Les Mayas comptaient en base vingt (système vigésimal ou vicésimal). Leur numération était positionnelle à écriture verticale. Cette numération vigésimale a été utilisée un petit peu au moyen-âge mais a été vite abandonnée.
Les Mayas utilisaient le système vicésimal pour leur numérotation - un système basé sur le chiffre 20 plutôt que sur le chiffre 10. Ainsi, au lieu de changer de colonne à 10, à 100, à 1000 puis à 10 000, comme nous le faisons, les Mayas passaient du 1 au 20, au 400, au 8000, puis au 160 000.
L'écriture hiéroglyphique. Le système d'écriture maya est considéré par les archéologues comme le plus perfectionné des systèmes de la Méso-Amérique. Les Mayas utilisaient 800 signes individuels ou glyphes, disposés deux par deux en colonnes se lisant de gauche à droite et de haut en bas.
Le premier grand effort de déchiffrement de l'écriture maya fut l'œuvre de Ernst Förstemann, bibliothécaire royal à Dresde. En 1880, Förstemann commença l'étude des hiéroglyphes dans les codices (les livres en papier d'écorce conservés) et le plus connu d'entre eux, le Codex de Dresde, était à portée de sa main.
Numération = action de compter, de dénombrer ; façon d'écrire les nombres et de les énoncer. Numération décimale, duodécimale, binaire. Numérotation = attribution d'un numéro.
le compte sur les dix doigts est très intuitif ainsi que cela a été mentionné ci-dessus ; son ordre de grandeur est satisfaisant, car il permet de réduire considérablement la longueur d'un grand nombre par rapport à la base 2, tout en conservant des tableaux d'additions et de multiplications mémorisables.
Les chiffres sont placés de droite à gauche dans le tableau de numération (d'abord le chiffre des unités, puis le chiffre des dizaines,...). Chaque ligne du tableau peut accueillir un nombre entier. Chaque nombre entier occupe une ligne dans le tableau de numération.
« Maltiox » = Merci.
Le maya yucatèque est parlé par près de 800 000 locuteurs dans la péninsule du Yucatan au Mexique ainsi qu'au nord du Belize. Il est considéré comme l'une des langues ayant été transcrite par l'écriture maya. Des compléments substantiels sont donnés sur le popti' (jacaltec) et l'itza (branche yucatèque).
En lisière de forêt tropicale, au cœur du Chiapas, la cité Maya de Palenque (« entouré d'arbres ») est l'une des plus grandes et des plus belles du Mexique. Un temple Maya est bâti sur chacune des petites collines avec tout autour l'immensité de la forêt vierge.
La civilisation maya. Parmi les civilisations classiques de la Méso-Amérique, le peuple maya est probablement le mieux connu. Originaire du Yucatán aux environs de l'an 2600 avant l'ère chrétienne, il a atteint son apogée autour des années 250 apr. J.
Le Guatemala est le cœur du monde Maya. Une des civilisations les plus anciennes et les plus avancés de l'ancien monde. Les traditions ont en partie survécu à travers le temps, la culture et la langue Maya sont encore bien présentes dans le pays. Et il en reste des traces à travers temples et sites.
On a donc 5 dizaines de 1 000.
8. Dans 785, le nombre de dizaines est de . 9. Dans 631, le chiffre des unités est .
28 est le nombre de centaines ; 283 est le nombre de dizaines ; 2 836 est le nombre de unités. Dans le nombre 7 642 : Le chiffre des centaines est 6, le nombre de centaines est 76, le nombre de dizaines est 764 ; Le chiffre des unités est 2 ; et le chiffre des dizaines est 4.
Il s'utilise encore dans le commerce (douzaine, grosse pour douze douzaines ou 122). Certaines populations (Moyen-Orient, Roumanie, Égypte, etc.) connaissent ce système de longue date en comptant les phalanges de la main en omettant celles du pouce (qui est utilisé pour pointer les phalanges des autres doigts).
En base douze, on écrit tous les entiers à l'aide de douze 'chiffres': 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B et la position de chaque chiffre dans l'écriture donne le nombre d'unités, le nombre de douzaines, de douzaines de douzaines etc.
Le calibre 12 est la plus courante des munitions employées dans les fusils de chasse et est utilisée dans certains fusils de combat de l'armée.
Au fil des ans, tous les coupables possibles ont été invoqués : guerres intestines, invasions étrangères, grandes épidémies, dépendance excessive vis-à-vis du maïs, dégradation de l'environnement, changement climatique. La combinaison de ces facteurs constituerait bien une clef de l'énigme.
Les Mayas, nourris de façon insuffisante dans l'enfance, sans accès aux soins médicaux et travaillant de façon précoce à des activités exigeant de la force, n'atteignaient pas leur potentiel de croissance.