La stratégie que vous devez suivre pour changer vos pensées est de détecter, en premier lieu, lesquelles sont précisément celles qui doivent être transformées. Autrement dit, vous devez devenir un chasseur d'idées négatives et irrationnelles qui polluent l'océan de votre univers psychique.
Pour améliorer notre humeur, il est essentiel de confronter et de modifier nos pensées et croyances négatives. Premièrement, il faut les examiner en profondeur. Imaginez que vous menez une enquête ou que vous contestez vos pensées et vos croyances négatives en cour.
La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher. Comment se débarrasser de la rumination mentale ? En détournant son attention sur des tâches distrayantes mais prenantes, en se recentrant sur l'instant présent grâce à la méditation ou encore en écrivant ses ruminations, il est possible de les contrer.
Ne pas avoir de projets. Les personnes toujours négatives ne parlent que rarement de leurs projets parce qu'elles sont trop ancrées dans leur misère actuelle. Elles n'imaginent pas réaliser quoi que ce soit et se confortent dans leur situation de victime. Cette négativité devient leur zone de confort.
Pour continuer à manifester des choses positives dans votre vie, il faut toujours faire attention à vos pensées, à vos niveaux vibratoires. Et ce, en pratiquant la gratitude, le lâcher-prise, la méditation ou encore la respiration, afin de calmer et maîtriser vos émotions.
"En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux." "Tu es toujours plus fort que ce que tu penses ." "Je peux le faire et je vais le faire." " A ceux qui osent, rien n'est impossible."
On peut aussi s'endormir sur le mode positif : "Le soir, toujours se rappeler trois souvenirs positifs de notre journée, qu'importe la nature du moment. L'important est de s'endormir apaisé afin que le cerveau enregistre ce sentiment de bien-être et de gratitude", informe le psychiatre.
Il est important de se dire que changer ne dépend que de nous ! Mais alors, comment fait-on pour changer ? Il faut commencer par vouloir bien changer son système de croyances et de fonctionnement. Vous avez un fonctionnement, une vision de la vie qui vous sont propres et il va falloir en modifier votre perception.
Considérer la perte acceptable d'une option permet de diminuer votre résistance naturelle aux changements. La perte acceptable, c'est d'essayer quelque chose en connaissant à l'avance ce que vous pouvez perdre au pire, et que vous pouvez vous permettre cette perte. La perte est connue à l'avance.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Pour avoir la « positive attitude », entourez-vous de gens positifs et essayez de toujours voir le verre à moitié plein. Au quotidien, vous pouvez également vous appuyer sur de petites astuces : écouter votre chanson préférée le matin, vous aider de mantras qui vous boostent, porter votre tenue préférée…
Pour attirer consciemment tout ce que vous voulez vivre, vous devez en avoir besoin, pas simplement désirer cette chose que vous voulez. Si vous avez besoin de quelque chose, il faut que vous vous fixiez un objectif. Plus l'objectif est important, plus il devient une nécessité et non un luxe.
Le cerveau réagit de manière intense face à des entités négatives comme des germes alors que le contraire ne se produit pas pour des équivalents positifs [1]. Par conséquent, au moment de raisonner, de juger et d'agir, le négatif l'emporte très souvent sur le positif.
C'est un biais cognitif, le biais de négativité. En clair, être positive me demande un effort, parce que mon cerveau est programmé pour me préparer au pire, et donc à se concentrer sur la négativité.
Les personnes négatives n'ont de cesse d'analyser le comportement des autres depuis une posture très destructrice. Elles dévoilent des choses intimes, jugent les autres sur des échelles bipolaires (bien/mal, fou/normal, inutile/brillant) et n'affrontent jamais ces aspects en essayant d'y apporter des solutions.