La meilleure manière de contrôler ses pensées indésirables est à travers un moyen indirect, tel que la méditation, la pleine conscience ou la respiration consciente.» Une technique qui a fait ses preuves pour apprendre à accepter ses pensées est le lâcher prise.
Pensez à vous aérer : marchez à l'extérieur tout simplement, ou reprenez une activité sportive que vous aimez. Mangez de façon équilibrée et buvez au moins 1 litre et demi par jour. On peut se sentir fatigué juste parce qu'on ne boit pas assez. Si vous le pouvez, faites 5 à 20 minutes de sieste chaque jour.
Des maux d'estomac et des troubles digestifs, Des insomnies et d'autres troubles du sommeil, Des troubles du sommeil (insomnie, réveils nocturnes…). L'impression de se fatiguer facilement après le moindre effort intellectuel ou physique.
La méditation de pleine conscience est un bon moyen de reconnecter avec vos pensées et vos émotions. En plus de vous aider à vous concentrer sur l'instant présent, la méditation en pleine conscience est également un moyen efficace d'apaiser le flux de pensées, d'inquiétudes et de jugements.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
Les conséquences de ruminer ou de trop réfléchir. Ces pensées vicieuses rendent les personnes incapables de se concentrer sur les nouvelles perceptions et se retrouvent piégés dans une détresse émotionnelle et psychologique.
Écrivez vos pensées.
Si vos pensées vous distraient de vos activités quotidiennes et vous causent de la tristesse, des angoisses ou des soucis, la première chose à faire est de les écrire sur du papier. Écrivez toutes les pensées qui vous énervent de la plus stressante à la moins stressante.
L'overthinking, littéralement “penser trop”, se traduit par un torrent d'émotions et de pensées négatives qui persistent dans le cerveau de l'individu. État d'hésitation permanent, l'overthinking impacte le quotidien et le bien-être de celui ou celle qui en est victime.
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale. Elle se traduit par une lamentation répétitive focalisée sur les symptômes de la détresse et/ou sur ses causes et conséquences possibles ou supposées.
Pratiquez le lâcher-prise : prenez des pauses, ce n'est pas plus compliqué que cela. Pour ceux/celles qui ne peuvent s'arrêter de penser, ou de souffrir d'angoisse, de stress ou de culpabilité qui vous empêchent de tranquiliser votre esprit, pratiquez aussi la méditation, la sophrologie ou encore le yoga.
Disciplinez votre respiration pour mieux oxygéner votre cerveau et faire le vide dans votre tête. Répétez 3 fois de suite cet exercice : Inspirez lentement par le nez en comptant jusqu'à 4, bloquez l'air pendant 7 secondes et expirez-le en comptant jusqu'à 8.
« L'alimentation, le sport, l'hydratation et le sommeil sont la base d'un cerveau bien reposé. » Paradoxalement, le sommeil peut être à la fois la cause et la conséquence de la fatigue. « Un mauvais sommeil peut être un signe avant coureur qu'il est temps de reposer votre cerveau », précise Anaïs Roux.
Il s'agit d'un mécanisme central dans les troubles anxieux, fréquent chez les personnes anxieuses, bien sûr, et ayant une faible estime d'elles-mêmes. En écoutant (trop) leurs pensées, elles se persuadent de la forte probabilité d'occurrence de ce qu'elles imaginent, alors même que la réalité est toute autre.
Parler à une personne de confiance. Parler de ses émotions à une personne bienveillante est réconfortant et libérateur. Le simple fait de décrire ses émotions permet de s'en affranchir. Cela nourrit bien-être mental et physique et favorise la prise de recul.
Des études ont montré que la pleine conscience peut aider à réduire le stress et l'anxiété, qui sont souvent associés à la fatigue émotionnelle. Vous pouvez pratiquer la pleine conscience à travers la méditation, le yoga ou simplement en prenant le temps de respirer profondément et consciemment.
"D'un point de vue physiologique, le sommeil lent profond est le plus récupérateur, physiquement et émotionnellement", explique Laure Verret, maître de conférences en neurosciences. Cela s'explique par l'activité du cerveau suivant les différentes phases de sommeil, auxquelles sont associés des ondes cérébrales.
Démotivation, stress et ballonnements
Si cette démotivation touche des secteurs ou des activités qui vous plaisent habituellement, vous êtes peut-être surmenée mentalement. En conséquence, vous vous sentez moins proche des personnes que vous appréciez et ressentez un sentiment de dissociation.