Pour connaître votre Être Intérieur il faut que vous connaissiez votre but, vos valeurs, vos motivations, vos buts et vos croyances. Pas ce qui vous a été dit par les autres, mais ce que vous avez découvert par vous-même. Connaître votre Être Intérieur nécessite un assez haut niveau d'introspection et de conscience.
Contrairement à ce qu'on croit, votre identité ne se limite pas à vos origines, à votre milieu social, à votre sexe, à votre âge, à votre apparence physique ou à vos biens matériels. C'est la perception intime que vous avez de vous-même, au-delà de ce que les autres pensent de vous.»
Entamez le dialogue
Il s'agit d'une véritable conversation. Posez-lui des questions simples à voix haute : « Comment vas-tu ? », « Acceptes-tu de parler avec moi ? »… Laissez venir les réponses, comme si vous jouiez une pièce de théâtre. S'il vous arrive de prendre une autre voix, plus enfantine, c'est normal.
Exercice d'introspection
Contentez-vous d'observer ce qui se passe dans votre esprit. Si vous êtes distrait(e), concentrez-vous sur l'introspection. Demeurez conscient(e) de vos pensées et de vos sensations précises.
La deuxième chose dont vous avez besoin pour cultiver votre monde intérieur est de changer vos attitudes et vos valeurs, c'est-à-dire l'importance que vous accordez à chaque aspect de votre vie et ce que vous considérez important pour vous. Choisir avec soin ce que vous trouvez précieux peut faire toute la différence.
C'est se connecter à sa conscience supérieure, à son être profond. C'est contacter ses zones d'ombre et de lumière, sans jugement, juste en observant. C'est bien connaître ses forces et ses faiblesses, ses qualités et ses défauts, afin de prendre confiance en soi et avoir conscience de soi.
Se reconnecter avec son enfant intérieur est une technique thérapeutique pour se libérer des blessures du passé, de trop de colère ou de tristesse réduite au silence. En apprenant à écouter l'enfant en soi, l'adulte réhabilite celui qu'il a été. Reconnaître sa souffrance c'est déjà commencer à guérir.
Et pour communiquer au mieux avec notre âme, il faut déjà être en pleine connexion avec son corps, c'est primordial. Et puis, il y a aussi « l'esprit », notre partie beaucoup plus consciente qui se charge décider et de coordonner un peu petit toutes ces parties.
Autre piste pour trouver son identité profonde, écouter sa conscience. "Le sujet qui agit contre sa conscience morale s'exile de son moi profond", écrit Jean-Paul Lannegrace. Pour lui, le "cri éthique" face au Mal sort du moi profond.
La question «qui suis-je?» englobe toutes les dimensions de l'existence, qu'elles soient temporelles ou spirituelles, y compris la quête de qui nous pourrions ou devrions être.
Le concept de soi est en fait une connaissance que l'on a de soi-même. C'est donc une composante cognitive de la personnalité au sein de laquelle on peut distinguer, une composante intime : « ce que je suis » et une composante sociale : « ce que je pense que les autres pensent que je suis ».
Vous pouvez ensuite contacter votre guide grâce à un pendule, des oracles ou encore par l'écriture automatique et la bibliomancie. Ou bien entrer dans une méditation guidée qui va vous emmener dans un état de conscience modifié qui peut vous permettre d'entrer en contact avec votre guide.
Allez-y prenez un moment avec vous. Inspirez et expirez en dirigeant votre attention dans le cœur. Après quelques respirations dans cette présence à soi, observez quel est l'état présent dans votre cœur. C'est le moyen le plus accessible et direct pour vérifier la connexion avec l'âme.
Le moi intérieur est ce que l'on appelle, dans des termes spirituels, une corde vibratoire : elle est une partie du corps et de l'esprit qui ne demande qu'à être développée, pour transformer des émotions en énergie positive.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
Ces masques, au nombre de cinq, « correspondent aux cinq grandes blessures de base vécues par l'humain« , qui, par ordre chronologique, sont: le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison, l'injustice.
Les blessures de l'enfance ont le goût du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de l'abus, de la trahison, de l'injustice, de la détresse, de la non-reconnaissance, de la carence affective, de la maltraitance physique, verbale ou par défaut de soins.
Conflits internes, renoncements à contrecœur, colère refoulée, compromis peu satisfaisants… Identifier les signes de ses désaccords intérieurs permet d'en comprendre les causes profondes. Et de retrouver l'équilibre.
Repérer son masque, être à l'écoute de son corps comme révélateur de ses blessures et apprendre à les aimer. Accepter ce qui se cache derrière qui est source de révolte. Avoir de la compassion pour l'enfant en nous qui a souffert mais également pour nos parents qui eux aussi ont souffert.
Suivre son intuition, c'est écouter son coeur, c'est suivre le chemin que nous devons emprunter, c'est réussir à réaliser ses rêves et vivre une vie avec le moins de regrets possible. Suivre son intuition, c'est apprendre à écouter son âme et réaliser ses différentes missions de vie, qu'elles soient agréables ou pas.