Il faut courir en endurance (être capable de tenir une conversation, fréquence cardiaque entre 120 et 130 pulsations par minute) Il est préférable de courir entre 30 et 45 min plusieurs fois par semaine, plutôt qu'une ou 2 fois plus d'1h.
Après 15 minutes de marche active qui prépareront vos muscles à l'effort, vous courrez 40 minutes sans vous arrêter. Vous terminerez par 10 minutes de marche active afin de prolonger l'effort, de faciliter la récupération et d'avoir moins de courbatures. La séance du jour durera 65 minutes.
Selon les chercheurs, la fréquence optimale, pour profiter des bienfaits du jogging sans nuire à la santé, est de trois joggings par semaine, d'une durée de 20 à 48 minutes chacun.
Les principaux bienfaits du jogging
une meilleure résistance à l'effort ; une utilisation optimisée des réserves énergétiques (sucres et graisses) par l'organisme et une régression du “mauvais” cholestérol au profit du “bon” cholestérol ; une augmentation de la masse musculaire et une diminution de la masse grasse.
Si c'est dans un souci de garder la forme et qu'on a le temps de courir à faible intensité ou intensité modérée 30 minutes tous les jours ou 5 jours sur 7 (à l'heure du déjeuner ou avant d'aller travailler par exemple), c'est parfait : on se situe dans les recommandations de l'OMS et c'est tout bénéfice pour sa santé !
« Courir à jeun permet de resynthétiser le glycogène dans le muscle et augmente la capacité du muscle à en stocker. Or, plus nos muscles en contiennent, plus on est capable de courir longtemps à une vitesse élevée », révèle Martine Duclos. De quoi gagner quelques minutes.
« Il faut morceler sa respiration. Plus on court vite, plus on doit augmenter son rythme de respiration et donc apporter de l'O2 à son corps. Le corps peut utiliser jusqu'à 5L d'air pour fonctionner dans une course endurance, que l'on va découper en morceaux.
Voici quelques symptômes et leur association à la pratique ou non d'une activité sportive. On envisage plutôt de ne pas aller courir en cas de : la fièvre, des frissons, des courbatures, une fatigue excessive, une congestion bronchique, des maux de ventre, des maux de tête importants.
Les raisons qui peuvent empêcher la progression :
S'entraîner dur fait progresser, bien sûr. Mais seulement si ça s'intègre dans un programme d'entraînement intelligent. Plus un entraînement est difficile plus il a de chance de faire progresser mais plus il demande une récupération importante.
Une étude de l'université de l'Iowa, publiée lundi dans le Journal of the American College of Cardiology, a constaté qu'entre courir un peu ou longtemps, il n'y a pas de différences en bénéfices pour la santé. Courir 20 minutes ou 1 heure ? Les auteurs de l'étude sont formels.
Donc on va mal digérer. Mais on va mal courir aussi. Parce que l'estomac et les intestins seront lourds et pesant. Par conséquent, la règle pour votre bien être c'est d'attendre au moins 1h30 voir 2h avant d'aller faire du sport après un repas.
Le débutant se situant, en général, entre 7 et 11 km/h.
Le vainqueur peut courir le 5K quelque part entre 12-15 minutes et une femme gagnante pourra l'exécuter dans la gamme des 16-19 minutes. Certains marcheurs peuvent prendre plus d'une heure à la fin. La plupart des gens se sentent bien dans la finition de l'ordre de 20-25 minutes.
En revanche, évitez de courir à jeun trop souvent et trop longtemps. Cette pratique peut favoriser l'apparition d'états de fatigue importants, voire de maux de tête ou de troubles gastriques. Soyez mesuré dans la fréquence et la durée de vos runs le ventre vide et restez toujours à l'écoute de votre corps.
Les inconvénients : Au-delà des questions relatives au manque de visibilité et à la sécurité, il convient de ne pas sortir trop tard. Pourquoi ? « Parce que l'activité physique à cette période de la journée peut aussi s'avérer être un frein à l'endormissement et au sommeil.
Courir le matin est le meilleur moyen de démarrer la journée. En courant le matin, vous approvisionnez votre corps en oxygène. Votre métabolisme sera poussé à un niveau de combustion supérieur pour tout le reste de la journée.
Parce que c'est à partir de 40 minutes d'effort en continu que vous allez rentrer physiologiquement dans une zone dite lipidique. Cela signifie que vous aurez consommé vos réserves de glycogène (sucres) ; votre organisme va alors puiser dans les graisses l'énergie nécessaire pour continuer votre effort.
Est-ce que courir fait travailler les muscles abdominaux? La bonne nouvelle c'est qu'il importe peu qu'on voit vos abdominaux puisque la course à pied vous permet de travailler cette région musculaire. À peu près tous les exercices du monde vont, d'une façon ou d'une autre, solliciter vos muscles abdominaux.
A distance égale, la course permet de brûler jusqu'à 30% de calories en plus que la marche. Elle vous permettra de brûler plus de calories en moins de temps. De plus, si vous avez un rythme assez élevé, vous pourrez perdre du poids rapidement.
La course à pied est l'activité physique par excellence. Cette pratique très complète met en activité aussi bien les articulations qu'un grand nombre de muscles comme ceux de la voûte plantaire, les muscles dorsaux, les mollets, les quadriceps, les ischio-jambiers et les fessiers.
Tout ça pour dire qu'un bon temps sur marathon, c'est une minute de moins que votre chrono précédent, idéalement sur le même parcours. Que vous fassiez 3h15 ou 4h45, à partir du moment où vous ferez 3h14 ou 4h44, alors vous pourrez dire que c'est un bon temps, car ce sera adapté à votre niveau et à votre réalité.
Courez en côte sur une distance d'environ 150 m avec une intensité de 90 à 95 % de votre effort maximum et répétez cet exercice entre six et dix fois. Faites de longues et puissantes foulées avec un tronc fort et stable. Pour vous reposer, redescendez en marchant ou en courant lentement.