Une fois prête, généralement au bout de 5 ans de formation, l'apprentie est consacrée au métier de geisha, notamment par la cérémonie du changement de col : abandonnant son col rouge au profit du col blanc des geisha confirmées, la jeune femme accède officiellement au métier de geisha.
Les geishas étaient nombreuses aux XVIII e et XIX e siècles. Elles existent encore dans le Japon contemporain bien que leur nombre soit en constante diminution : estimé à 17 000 dans les années 1980, il n'est plus que d'environ 200 de nos jours, principalement à Kyōto dans le quartier de Gion.
Elles n'ont pas le droit de se marier ni d'avoir des enfants, mais elles peuvent se choisir un amant (ou plusieurs), sans forcément qu'il s'agisse d'un client. «Certains Japonais se figurent que les geikos continuent d'avoir un danna, un protecteur riche, explique Komomo. Mais ce n'est plus forcément nécessaire.
Un chignon de cheveux lisses noirs, réalisé par un coiffeur pour une semaine (les geishas dorment pour cela sur un repose-nuque !), ou une perruque.
La tenue d'une geisha se compose principalement d'un kimono de soie, fait à la main et de grande valeur (il peut coûter plusieurs milliers d'euros), fermé dans le dos par un obi, cette large ceinture traditionnelle japonaise. Selon l'âge de la geisha, le nœud du obi ne se fera pas de la même manière.
Les Geishas sont célèbres pour le maquillage blanc de leur visage, symbole de pureté. La poudre qu'elles appliquent, par-dessus une huile à base de camomille et de clous de girofle appelée bintsuke-abura, est obtenue après broyage de grains de riz.
Quelle que soit la technique utilisée, le principe du massage bien-être apparaît simple. Il s'agit d'activer les points énergétiques optimisant ainsi la circulation sanguine et énergétique. La régulation de ce flux permet d'éliminer les blocages à l'origine des désagréments physiques et du stress.
Ce phénomène typiquement japonais se distingue de la prostitution « classique » par les motivations supposées des jeunes filles impliquées : plutôt qu'une source stable d'argent, c'est une source occasionnelle d'argent de poche ou d'appoint qui serait visée, souvent stigmatisée par le désir de se procurer des produits ...
Dans le monde des geisha (芸者), chacune bénéficie d'un protecteur financier appelé son danna. Autrefois, les danna étaient généralement de riches notables, ce rôle offrait un certain prestige, leurs statuts et richesses étaient essentiels à l'entretien onéreux des geisha.
Le kimono des geishas est porté avec l'obi, ou la ceinture de soie qui accompagne généralement les habillements nippons. L'obi se ferme par un nœud dans le dos, c'est très important, car cela permettait de les différencier des prostituées qui nouaient la ceinture de leur habit sur le devant.
Il est possible de voir des geisha et des maiko dans les villes de Tokyo et de Kyoto, là où s'établissent les quartiers où elles vivent et où elles sont formées. Les quartiers de Gion, Pontocho, Miyagawacho, Kamishichiken et Shimabara sont les quartiers principaux des geisha.
Les geishas, le nô, l'art du jardin japonais, les sumos, l'origami, les mangas…ce sont autant d'éléments de la culture japonaise que vous aurez l'occasion de voir au cours de votre voyage au cœur du Japon.
Lorsqu'un samouraï se teignait les dents en noir, cela reflétait sa décision de ne plus servir un autre daimyo pour le reste de sa vie, et depuis l'époque des shikken, les nobles appliquaient cette coutume avec une signification similaire de loyauté envers le shogun.
Il n'est pas dit formellement que les geisha ne peuvent pas avoir de relations sexuelles avec leurs clients, mais cela est toujours resté officieux pour des questions de prestige et d'élégance.
Le quartier Golden-gai à Shinjuku : un haut lieu de la prostitution devenu le paradis des buveurs. La partie ouest de l'arrondissement de Shinjuku à Tokyo abrite un petit quartier unique en son genre appelé Shinjuku Golden-gai.
Le terme oiran est alors apparu : les oiran sont également des courtisanes de haut niveau, mais sans connaissance particulière de la danse ou du chant, car sont alors apparues les geishas (« personne qui pratique les arts »), qui, sans être des courtisanes elles-mêmes, ont repris à leur compte danse et chant.
QU'EST-CE QUE LE GUA SHA ET À QUOI SERT-IL ? Le Gua Sha est un outil de massage très utilisé dans la médecine chinoise traditionnelle. Son nom provient de "Gua" qui signifie gratter et "Sha" qui signifie maladie.
Notre bilan. En conclusion, le Gua Sha peut être bien en complément de votre routine quotidienne même si elle ne respecte pas toutes ses promesses. Un massage quotidien ne peut être que bénéfique pour votre peau qu'il soit fait à la main ou à l'aide de la pierre de Gua Sha.
L'ORIGINE DES GEISHAS
Très nombreuses aux 18e et 19e siècles, les geishas sont avant tout des femmes raffinées et très cultivées, qui offrent leurs services aux hommes aisés en tant que femmes de compagnie, dédiant l'essentiel de leur temps à la pratique des arts traditionnels japonais.
On trouve les poudres de riz en magasins bio, dans les pharmacies et chez certaines marques de cosmétiques.
Vernis soluble à l'alcool pour colorer les dents. Utilisez la bouteille avec pinceau pour le répandre sur les dents sèches, et laissez sécher brièvement pour une longue tenue. Se nettoie facilement avec une vieille brosse à dents et de l'alcool à 40%. Ne pas avaler.
On peut donc comprendre que la tradition des dents noires au Japon était un critère de beauté. En effet, le laquage dentaire noir faisait ressortir la blancheur de la peau et s'accordait parfaitement avec la noirceur des cheveux, deux aspects très recherchés par les japonaises de l'époque.
Les taches noires et la nécrose dentaire (lorsque le gris recouvre l'ensemble d'une dent) sont principalement causées par une hygiène buccodentaire insuffisante ou par une carie non traitée. Elles peuvent également résulter d'un traumatisme chimique ou physique, ou encore d'une infection particulièrement sévère.