Le futur simple exprime un fait postérieur par rapport au moment présent, un fait qui n'est pas encore réalisé. Il se forme à partir du verbe à l'infinitif + les terminaisons -ai, -as, -a, -ons, -ez, -ont. Pour les verbes dont l'infinitif est en -re, il faut supprimer le "e".
Pour ne pas confondre le futur simple et le conditionnel présent, il faut changer de personne et mettre le verbe à la 3e personne du singulier. Par exemple : Demain, j'irai au cinéma → on passe à la 3e personne du singulier → Demain, il ira au cinéma (et non pas il irait au cinéma.
On utilise « ça » lorsqu'on peut le remplacer par « cela ». - « çà » est un adverbe de lieu. - « sa » est un adjectif possessif. On utilise « sa » lorsqu'on peut le remplacer par « la sienne » ou par « ses ».
Exemples : Si tu viens dimanche, je serai là pour t'accueillir. Quand tu viendras dimanche, je serai là pour t'accueillir. Si le verbe de la proposition subordonnée est à l'imparfait, le verbe de la proposition principale doit être conjugué au conditionnel présent.
Comment se forme le plus-que-parfait ? Le plus-que-parfait se forme avec l'auxiliaire être ou avoir conjugué à l'imparfait suivi du participe passé du verbe conjugué : j'étais parti, j'avais gagné, etc.
Exemples : courir (et ses dérivés accourir, concourir, discourir, encourir, parcourir, recourir, secourir), mourir. -> D'autres verbes modifient leur radical et doublent le -r qui précède les terminaisons du futur : -ai, -as, -a, -ons, -ez, -ont. Exemples : acquérir, pouvoir, voir (et ses dérivés revoir, entrevoir).
Contrairement au futur proche, le futur simple présente une action future séparée du moment présent. Ainsi, en raison de cette coupure entre l'action à venir et le moment où l'on parle, les faits évoqués au futur simple ont une charge d'hypothèse plus importante que ceux évoqués au futur proche.
Le passé simple est souvent utilisé pour évoquer des actions multiples dans le passé. Ces actions sont alors présentées comme successives, et ce, même quand aucun complément ne vient préciser leur successivité. Samuel se rendit d'abord chez lui, puis il se dirigea chez son père, qui l'attendait.
Locution conjonctive
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment.
- Ça marche.» Tout marche. Quelle déambulation !
Lui signifie « à lui, à elle », leur signifie « à eux, à elles »; pronom personnel de la troisième personne des deux genres, invariable, de forme atone; lui/leur joue le rôle d'un régime indirect et est placé avant le verbe, sauf si celui-ci est à l'impératif positif.
Devant un nom commençant par une voyelle ou un « h » muet, « ce » devient « cet » (cet enfant, cet hiver…). Et devant certaines formes conjuguées du verbe être, il s'élide, c'est-à-dire que son « e » est remplacé par une apostrophe (c'est, c'était…). Et que fait « se » devant une voyelle ou un « h » muet ?
Le futur antérieur peut s'employer avec le futur simple pour exprimer une action qui aura lieu avant une seconde action. Exemple : Quand tu seras parti, ils fermeront la porte. Le futur antérieur peut s'employer seul pour exprimer un fait ou une action qui se sera achevée à ce moment là.
1. Le futur antérieur s'emploie généralement pour montrer qu'une action future se produira avant une autre action dans le futur. 1. Quand j'aurai terminé ce projet, je prendrai des vacances.
Parce qu'on entend la même chose aux trois personnes du singulier (« je », « tu », « il »), on a tendance à garder la même terminaison dans tous les cas : « je savait », « tu savait », « il savait » au lieu de « je savais », « tu savais », « il savait ».
existent : l'une des conjugaisons, « j'aimerai » correspond au futur simple, qui s'utilise pour exprimer une action qui aura lieu dans le futur, « j'aimerais », conjugué au présent du conditionnels'utilise pour exprimer une action hypothétique, une possibilité ou un souhait.
La phrase subordonnée introduite par la conjonction « si » se place librement où l'on veut dans une phrase.
Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait). Pour peu qu'il soit malade, il ne viendra pas (hypothèse).