On dira qu'une fonction f(x) est positive sur un intervalle donné en x si, sur cet intervalle, les valeurs de f(x) sont supérieures ou égales à 0 (positives). On dira qu'une fonction f(x) est négative sur un intervalle donné en x si, sur cet intervalle, les valeurs de f(x) sont inférieures ou égales à 0 (négatives).
Si une fonction f admet un minimum positif sur son intervalle de définition I alors cette fonction est positive sur I. Le minimum sur R de la fonction f est égal à 1, il est donc positif. Or, une fonction admettant un minimum positif sur son intervalle de définition I est positive sur I.
Pour étudier le signe d'une fonction polynôme du second degré, on utilise la forme factorisée puis on dresse un tableau de signes. f est la fonction définie sur R par f(x)=−3(x−1)(x+2).
En arithmétique, le signe d'un nombre réel qualifie sa position par rapport à zéro. Un nombre est dit positif s'il est supérieur ou égal à zéro ; il est dit négatif s'il est inférieur ou égal à zéro. Le nombre zéro lui-même est donc à la fois positif et négatif.
Règle des signes : Lorsqu'on divise deux nombres relatifs : – s'ils sont de même signe, le résultat est positif ; – s'ils sont de signe contraire, le résultat est négatif.
Signe d'une fonction affine
Le signe de la fonction affine f(x) = ax + b dépend du signe du coefficient directeur a.
S'il existe, c'est la valeur de x pour laquelle f(x)=0. f(x)=0. Si a et b sont du même signe, ou si a1>0, alors la fonction est décroissante sur son domaine. Si a et b sont de signes contraires, ou si a1<0, alors la fonction est croissante sur son domaine.
x1 = (−b − √Δ ) / (2a) et x2 = (−b + √Δ ) / (2a) ; - Si Δ = 0, alors l'équation admet une solution réelle double notée x0. On a alors : x0 = −b / (2a).
En mathématiques, un tableau de signes est un tableau à double entrée qui permet de déterminer le signe d'une expression algébrique factorisée, en appliquant la règle des signes et en facilitant l'organisation du raisonnement.
Une fonction est constante si et seulement si son image est réduite à un singleton. Une fonction constante d'une variable réelle est représentée par une droite parallèle à l'axe des abscisses. La dérivée d'une fonction constante est nulle.
a) On étudie le signe de la différence un+1 − un. ▶ Si un+1 − un est positive, alors la suite (un) est croissante. ▶ Si un+1 − un est négative, alors la suite (un) est décroissante. b) Si tous les termes de la suite sont strictement positifs, alors il suffit de comparer le rapport un+1 un à 1.
Pour déterminer le sens de variation d'une fonction sur un intervalle I, on peut comparer les valeurs de f(a) et f(b) où a et b sont deux réels de l'intervalle I vérifiant a<b.
Définition : Discriminant d'une équation du second degré Si Δ est strictement positif, alors il y a deux solutions réelles à l'équation du second degré. Si Δ = 0 , alors il y a une solution réelle (répétée). Et si Δ est strictement négatif, alors il n'y a pas de solutions réelles.
Calcul du discriminant : ∆ = b2 −4ac = ( √2)2 −4(1)(1) = −2. Le discriminant est strictement négatif, la règle est donc "toujours du signe de a", c'est à dire toujours positif car a = 1.
−b + √Δ ) / 2a et x'' =( −b − √Δ ) / 2a. Son discriminant est égal à Δ = 5² − 4×3×7 = 25 − 84= −59, le discriminant Δ est négatif. donc l'équation 3x² + 5x + 7 = 0 n'admet aucune solution dans R.
Une fonction qui n'est pas rationnelle est dite irrationnelle. On parle de fonction rationnelle propre quand le degré du polynôme P est inférieur à celui de Q.
Dans le cas des fonctions rationnelles, on a une asymptote verticale pour chaque valeur qui annule le dénominateur de la fonction simplifiée. Ainsi, dans le cas de la fonction f(x), on a une asymptote verticale lorsque x = 4. L'équation de l'unique asymptote verticale est donc x = 4.
La fonction qui à tout nombre réel x non nul associe son inverse x1 est appelée fonction inverse. Elle est définie sur − ] ∞ ; 0 [ ∪ ] 0 ; + ∞ [ -]\infty\ ;\,0[\,\cup\,]0\ ;\,+\infty[ −]∞ ;0[∪]0 ;+∞[ par f ( x ) = 1 x f(x)=\dfrac{1}{x} f(x)=x1.
Règle 1: Pour additionner des nombres de même signe on garde le signe et on ajoute les valeurs. Règle 2: Pour additionner des nombres de signes différents, on prend le signe de celui qui a la plus "grande valeur" et on fait "plus grand moins plus petit".