problèmes de sommeil : la personne dort trop ou pas assez; diminution ou augmentation de l'appétit, pouvant causer une perte ou un gain de poids; diminution ou perte d'intérêt sexuel; apparition de malaises tels que des maux de tête, des douleurs au dos ou à l'estomac.
La dysthymie
La dysthymie est caractérisée par des symptômes plus légers et moins caractéristiques que ceux d'un épisode dépressif ou d'une dépression récurrente. Cependant il s'agit d'un trouble persistant avec des symptômes qui durent au moins 2 ans, parfois même des décennies.
Des situations et des événements de la vie, remontant parfois à l'enfance, peuvent favoriser la survenue d'une dépression : relations perturbées avec les parents, traumatisme sexuel, expériences difficiles, etc. ; décès d'une personne proche. L'état de deuil est une réaction psychologique à la perte d'un être cher.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
L'augmentation est plus marquée chez les femmes et les moins de 44 ans, et tout particulièrement chez les 15-24 ans. 22,0 % des jeunes de cette tranche d'âge déclarent ainsi des problèmes de ce type en mai 2020, contre 10,1 % en 2019 et 4,2 % en 2014.
Le millepertuis est une plante antidépressive aussi efficace que les antidépresseurs de synthèse [16]. C'est probablement l'antidépresseur naturel le plus connu et le plus étudié [17, 18]. Ses bienfaits font l'objet de nombreuses études scientifiques qui affirment que millepertuis et dépression sont intimement liés.
La psychothérapie est le moyen le plus efficace pour sortir de la dépression rapidement et durablement. Il s'agit d'une solution thérapeutique qui va vous permettre de poser un diagnostic précis sur ce que vous ressentez et vivez, mais aussi de déterminer les causes de la dépression.
Pour sortir de la dépression, la première chose à faire est d'admettre que cet état dans lequel on se trouve n'est pas normal. Il ne faut surtout pas en avoir honte et ne pas hésiter à en parler autour de soi, car l'acceptation est la base de la guérison.
Un pic est constaté en décembre et en janvier, ce dernier étant considéré comme le mois le plus déprimant de l'année. Les personnes victimes de dépression saisonnière hivernale ont : Plus fréquemment tendance à l'hypersomnie (trop dormir) et l'augmentation de l'appétit.
« La dépression masquée » est caractérisée par une dysthymie (trouble de l'humeur recouverte par une symptomatologie somatique. Le patient exprime son affect dépressif par des symptômes physiques, au premier rang desquels l'insomnie et la fatigue.
Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
idées suicidaires ; troubles du sommeil ; fluctuations de l'appétit ou du poids ; fatigue intense ou perte d'énergie.
Le malade dépressif s'isole, son visage se fige et devient moins expressif. Il est ralenti, prostré et s'occupe de moins en moins de son apparence jusqu'à même négliger son hygiène. Il possède de moins en moins d'initiatives ; il parle, d'un ton monocorde et lent, de moins en moins souvent.
Parfois, la dépression se traduit par des manifestations physiques : troubles du sommeil, fatigue, agitation, maux de dos ou maux de ventre, troubles digestifs, vertiges, maux de tête, etc.
Aujourd'hui, une prise en charge adaptée, une psychothérapie ciblée et des antidépresseurs permettent de briser le cycle infernal pour retrouver la joie de vivre. A condition d'être bien entouré et surtout de bien suivre son traitement.
La dépression est une maladie, et non le reflet d'une faiblesse de caractère. Elle peut durer quelques semaines, souvent plusieurs mois, parfois plusieurs années. Elle nécessite une prise en charge médicale et sa guérison n'est pas une affaire de volonté.
La thérapie cognitivo-comportementale, une option sérieuse. Selon les scientifiques, parmi les traitements non médicamenteux de la dépression, seule la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) a prouvé son efficacité, faisant jeu égal avec les antidépresseurs de seconde génération.
La chélidoine – Chelidonium majus
L'action spasmolytique de certains de ses alcaloïdes (chélodine, coptisine, protopine) en fait un antidépresseur efficace. Elle calme les angoisses, la nervosité, l'anxiété et l'insomnie.
"Il n'existe pas d'antidépresseurs "légers". C'est l'intensité de la dépression qui va faire que l'on prendra, ou non, des antidépresseurs", affirme le psychiatre. En effet, "en cas de dépression, même légère, il faudra toujours faire une psychothérapie", indique-t-il.
début brutal ou en quelques semaines ; spontané ou réactionnel à un événement ou une série d'événements ; phase d'état avec un nombre de symptômes plus ou moins importants et une intensité plus ou moins forte; cette phase dure 4 à 6 mois ; fin progressive de l'épisode : spontanément ou sous l'effet des traitements.
La déprime peut être due à un déséquilibre de la chimie du cerveau lorsque la fabrication de certains neurotransmetteurs jouant sur la régulation de l'humeur comme la sérotonine ou la dopamine diminue. Ce déséquilibre hormonal peut provoquer un « coup de cafard », sans vraiment avoir de raison particulière.
Une hospitalisation urgente peut être décidée si la personne souffre d'un épisode dépressif très sévère répondant mal au traitement ou si elle présente un risque suicidaire.