On repère les couleurs qui ont été absorbées par la solution : une bande sombre apparaît à leur place. Pour simplifier, on divise le spectre de la lumière blanche en ses trois composantes primaires : le rouge, le vert et le bleu.
La couleur d'une solution correspond au radiations non absorbées par la solution. Elle est complémentaire à la radiation absorbée. Le spectrophotomètre mesure l'absorbance (notée A, sans unité) de la solution, c'est à dire la proportion de la lumière absorbée par la solution.
Chaque lumière colorée est appelée radiation lumineuse (onde lumineuse). Une radiation lumineuse peut être représentée par une onde que l'on peut caractériser par sa longueur. Cette longueur d'onde est notée λ (lettre grec lambda) et se mesure en mètre ou l'un de ses sous-multiples.
Le passage d'une unité à l'autre s'obtient par la relation 1 eV = 1,601 × 10−19 J. On considère une radiation lumineuse de fréquence égale à 3,5 × 1014 Hz. L'énergie des photons constituant cette radiation est égale à : E = h × ν = 6,626 × 10−34 × 3,5 × 1014 = 2,3 × 10−19 J.
La fréquence est le nombre de périodes par unité de temps ce qui correspond à l'inverse de la période : f=1/T ou f est la fréquence en Hertz (Hz ou s-1) et T la période en seconde (s).
Le spectrophotomètre est l'instrument qui sert à cette mesure. Il divise le spectre visible en général en 16, 32 ou 64 bandes et, pour chacune d'entre elles, renvoie une valeur d'énergie. Il calcule ensuite une courbe reliant ces valeurs entre elles. Cette courbe représente la densité spectrale de la couleur mesurée.
Une radiation (une couleur) est caractérisée par une longueur d'onde notée (lambda). La longueur d'onde se mesure en mètre, mais on utilise souvent le nanomètre. La lumière visible s'étend de 400 nm (violet) à 800 nm (rouge).
II.
La lumière blanche est composée d'une infinité de couleurs, appelée radiations lumineuses. Chaque radiation lumineuse est caractérisée par sa longueur d'onde λ (lambda) qui s'exprime en mètres (m). La lumière blanche est donc polychromatique alors que chaque radiation lumineuse sera une radiation monochromatique.
Ce phénomène est lié à la notion de longueur d'onde. En effet, un filtre laisse passer les rayonnements de longueur d'onde correspondant à sa couleur mais absorbe toutes les autres parties du spectre correspondant à des longueurs d'onde différentes.
Formellement, un objet qui apparaît rouge absorbe donc principalement la couleur complémentaire du rouge, c'est-à-dire le cyan; un objet jaune absorbera principalement le bleu; s'il apparaît vert, il absorbera principalement le violet, etc.
Le noir capte les UV au lieu de les réverbérer et absorbe les infrarouges. Ajoutez une matière qui colle à la peau et l'empêche de respirer et c'est le coup de chaud garanti. Oubliez aussi le T-shirt mouillé ou en filet de pêche.
Une couleur matière primaire représente les pigments qui n'absorbent qu'un seul rayon. Ces couleurs sont le jaune, le cyan et le magenta. Une couleur matière secondaire représente les pigments qui absorbent deux rayons. Ces pigments sont le rouge, le vert et le bleu.
Il admet bien volontier que le rose «n'existe pas», mais seulement parce qu'aucune couleur n'existe vraiment: «Le monde est plein de radiations électromagnétiques, dont les propriétés sont physiques, comme la longueur d'onde ou l'intensité. Mais la couleur est entièrement dans votre tête.»
En France, les moyennes régionales varient de 40 à 150 nanosievert par heure. Dans certaines régions du monde, telle que le Kerahla en Inde, la radioactivité naturelle peut atteindre des débits de l'ordre de 3000 nanosieverts par heure.
Le dosimètre est destiné à mesurer la dose radioactive ou l'équivalent de dose reçue par une personne exposée à un rayonnement radioactif.
SAVOIR EN JEU
La lumière est : - monochromatique si elle est constituée d'une seule onde. - polychromatique si elle est constituée de plusieurs ondes. Une lumière blanche est une lumière polychromatique où toutes les ondes de longueur d'onde comprises entre 400 nm et 700 nm sont présentes.
On distingue six couleurs spectrales : le violet, le bleu, le vert, le jaune, l'orange et le rouge. Il existe cependant d'autres couleurs qui ne sont pas spectrales et qui peuvent être obtenues par combinaison de lumières de différentes longueurs d'onde.
Chaque teinte correspond à une radiation monochromatique de longueur d'onde et de fréquence particulière. La lumière blanche peut être recomposée par superposition de teintes différentes : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet.
La couleur qui possède la plus grande longueur d'onde est le rouge, alors que le violet a la plus courte.
Dans cette classification nous retrouvons les ultraviolets (UV) de 200 à 400 nm, le bleu de 400 à 500 nm, le vert de 500 à 600 nm, le rouge de 600 à 700 nm, le proche infra-rouge (NIR) de 700 à 800 nm et pour finir l'infra-rouge (IR) de 800 à 1200 nm. Toute source lumineuse émet un rayonnement.