Soyez aussi à l'écoute de vos émotions. L'enfant intérieur est un être très sensible. En laissant place à vos sentiments, vous créerez un sentiment d'écoute et d'attention envers ce petit être. Posez-vous régulièrement la question : « Comment est-ce que je me sens à cet instant ? ».
Ça peut être un petit courrier ou un SMS pour dire l'essentiel : « Je suis au courant de ce qui t'arrive. Je pense beaucoup à toi. Dis-moi si je peux t'aider et à quel moment je peux venir te voir. » Parfois, la consolation passe par des élans physiques : prendre la personne dans ses bras, lui tenir la main.
Comment retrouver son enfant intérieur ? Pour soigner les blessures du passé, on peut prendre contact avec son enfant intérieur grâce à un travail d'imagination. La personne adulte que nous sommes peut discuter, consoler et prendre soin de l'enfant que nous avons été.
Le traumatisme vécu petit se manifestera plus tard, et de plus en plus en avançant dans l'âge, par des comportements du genre : adulte dépendant, avide de tendresse et de reconnaissance, revendicatif, jaloux, exigeant, possessif, craignant sans cesse le désamour et le rejet.
Soyez aussi à l'écoute de vos émotions. L'enfant intérieur est un être très sensible. En laissant place à vos sentiments, vous créerez un sentiment d'écoute et d'attention envers ce petit être. Posez-vous régulièrement la question : « Comment est-ce que je me sens à cet instant ? ».
Se replonger dans ses photos d'enfance est l'un des moyens pour instaurer un dialogue avec son enfant intérieur : on lui demande s'il veut bien nous parler et comment il va, on lui raconte l'adulte qu'on est devenu. Cet exercice peut d'autant plus mettre mal à l'aise qu'on a du mal à accepter l'enfant en soi.
Il suffit parfois d'un regard, d'un geste tendre, d'une parole amicale pour soulager un chagrin. Consoler, c'est d'abord ne pas laisser l'autre seul. C'est être là, effectivement, affectivement, pour que ne s'ajoute pas à sa souffrance celle de la solitude.
Faire jouer une musique calme, inviter les enfants à se coucher et les encourager à se concentrer sur leur respiration. Des massages avec des balles. Petites chansons douces et calmes. Petits massages avec des plumes.
Parler avec son enfant et lui lire des histoires favorise le développement de son raisonnement, tout comme le laisser explorer son environnement et lui donner du matériel varié pour jouer. De bonnes capacités de raisonnement aideront l'enfant à mieux comprendre les situations qui se présentent à lui.
A 3 mois, un bébé dit «je t'aime» à son papa.
Le plus souvent, il s'agit bien sûr des parents, parfois de la mère en particulier. Plus l'enfant perçoit ce lien d'attachement comme étant inconditionnel, plus il est à l'aise avec son environnement, pour tester ses interactions, ses limites et ses émotions.
Un enfant heureux est forcément joyeux
Certes, un enfant épanoui, équilibré, qui va bien dans sa tête, qui est confiant dans la vie, sourit et rit beaucoup avec ses parents et avec ses copains.
Un enfant opiniâtre trouve souvent dans le tennis matière à se défouler, tant physiquement que psychologiquement. Le tennis développe la musculature, comme l'endurance. Il apprend à anticiper, autant qu'à réfléchir et réagir vite. C'est un excellent sport pour prendre confiance en soi.
C'est en se souciant de soi que s'acquiert la confiance en soi. Pour cela, il faut porter sur soi un regard attentif mais aussi s'efforcer d'agir sur soi.
Sourire ou rire quand il se fait gronder, est alors le moyen pour lui de gérer la tempête émotionnelle qui monte. Ce réflexe se manifeste d'ailleurs encore chez certains adultes, face à la réception d'une mauvaise nouvelle ou face à une source de stress.
Conservez votre calme autant que possible et adoptez une attitude positive au moment du départ. Souriez, dites à votre enfant que vous revenez bientôt et partez sans prolonger ce moment davantage. Ce rituel rassurera votre enfant : il s'habituera aux séparations et saura que vous reviendrez toujours le chercher.