Pour découvrir la matière noire, les scientifiques ont trois stratégies possibles : détecter l'effet qu'elle induit sur la matière ordinaire, la produire par l'énergie dégagée lors de la collision de protons de haute énergie, ou encore observer les produits de l'annihilation de deux particules de matière noire qui se ...
La matière noire serait constituée de matière non-baryonique et sans doute de WIMPS (weakly interacting massive particles) des particules massives mais faiblement interactives avec la matière «normale» ce qui fait qu'il est très difficile de les détecter.
En 1933, l'astronome suisse Fritz Zwicky fait une découverte qui laisse le monde incrédule : il y aurait dans l'Univers beaucoup plus de ma- tière que celle que l'on voit. Les astronomes nomment alors cette matière inconnue «la matière noire».
En cosmologie, l'énergie noire ou énergie sombre (en anglais : dark energy) est une forme d'énergie hypothétique remplissant uniformément tout l'Univers et dotée d'une pression négative, elle se comporte comme une force gravitationnelle répulsive.
En théorie, d'importantes densités de matière noire sont concentrées au centre des galaxies. C'est donc en direction du centre de la Voie lactée que les physiciens pointent leurs télescopes.
Selon ces observations, l'univers a une courbure presque nulle (presque égale à zéro) et semble donc compatible avec un espace infini à courbure nulle », complète l'astrophysicienne Sandrine Codis. La mission Planck a révélé un autre élément : « Aucune répétition n'a été observée dans le fond cosmologique.
La recette pour obtenir de l'antihydrogène est très simple: on prend un antiproton, on crée un anti-électron et on place ce dernier en orbite autour du premier - mais son exécution est très délicate, parce qu'il n'existe pas d'antiparticules à l'état naturel sur Terre; elles peuvent uniquement être créées en ...
Même si l'Univers est essentiellement constitué de vide, on y trouve aussi de la matière : des étoiles, des gaz, des poussières et des roches. Toute cette matière est structurée en galaxies, en amas et en superamas de galaxies. Galaxie : Une galaxie est constituée d'étoiles, de gaz, de poussière et de roches.
La première « observation » d'un objet contenant un trou noir fut celle de la source de rayons X Cygnus X-1 par le satellite Uhuru en 1971.
Les particules élémentaires composant théoriquement la matière noire sont appelées WIMP. Même si on ne sait encore rien de leur nature, les particules élémentaires composant théoriquement la matière noire sont appelées WIMP, pour Weakly Interacting Massive Particles (particules massives à faible interaction).
La matière organique est la matière "organisée" par le phénomène du vivant à partir des éléments minéraux (en majorité du gaz carbonique et de l'eau). On en retrouve dans les êtres vivants (végétaux et animaux) et dans le sol.
Passée cette limite, il n'y a pas de retour envisageable. La force de gravitation y devient tellement importante que même la lumière, à la vitesse de déplacement avoisinant les 300 000 kilomètres par seconde, est déviée pour se diriger vers le centre du trou noir, où toute la matière se concentre à l'infini.
Notre univers pourrait bien se trouver dans un vaste trou noir. Remontons le temps : avant la venue de l'Homme, avant l'apparition de la Terre, avant la formation du soleil, avant la naissance des galaxies, avant toute lumière… il y a eu le Big Bang. C'était il y a 13,8 milliards d'années. Mais avant cela ?
Comme l'infini dans la nature, ça n'existe pas, on en déduit une chose, c'est qu'on ne sait pas. On pense que toute matière ordinaire a disparu. Dans le trou noir, il n'y a donc pas, après cette aventure, une fusée et un spationaute égaré de plus. Il y a toujours le vide.
Tout l'Univers est d'abord une revue hebdomadaire publiée à partir du 25 octobre 1961 par Hachette et conçue par Armand Beressi (directeur d'édition), adaptée de la revue italienne Conoscere créée en 1958 par la maison d'édition milanaise Fratelli Fabbri Editori (it).
L'Univers s'étend éternellement dans le futur comme dans le passé. Il y a infiniment longtemps, il était presque vide et ne contenait qu'un gaz raréfié de rayonnements et de matière. Les forces de la nature, contrôlées par le dilaton, étaient si faibles que les particules de ce gaz interagissaient à peine.
L'énergie noire (ou énergie sombre) domine l'Univers.
Le boson de Higgs est surnommé, au grand dam des scientifiques, la “particule de Dieu”, celle qui donne à la matière sa masse. C'est une très petite particule que les chercheurs ont longtemps supposée comme existante.
Contrairement à ce que son nom pourrait supposer, l'antimatière n'est pas une matière dangereuse. La matière est composée de particules comme les neutrons, les électrons et les protons. Ces éléments possèdent des caractéristiques particulières comme la masse ou encore la charge.
L'antimatière n'existe qu'en quantités infimes dans l'univers local, soit dans les rayons cosmiques, soit produite en laboratoire. Les travaux sur l'antimatière consistent en grande partie à expliquer la rareté de l'antimatière par rapport à la matière.
Un article paru en janvier 2011 dans la revue Physical Review arrive à la conclusion que le temps va s'arrêter d'ici 5 milliards d'années. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les implications de la théorie de l'inflation éternelle et l'existence de multivers associée à cette théorie.
À ce jour, aucune donnée scientifique ne permet de dire si l'Univers est fini ou infini. Certains théoriciens penchent pour un Univers infini, d'autres pour un Univers fini mais non borné. Un exemple d'Univers fini et non borné serait l'espace se refermant sur lui-même.
Le diamètre de l'Univers observable est estimé à environ 93 milliards d'années-lumière soit 8,8 × 1023 km (8,8 × 1026 m ), ou encore 880 000 milliards de milliards de kilomètres.
Dans l'éventualité très improbable qu'un trou noir s'approche de notre système solaire, l'humanité périrait fort probablement bien avant qu'il n'avale la Terre ou le Soleil, selon une analyse publiée en 2016 sur le site de nouvelles scientifiques phys.org.