Voici quelques solutions à tester pour calmer les pleurs du soir d'un bébé agité : S'isoler dans un endroit calme avec bébé, l'installer à plat ventre sur l'avant-bras d'un de ses parents puis le bercer en lui parlant doucement. Le porter en écharpe.
Faites dormir votre enfant le plus possible en journée pour commencer. Sans vous soucier de l'endroit où il dort et de la manière dont il s'endort. S'il faut le mettre au sein, le bercer dans les bras, se coucher avec lui, le balader, donnez lui le moyen de s'endormir sans avoir peur des habitudes prises.
Si votre enfant est souvent nerveux et grincheux avant d'aller dormir, massez-le en lui racontant une histoire. Par exemple, massez surtout le dos et la nuque où s'accumulent les tensions nerveuses, comme chez les grands. Installez le massage comme rituel avant le coucher.
Faites un massage à votre enfant. Ce contact tendre renforce l'attachement et facilite la relaxation. Par exemple, vous pouvez masser doucement la nuque, le front, les tempes ou les pieds de votre tout-petit. Par la suite, votre enfant pourrait aussi vous faire un massage.
Un bébé hypertonique, toujours en mouvement
Un BABI est en général un bébé hypertonique, ses muscles sont souvent tendus, il est souvent contracté et gigote énormément… C'est un bébé qui va refuser d'être emmailloté par exemple.
Le système nerveux ou digestif encore immature du bébé peut en être à l'origine, ou bien le type d'alimentation (du bébé ou de la mère). Des études récentes suggèrent que la flore intestinale, qui joue un rôle important dans la santé à plusieurs niveaux, serait l'élément déclencheur.
L'enfant est souvent agité avant de dormir durant les trois premiers mois. Cette situation peut s'expliquer par le fait qu'il est encore en phase d'apprentissage du sommeil. En effet, durant cette période, les bébés s'adaptent progressivement au rythme de veille-sommeil. Ainsi, cette situation est normale.
Cette agitation à l'heure du coucher peut s'expliquer par le fait que votre enfant a besoin de libérer les tensions accumulées durant la journée. Pour l'aider à retrouver le calme nécessaire pour s'endormir, vous pouvez, par exemple, mettre une musique douce et lui faire un petit massage dans le dos.
En fait, le cortisol est une hormone qui nous tient éveillé, il nous permet à tous de rester actif toute la journée. Le taux de cortisol est en augmentation si Bébé n'atteint pas son quota de sommeil. Il va empêcher l'enfant (à son insu) de pouvoir dormir paisiblement.
Elle consiste aussi à aider le bébé à s'endormir seul, sans son parent. Cette technique peut être utilisée dès l'âge de 4 à 6 mois et même plus tard au besoin, facilement jusqu'à 18 mois. L'objectif poursuivi est toujours que le bébé apprenne à s'endormir par lui‑même de façon autonome.
Dans l'idéal, l'enfant qui refuse de dormir devrait être mis au lit à la même heure chaque soir, suivant une routine du coucher pouvant comprendre par exemple le dîner, le bain et une histoire. Embrassons-le et souhaitons-lui « bonne nuit » d'une voix ferme, puis quittons la chambre alors qu'il est encore éveillé.
Comme les pleurs sont l'unique moyen de communication du nouveau-né, si ces derniers sont ignorés, cela va augmenter son stress, et peut, sur la durée, endommager son système nerveux central, sa croissance ou encore son potentiel d'apprentissage.
Certains bébés ont plus besoin d'être « contenus », pris dans les bras que d'autres. Ils peuvent manifester une angoisse en pleurant, notamment au moment du coucher, lorsque leur mère les dépose dans le lit. Normalement, cette nature s'exprime très rapidement, dès les premiers jours de vie.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Il vous suffit juste de le caresser dans le dos, comme si vous le frictionniez, et de le bercer un peu jusqu'à ce qu'il se rendorme. N'hésitez pas à parler à votre bébé, et même s'il ne vous répond pas parce qu'il ne sait pas encore parler, expliquez-lui que c'est le moment de dormir.
Cependant les pleurs du soir semblent physiologiques et ne sont en rien liés à la peur de la nuit. Ils s'atténuent ou disparaissent vers 3 à 4 mois.
On peut également mettre en place un rituel de sommeil efficace, toujours au même moment, pour faciliter l'endormissement. Cela peut passer par un bain apaisant avant de le coucher, lui faire des câlins, un massage, lui chanter une berceuse ou lire une histoire.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
L'enfant qui présenterait des signes d'irritabilité, de colère, d'agressivité, de repli sur soi… Autre signe à repérer : des difficultés de concentration.
C'est un besoin naturel et inné chez le nourrisson qui apparaît dès la vie utérine. Sucer son pouce l'aide à se rassurer et à s'apaiser. Dès les premières heures de sa vie, un bébé aura d'ailleurs instinctivement envie de téter sa maman. Mais ce besoin n'est pas qu'alimentaire !
Mais durant cette période, qui dure selon les bébés 4-6 mois, sa place est dans vos bras, ou encore mieux en peau à peau, un maximum, tout le temps, et encore plus. On ne s'habitue pas aux bras, on ne devient pas capricieux à 3 mois.