ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.
On écrit " Qu'on ", si on peut dire : Qu'il / Qu'elle. Exemple : Il sait qu'on viendra demain. On dit : Il sait qu'il/ qu'elle viendra demain. On écrit " Qu'ont ", si on peut dire : Qu'avaient .
Ont est une forme du verbe avoir à la troisième personne du pluriel au présent de l'indicatif. Ex. : Ils ont acheté leur billet de train à l'avance. (= Ils avaient acheté leur billet de train à l'avance.)
Mais depuis le XVIIe siècle, l'attribut peut s'accorder en genre et en nombre avec la ou les personnes que « on » représente, dès lors qu'elles sont identifiables. Si des petites filles se réjouissent d'être ensemble, elles pourront s'exclamer « On est contentes ! » ; l'accord se faisant au féminin pluriel.
'ON' est utilisé devant: les jours de la semaine, des dates, des noms de rue, television et radio ou pour traduire 'sur' .
On écrit « on » en tant que pronom quand on ne sait pas qui fait l'action. « On » est surtout utilisé à l'oral, dans un langage courant pour remplacer la première personne du pluriel « nous ». « Ont » correspond à la conjugaison du verbe « avoir » à la troisième personne du pluriel au présent de l'indicatif.
On est un pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable, exprimant l'idée d'animé humain et fonctionnant toujours comme sujet. Il est dérivé du latin homo, homme. On a employé autrefois, dans un sens absolu et indéterminé, les formes hom, hum, hons, um, om, on, etc.
Règle. L'accord du verbe conjugué avec le pronom on comme sujet se fait toujours à la 3e personne du singulier. Le pronom on a la même valeur qu'un il, il commande donc un accord à la 3e personne du singulier. On en parle, mais on n'en sait pas plus.
Quand tu as “on”, le verbe qui est derrière, tu le conjugue toujours à la troisième personne du singulier comme si c'était “il/elle” singulier. Tu vas écrire “on mange” comme si tu conjuguais “il mange”. “On est”, c'est comme si tu disais “il est “. Pareil pour “on va”, c'est comme si c'était “il va”.
Le pronom on peut aussi représenter une ou plusieurs personnes qui sont bien définies. On peut alors le remplacer par un pronom personnel (je, tu, nous, vous).
on : est un pronom personnel, comme il ou elle. Il est toujours le sujet d'un verbe conjugué généralement au singulier. ont : c'est la 3e personne du pluriel du verbe avoir, au présent. On peut le remplacer par avaient.
Ils ont été correspond à une conjugaison du verbe être : le passé composé. Ce temps est fabriqué avec l'auxiliaire avoir et le participe passé du verbe, été . Pour diverses raisons, le participe passé de ce verbe est invariable. Il s'écrit donc toujours été en trois lettres et ne prend jamais de e ni de s .
On mettra toujours la marque de la négation. Exemple: «On n'en voit guère par ici», «on n'a rien fait», etc. En l'absence de formes négatives, on écrira nos phrases sans «n'». Exemple: «On en achètera deux.»
Le pronom on
On écrit sans t le pronom indéfini on. Il occupe toujours la place de sujet. Si on vous en parle, faites-le moi savoir. On peut s'assurer que l'on a affaire au pronom quand on peut le remplacer par un autre pronom.
1. Un être humain non précisé ; quelqu'un : On a frappé à la porte. 2. Des personnes dont l'identité n'est pas connue ou précisée : On vous demande au service du personnel.
Il remplace Nous, Quelqu'un, ou Les gens. On qui remplace Nous est l'usage le plus fréquent. Il est utilisé en langue familière.
Le l apostrophe de l'on n'est pas à l'origine une consonne euphonique, mais l'article défini : l'on était synonyme de l'homme en général. Au fil des siècles, ce nom on s'est transformé en véritable pronom indéfini (désignant un individu non déterminé) et son article défini est devenu facultatif.
D'abord, il y a le pronom personnel « je » qui devient « j' » devant une voyelle (ici, le « a » de « ai ») ; puis le verbe avoir conjugué à la première personne du singulier, « ai », qui tient lieu d'auxiliaire (il sert à conjuguer les verbes au passé composé) ; enfin, le participe passé du verbe faire, qui s'écrit « ...
« a, i » quand il s'agit du verbe « avoir » ; « e, s, t » quand il s'agit du verbe « être » à la 3e personne du singulier ; « e, s » si le verbe « être » est à la 2e personne du singulier.
"beaucoup" est un adverbe et un pronom formé de « beau » et de « coup » (c'est-à-dire une belle quantité) pour signifier un grand nombre de personnes ou de choses. - Après un verbe, il exprime l'intensité, l'importance de l'action. Exemple : Pour réussir, il travaille beaucoup.
Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
Devant "on", il est d'usage de mettre un "l'" pour éviter l'hiatus (suite de deux voyelles), notamment après "et", "ou", "où", "qui", "si". Exemple : "J'aime les week-ends où l'on ne fait rien." Ce "l'" sert aussi à éviter le son [con].