnon, le premier des réflexes de tout maître est de caresser son chien. Sachez qu'il s'agit d'une très mauvaise habitude. En effet, en caressant votre chien lorsqu'il a peur, vous lui dites « Tu as peur, c'est très bien ! Je suis satisfait(e) de ton comportement ».
Les plantes contribuent à calmer un chien nerveux et anxieux. L'aubépine, la valériane, la passiflore et le millepertuis ont des vertus ré-équilibrantes et favorables au bien-être de votre bête.
Un halètement rapide : lorsqu'un chien est très stressé, il peut se mettre à haleter rapidement, comme après un effort. Il s'agit de la manifestation d'une angoisse dont on peut retrouver une forme similaire chez l'humain en panique. Cela s'accompagne parfois de pleurs et de gémissements.
Choisissez les zones appréciées par l'animal : l'avant du cou, le dessus de la tête, la nuque, le dos les flancs... Chaque chien a des zones plus ou moins sensibles, tout comme le maître aime caresser certains endroits et pas d'autres." Plus que les mots prononcés, c'est surtout l'intonation qui est importante.
Activité physique régulière et jeux. Ajout dans l'alimentation de compléments alimentaires à base de plantes. Prescription de compléments à base de protéines de lait. Produits apaisants à base de phéromones , diffuseurs anti-stress , comprimés-anti-stress, colliers anti-stress.
La peur ressentie par un chien provient généralement d'un manque de socialisation dès son plus jeune âge. Mais lorsque le chien a peur, on peut parler d'une bonne peur dans le sens où il va développer un sentiment de méfiance vis-à-vis de l'inconnu.
– Changement de comportement : baisse de réactivité, absence de jeu, d'auto-toilettage, de déplacements, baisse d'échange avec ses congénères, modification du sommeil. – Vocalises en cas de douleur aigüe. – Agressivité au contact. – Léchage, grattage, auto-mutilation.
Le chien peut trembler pour plusieurs autres raisons sans conséquence. Il peut trembler par excitation par exemple ou par peur. Si une punition est trop sévère le chien tremble de peur et de frustration.
Pourquoi les chiens lèchent-ils les gens? Quand votre toutou vous lèche vous ou d'autres humains, c'est généralement un geste amical et social, comme lorsqu'il salue d'autres chiens. C'est sa façon de vous dire «Bonjour! Je t'aime!» ou «Je suis tellement content de te voir!
C'est donc un système d'alarme qui nous permet de se mettre en sécurité. Cette émotion complexe peut varier de manifestation, mais aussi d'intensité selon les individus. On ne le répète jamais assez, chaque chien est différent. La peur est donc une émotion normale.
Lorsque vous parlez à votre chien, vous êtes persuadés qu'il a tout compris ? Vous avez bien raison ! Une étude hongroise publiée dans la revue américaine Science (29/08/2016) démontre que le cerveau des chiens prête attention à la fois à ce que nous disons et à la manière dont nous le disons.
Au total, dix mots ou phrases ont été reconnus spécifiquement par plus de 90 % des chiens. Ces derniers comprennent le nom du chien, ainsi que « assis », « bonne fille/bon garçon », « viens », « couché », « attends », « non », « oui », « reste » ou encore « laisse ».
Nous témoignons notre tendresse envers un autre humain de cette façon, alors nous agissons de même avec notre animal de compagnie. Il est vrai que beaucoup de chiens apprécient les câlins et adorent recevoir des bisous sur le museau ou sur la tête.
Ignorer son attitude
Dites-lui un « non » ferme ou encore « arrête ! », « pas sauter », « stop ! », etc. Le terme doit être court et précis ; choisissez-le une bonne fois pour toutes et n'en changez plus afin que votre chien ne soit pas perdu. Prononcez cet ordre de manière claire avec un geste de l'index.
Une manière d'affirmer son autorité
En fait le chevauchement d'un congénère, de la jambe d'un humain, d'un coussin, etc. au delà de l'acte purement sexuel est une manière pour le chien d'affirmer son autorité. Le laisser faire, c'est faire allégeance à cette volonté de dominer.
Un chien dominant est un individu qui veut « imposer sa loi » à ses congénères et aux membres de sa famille humaine.
Vous devez convaincre votre chien qu'il n'y a aucune raison de vous défendre ou de vous protéger. Ne montrez jamais à votre chien que vous avez peur ou que vous êtes nerveux. Soyez confiant et essayez d'ignorer l'agressivité de votre chien si la situation le permet. Ne vous emportez jamais face à ce comportement.