Retrouvez sans tarder le site web « Géorisques » pour mieux connaître les risques existants sur l'ensemble du territoire national. Pour cela, localisez-vous soit directement sur la carte, soit en saisissant vos coordonnées.
Que ce soit des biens immobiliers, mobiliers, publics ou privés, le PPRI intervient sur l'ensemble de ses éléments. Ce document est disponible à la préfecture, sur le site de la préfecture, ou à la mairie.
L'objectif du Document d'Information Communal sur les RIsques Majeurs est d'informer le citoyen sur les risques majeurs auxquels il peut être exposé, sur leurs conséquences et sur ce qu'il doit faire en cas de crise.
À cet effet, il dispose d'outils : • le code général des collectivités territoriales (CGCT) ; • le dossier d'information communal sur les risques majeurs (dICRIM) ; • le plan communal de sauvegarde (PCS) ; • le plan de prévention des risques (PPR) ; • le plan local d'urbanisme (PLU).
Pour consulter les informations relatives au Plan de Prévention des Risques (naturels ou inondations) vous devez d'abord activer la couche dans RISNET. Pour cela dans le Navigateur, dépliez l'objet « Risques » et cochez le groupe « Risques naturels ». Par défaut, les PPRn et PPRi de votre département apparaissent.
Si votre habitation se situe en zone inondable, la carte de zonage du PPRI vous permettra d'identifier le niveau de risque d'inondation sur votre terrain. Il existe trois types de zones inondables : La zone blanche ne présente aucun risque d'inondation ; La zone bleue présente un risque faible.
Plusieurs documents sont consultables en mairie : le Dossier Départemental des Risques Majeurs, le Dossier d'Information Communal sur les RIsques Majeurs (DICRIM), les dossiers et les cartes du ou des Plans de Prévention des Risques Naturels (PPRN), Technologiques (PPRT) ou Miniers (PPRM) concernant la commune.
Qu'est-ce qu'un risque majeur ? Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
- le maire est responsable de l'alerte, de l'information et de la sauvegarde des populations (mise à l'abri, évacuation, hébergement...) ; - le maire peut mettre en place une RCSC (réserve communale de sécurité civile) composée de citoyens volontaires et bénévoles afin de renforcer le dispositif de gestion de crise.
En France, de nombreuses informations sont accessibles aux citoyens : plusieurs documents sur la connaissance des risques majeurs et leurs conséquences pour les personnes, les biens et l'environnement sont consultables dans les mairies et relayés sur internet.
Cette information est consignée dans un dossier départemental sur les risques majeurs établi par le préfet, ainsi que dans un document d'information communal sur les risques majeurs établi par le maire. Le document d'information communal sur les risques majeurs reprend les informations transmises par le préfet.
Au niveau communal, le DDRM est décliné sous la forme du document d'information communal sur les risques majeurs (DICRIM), réalisé par le maire et librement consultable en mairie.
Coût élevé de l'assurance, risques de dégâts graves en cas de sinistre, décote à la revente : ceux qui s'installent dans l'une des 16 000 communes ayant une partie de leur territoire inondable s'exposent à de nombreuses difficultés.
Bon à savoir : pour savoir si votre maison se trouve dans une zone à risques, vous pouvez vous renseigner auprès de votre mairie afin de consulter le PPRN (plan de prévention des risques naturels), et de votre préfecture pour le plan de prévention des risques d'inondation (PPRI).
Outil de sécurité indispensable, le plan de prévention est obligatoire et doit être rédigé si les travaux dépassent 400 heures par an ou s'ils figurent sur la liste des travaux dangereux fixé par l'arrêté du 19 mars 1993.
Une évaluation des risques consiste en une inspection approfondie du lieu de travail en vue d'identifier entre autres les éléments, situations et procédés qui peuvent causer un préjudice, en particulier à des personnes.
Il convient de l'aménager et de le doter des différents outils utiles en situation de crise : copie du PCS, cartographie de la commune et de ses risques, annuaire opérationnel, etc. Le PCS doit également définir un organigramme de crise. L'organisation du PCC en cellule doit être adaptée à la taille de la commune.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Les trois sphères ainsi définies vont être celles de l'amour, du droit, et de la solidarité.
2) Sont ainsi définies : – une zone inconstructible1, appelée zone rouge (R). – une zone constructible sous conditions de conception, de réalisation, d'utilisation et d'entretien de façon à ne pas aggraver l'aléa* et à ne pas accroître la vulnérabilité* des biens et des personnes, appelée zone bleue (B).
Ces informations peuvent être obtenues en consultant un site dédié. La liste des communes concernées est également fixée par des arrêtés préfectoraux. Ces arrêtés comportent, entre autres, la liste des documents auxquels le propriétaire peut se référer pour remplir son état des risques et pollutions.