soustraction 2. Opération qui consiste à trouver, s'il existe, le nombre x, appelé différence de b et a, tel que a + x = b.
La soustraction est une opération qui consiste à enlever une quantité à une autre, à trouver une quantité manquante ou à comparer des quantités entre elles. Ces quantités qui forment la soustraction se nomment des termes. La différence est le résultat de cette opération.
Dans une soustraction, le signe utilisé est le signe - (moins). Les nombres situés à gauche du signe égal sont les termes. Le résultat de la soustraction est la différence.
Propriétés de la soustraction. On ne peut pas changer l'ordre des nombres dans une soustraction. On peut calculer la différence a - b en 6eme seulement si a est supérieur ou égal à b. On ne peut pas changer la place des parenthèses quand il y a une ou plusieurs soustractions.
abattement, décompte, déduction, défalcation, réduction, remise. Contraire : addition, adjonction, ajout.
Définition de multiplication nom féminin
➙ prolifération. Multiplication cellulaire. ➙ mitose. Mathématiques Opération qui a pour but d'obtenir à partir de deux nombres a et b (le multiplicande et le multiplicateur) un troisième nombre (le produit) égal à la somme de b termes égaux à a.
Dérivé de soustraction , avec le suffixe -el .
Exemple : pour les entiers relatifs, 0 est neutre pour l'addition, absorbant pour la multiplication, et neutre à droite pour la soustraction.
Lorsque je fais une soustraction, c'est un peu comme si je prenais une quantité et que je la mettais de côté. Mais si je l'ajoute à nouveau, je retrouve le nombre de départ. Par exemple si je fais 56-21, j'enlève 21, il reste 35. Mais si j'ajoute à nouveau les 21 aux 35 restants, je retrouve 56.
Contrairement à l'addition, la soustraction n'est pas associative : (17 – 10) – 5 ≠ 17 – (10 – 5).
Définition : Le résultat d'une soustraction s'appelle une différence.
La soustraction ne satisfait pas la définition de la commutativité : Une loi de composition interne ⋆ sur un ensemble E est dite commutative si et seulement si, pour tout a∈E et tout b∈E, a⋆b=b⋆a. Puisque 3−2≠2−3 dans Z, la soustraction dans Z n'est pas commutative. Point.
1489 : Le mathématicien allemand Johann Widmann d'Eger introduit les signes + et - pour exprimer l'addition et la soustraction. Auparavant, on utilisait les lettres p (piu) et m (minus).
La notion de soustraction est vue dès le CP (avec l'idée de compléments et d'addition à trous). La technique opératoire est vue en CE2. Les manuels de CE1 préconisent souvent l'utilisation de la droite numérique avec l'idée d'avancer et de reculer.
Pour effectuer une addition avec retenue, il faut séparer les dizaines et les unités. On additionne ensuite les unités entre elles puis les dizaines entre elles. Si la somme des unités est supérieure à 10, on "retient" le chiffre des dizaines et on l'ajoute au total des dizaines.
Soustraire un nombre négatif revient à faire une addition. On a 4 $ et on perd une dette de 6 $. Ça revient à avoir 4 $ et à ajouter 6 $.
Voici tout ce qu'il faut savoir !
Soustraire un nombre équivaut à ajouter l'opposé de ce nombre. Donc la règle est similaire à celle de l'addition. Deux nombres de même signe donnent un résultat positif. Deux nombres de signes opposés donnent un résultat négatif.
Si on ne peut pas faire la soustraction, on ajoute 9 autant de fois qu'il le faut au premier nombre, jusqu'à ce que la soustraction soit possible. A gauche, on place le reste de 41 soit celui de 4 + 1 donc 5. Dans la croix de la preuve : En haut, on place le reste de 348 soit celui de 3 + 4 + 8 soit celui de 15 donc 6.
La preuve par neuf est un procédé utilisé pour détecter les erreurs lors d'opérations arithmétiques (addition, multiplication, soustraction ou division). Dans un vieux manuel scolaire daté de 1923, la preuve par neuf de la multiplication est expliquée ainsi : « Soit à multiplier 3 587 par 286.
Voici une liste des propriétés les plus fréquemment rencontrées : Commutativité Associativité Distributivité sur une autre opération définie dans le même ensemble d'objets.
Il y a des opérations qui ne sont pas commutatives. Par exemple, la soustraction n'est pas commutative (4 - 3 = 1 alors que 3 - 4 = -1). La multiplication de 3 par 2 donne le même résultat que la multiplication de 2 par 3.
Propriété 1 : Les multiplications et divisions sont prioritaires sur l'addition et la soustraction, on doit donc les effectuer en premier. Propriété 2 : Si une expression ne contient que des additions et soustractions, on effectue les calculs de gauche à droite.
Le radical (ou racine) est la forme abstraite (obtenue après suppression des préfixes, suffixes, et désinences) porteuse du sens du mot. Dossier, dossard, endosser = dos-sier, dos-sard, en-dos-ser = un seul radical "dos". On appelle famille étymologique, l'ensemble des mots issus d'un même radical.
Comme cela a été fait précédemment, il convient de retirer le chiffre du bas du chiffre du haut. C'est en tout point identique à une soustraction d'entiers, il faut juste bien poser l'opération au départ en alignant les virgules. Dans notre exemple, on commence par retirer 3 à 5, soit 5 - 3 = 2.
Le symbole √ porte aussi le nom de « radical » mais n'a pas de sens lorsqu'il est utilisé seul. Le symbole √ se lit « radical » ou « racine carrée positive de… ». Dans l'expression n√, le nombre n est appelé l'indice du radical; on dit aussi un radical d'ordre n.